Concetti Chiave
- Tristan et Yseult est une histoire d'amour courtois médiévale d'origine celtique, réinventée par Chrétien de Troyes, qui explore un amour passionnel et interdit entre un chevalier et une princesse.
- La chanson de geste, une forme poétique médiévale, célèbre les exploits militaires et la fidélité des chevaliers envers leur roi, avec "La Chanson de Roland" comme exemple emblématique.
- L'Humanisme du XVe siècle, originaire d'Italie, met l'accent sur l'étude critique des textes classiques et influence fortement la culture française, valorisant l'homme et ses capacités.
- Le symbolisme littéraire, apparu en France à la fin du XIXème siècle, utilise des symboles pour exprimer des réalités transcendantes et subjectives, en réaction au positivisme scientifique.
- Le théâtre romantique rejette les contraintes néoclassiques, favorisant des représentations plus libres et expressives, comme illustré par les œuvres de Victor Hugo.
Amour courtoise : Tristan et Yseult (XII-XIII eme siec)
Le récit de Tristan et Yseut semble être d’origine celtique : en effet il y a la même histoire d’amour entre les deux personnages qui s’appellent Diamide et Graine. Puis Chrétien de Troyes a réélaboré ce texte en créant Tristan et Yseut.
Indice
- Amore e magia nel Medioevo
- Personaggi e fedeltà
- Questions
- Simbolismo medievale
- Chanson de geste e Humanisme
- Influenza dell'Humanisme in Francia
- Confronto tra ballate
- Rinascimento e poesia lirica
- Barocco e libertà artistica
- Preciosità e idealismo
- Teatro e amore tirannico
- Don Juan e il povero
- Phèdre e l'amore proibito
- Tecnica drammatica di Racine
- Illuminismo e spettacolo
- Teatro romantico e dramma
- Storia del XIX secolo
- Romanzo storico e realismo
- Carmen e i gitani
- Descrizione dei gitani
Amore e magia nel Medioevo
Basé sur la littérature provençal amoureuse, l’histoire parle d’un fort amour entre un preux chevalier et une merveilleuse princesse, causé par le philtre magique et que est toujour empeché par la diversité mechantes. C’est une histoire tellement passionnel que bouleverse tout le publique du Moyen Age et que influence aussi tout la littérature de ce période la. En effet on peut retrouver le meme senhals dans les autres histoires : il y a l’amour adultère entre chevalier et princesse ou reine, les elements magiques (l’anneau, le philtre etc) qui aide les personnages, la foret que est très important parce que elle a le sens de la personnalité des amants, elle est magique et aussi un refuge.
Personaggi e fedeltà
Les personnages sont très differents et bien cadrés : il y a les barons qui sont toujours mechants, la princesse qui est belle et bonne et très fidèle, le chevalier qui est preux, courageux, fidèl et fort. La fidelité est beaucoup ressorti dans tout les personnages positives et sourtout dans les amis des personnages principaux (par exemple la suivant d’Yseut Brongieu).
Il y a aussi la trahison et la mensonge de personnages negatives qui essayent par tout les moyens d’empêcher les deux amants. En fin le T. et Y est un recit dramatique en terminant avec la mort des deux amants, mais lesquels sont finalement unités ensemble dans l’éternité. Par l’atmosphère pleine d’emotions on est mise en musique par Wagner.
Questions
1. Monologue de Y. Pourquoi peut on dire que son amour n’est pas limité par la mort ?
R. Parce que elle ne peut pas vivre sans lui et du moment que eux, ils n’ont pas peut etre ensemble dans la vie, ils seront ensemble et s’aimeront dans la mort.
2. Comment s’exprime la proximité des amants dans le paroles et les actes de Y. ?
R. La proximité s’exprime quand elle se rend près de T. et prie pour lui. Quand elle l’appelle « ami » et dit que elle aura voulu le baiser et embrasser si elle etait venu à temps. Mais la proximité s’exprime au maxime quand elle décide de mourir et s’étend à coté de lui.
3. Thomas indique qui il a voulu écrire une histoire vraie. Quelle est la verité morale de l’histoire ?
R. La verité morale est l’amour éterne lequel n’est pas limité par la mort et que est toujour le rimede contre tout les maux du monde.
1. Tristan s’est caché dans la Fauré en attendant le cortège. Donc il joue un stratagème pour prévenir à Iseult de sa presence:
- Il coupe une branche de coudrier pour le milieux puis il le fend et l’équarrit ;
- Il y grave avec son couteau des lettres qui étaient celles de son nom ;
- il prépare un bâton orné ;
- Il lui (Iseult) fait parvenir une lettre.
2. L’amour courtoise est un mouvement litteraire né au Moyen Age et il s’agit surtout d’un amour passionnel et adultère entre la reine et le chevalier à la court du roi. La dame est vue comme une etre supérieure auquel le chevalier doit rendre hommage. Les jongleurs étaient ceux qui allaient d’un cour à l’autre en chantant des poeme d’amour.
Il est symbolisé surtout par la fidelité des deux amants et puis par l’amour éternel qui ne termine pas avec la mort, mais a cause de leur amour adultère ils ne peuvent pas vivre ensemble. L’insistance met en evidence vivent la meme passion. Leur amour est un amour dans tous l’effets passionnel. Puis il est un amour adultère parce que la reine a trahi son mari a cause du philtre magique. Donc il ne sont pas coupables et ils doivent se cacher dans la foret. La foret est un senhal très important dans la littérature et il symbolise bien sur la personnalité.
Les conséquences de cet amour sont très dramatiques : les deux amants meurent de leur passion en revenant le ordre du monde, dans lequel il ne faut pas trahir.
Tristan et Iseult ne peuvent pas y échapper à leur passion. Tristan et Iseult est un Roman très moderne je crois : le trahison et l’adultère sont des caractéristiques aussi du temps moderns (on peut voir l’histoire de Clinton et Monique). Et puis il y a la force des sentiments qu’on peut pas controler.
Tristan et Iseult sont devenus deux personnages mythiques parce que ils sont morts jeunes, aussi comme dans la merveilleuse histoire de Paolo et Francesca.
3. Le « monde féodal », caracterisé par la prouesse de chevaliers et leur rapport de fidelité au roi, est dans le recit mis en évidence par :
- le cortège qui va à la chasse;
- deux rangs de gens d’armes;
- les chevaux.
4. Le symbolisme médiéval.
Simbolismo medievale
La foret est le lieu où les amants se cachent à cause de leur amour adultère, c’est aussi leur personnalité qui se montre. La foret peut etre aussi un senial magique où tout est animé.
Les « roses rouges » symbolise la prouesse et le courage de Tristan, je crois et aussi au phyltre magique qui le fait tomber amoureux.
Les rameaux qui se mêlèrent, symbolisent l’amour eternel et l’idéal de l’absolu.
Chanson de geste e Humanisme
La chanson de gestes nait entre le XI eme et le XII eme siecle dans le nord de la France.
« Geste » derive du latin que signifie exploit, événement militaire. En effet on parle des exploits des chevaliers Charlemagne en rehaussant la puissance physique, la provesse des chevaliers et leur fidelité pour le roi. La chanson a un rythme très fort et régulier pour representer le monde des guerres, des exploits et des combats.
On s’agit d’un long poème de plusiers milliers de vers decasyllabe, divisé en strophe de longueur irrégulière appellée « laisses ».
Les trouvers qui sont les joungleurs du Nord chantent ces poèmes épiques avec la vielle en allant de cour en cour.
La chanson de geste a beaucoup de succès et lors que les poèmes deviennent de plus en plus complexes on commence apparir autre thèmes, par exemples le thème de l’amour. La chanson le plus célèbre c’est « La chanson de Rolance », écrit vers l’an 1100 on suppose par le denommé Turold qui inscrit son nom à la fin du poème. On parle de Roland, le fidele paladin de Charlemagne, qui va livrer l’Espagne par les infidels (les sarrasins). Des banques espagnoles font sortie et Roland joue son corn pour sauver ses copains mais ils sont tous tués. La chanson de Roland se rapport à la histoire et elle est devenue très important pour la propagation de la religion (ideal chrétien) et la politique.
Au XVe siec se développe l’Humanisme en Italie puis en Europe. L’Humanisme est un mouvement litteraire qui a comme element principal l’étude des textes classiques (latins et grecs) de façon critique. En effet on se développe la philologie qui permet d’éliminer les erreurs faits par les copistes. Les « humanistes » sont personnes très éerudits, éclectique (par exemple Leonardo da Vinci) et très ouverts. Il y a un conception de l’homme et de la vie très different que le Moyen Age : l’homme est au centre des la vie avec ses faculté et ses activités. Cette vie est important, pas seulement celle de l’au-delà et l’homme doit etre heureux. ça explique aussi le fait que les contenus des textes classique et les écrivains sont plus aimée que ce du Moyen Age.
Influenza dell'Humanisme in Francia
La France est beaucoup influencée par l’Humanisme italien soit en littérature (Petrarca, Ariosto, Machiavelli ecc) soit dans l’art (Leonardo da Vinci, Bernini, Michelangelo, Raffaello etc.). On se développe une culture très raffinéè qui caractérise la noblesse.
Les pendus designent les humains par « Frères humains ». Les pendus veulent donner des conseils aux humains ne pas les agresser. En effet ils leur demandent d’avoir de la misericorde.
Les corps des pendus son tristes à cause de la mort. L’effet produit par la description de leurs corps est très fort et macabre : c’est difficile penser qu’ils parlent et semble vifs. Ils éexpriment aussi de la melancolie : ils sont chagrinés de leur mort et ils veulent empecher que les humains fassent leur meme fautes.
Les peurs des pendus sont celles qui caracterisent le Moyen Age. Ils ont peur que les humains privilegent trop la chair mais sourtout de ne pas méprise la mort. ils doivent prier Dieu pour ne pas avoir paur de la mort. Puis les pendus imaginent Dieu comme un juge et pour cela qui ils disent à les humains de le prier afin que Dieu les absoudre. Ils ne veulent pas d’etre oublier.
Confrontation : « La ballade de pendus »(Villon) et la « Ballata degli Impiccati » di De André-Bentivoglio)
Confronto tra ballate
Les diffences entre les deux ballades sont beaucoup. Principalment les temps : la ballade de Villon est du Moyen Age, pourtant l’autre est du vingtième siecle. L’attitude des pendus changes beaucoup : les penduse de Villon ont peur de Dieu et ils expriment une forte tristesse et melancolie, pourtant les pendus de De André sont cruels et ils n’ont pas peur de Dieu. Dans la ballade de De André manque le theme religieux qui est le sentiment principal dans l’autre. Les pendus de Villon veulent donner des conseils aux humains pour ne pas faire des fautes, pourtant les autres semblent moudir les humains, qui les ont dérisé et ignorés. Les pendus de De André sont désespérés et ils ne pensent pas d’etre aider.
Entre Humanisme et Renaissance (XVI siec)
Lire : Joachim du Bellay : »Les Regrets » (1558)
La Renaissance (XVI siec)
Rinascimento e poesia lirica
Au XVI siecle il y a une renaissance des lettres et des arts en France. Cette renaissance est influencée parr le « Rinascimento» italien, le period des grands changements. Le courtisan est une des figures le plus important ; ils peuvent continuer ses etudes grace à la protection des princes. En echange ils ecrivent des œuvres qui celebrent les événements de leur cour et de leur prince. La forme la plus célèbre est la poésie, surtout celle lyrique, qui reprend le thème de l’amour. ça depend de l’influence de Petrarque, le grand poète lyrique italien. Beaucoup e poètes s’inspire à lui et ils commencent à créer des genres nouveaux. Ils forment en 1556 une école poétique nomméè la « Pleiade ». Le nom renvoie à la costellation de sept étoiles et aussi aux sept poètes de l’ecole alexandrine (II-I siec av. J. C.). Cette poèsie est caractérisée par une ecriture très complexe qui emploie des figures rhétoriques, des comparaisons et des métaphores. L’importance de la Pleiade est de avoir crée une poésie très autonome, qui exprime des sentiments très fort. Elle doit aussi reflèté les inquietudes de l’époque à cause des guerres de religion entre protestants et catholiques. Elle commence à exprimer soit le theme de l’amour soit le theme de la mort, de la melancolie. La forme poétique qui prévale dans ce période est le sonnet. Le sonnet est une forme très bref et concentré qui peut exprimer des grands sentiments et verité en peu de vers. Les vers aussi sont caracterisés par une grande musicalité.
Barocco e libertà artistica
Le baroque est un mouvement artistique et litteraire qui est né en Italie pendant le XVIeme siècle. Les guerres de religion entre les protestants et les catholiques et l’instabilité politique ont provoqué beaucoup des bouleversement qui ont causé une crise des consciences. L’homme comprend la diversité et l’irregularité du monde, une monde qui change toujours. L’homme se sent libre de choisir parce que rien est fixé, mais tout change et se meut. La liberté est très important dans ce period : l’artiste ou l’écrivain « baroque » n’as pas de limites et il refuse aussi de s’enfermer dans des genres codifiés.
Sur le plan artistique et architectural les œuvres sont caractérisées par des formes fastueuses et opulentes très riches des ornementations. Après le Concil de Trente (1545-1563) surtout les eglises romains expriment cette idée de faste et de richesse : en effet l’eglise de Rome veut s’imposer par tous les moyens à contrarier le protestantisme.
Sur le plan littèraire, le baroque se traduit dans la recherche des contrastes, d’images insolites. Les artistes meulent le sublime et le grotesque dans leurs œuvres. Ils aiment la nature parce qu’elle fait comprendre le transformation incessant du monde. Le langage est très complexe, riche de figures rethoriques, surtout des hyperboles. Un des artistes est Théophile de Vian qui a écrit des poèmes liriques er aussi une tragedie (« Pyrame et Thisbé »).
La préciosité.
Preciosità e idealismo
La p. est un mouvement social et litteraire qui est né en France. Il s’est développé aussi dans les autres pays, en Italie prend le nome de « Marinisme » (du poète Marino), en Espagne il s’appelle « Gongorisme » (du poète Gongora) en Angleterre c’est le « Euphiusme » et en Allemagne, le « Schulst ».
Ce period est caractérisé par l’utilisation d’un langage très raffiné, complexe et affecté avec beaucoup des figures hyperboliques. On a la necessité de se distinguer et de surprendre. Alors on commence à naitre les salons littéraires (au précieux) fréquentés par les nobles et la bourgeois très cultivé. Dans ces salons on s’apprend les belles manières grace aux femmes surtout (Madeleine de Scudéry) : la femme est comme une etre parfait, inaccessible et cruel aussi. Le Thème le plus important est l’amour entre les gens de la cour: c-est un amour idealisé, très rigide. Le poète le plus célèbre est Vincent Voiture qui parle de ce type d’amour.
Dans ce period et aussi dans la preciosité, on se développe un courant idéaliste qui privilège l’esprit sur la materialité. On doit garder toujours la liberté d’esprit. Cette conception s’incarne dans l’ideal de l’héroisme et il est bien representé avec Corneille qui exalte la gloire, l’orgueil, la chevalerie, l’amour, le bel esprit, le stoicisme etc. L’idealisme s’exprime aussi dans la poésie et dans le roman (Malherbe, de Sale etc). Opposé au idéalisme, on se développe la courant realiste. On a besoin de tenir compte des mœurs de l’epoque dans tout leurs aspects, soit negatifs soit positifs. On se tourne en ridicule l’ideal héroique et on se crée des personnages pittoresques. Le réalisme s’exprime surtout dans le roman et aussi dans la poésie satirique (Sorel, Régmer etc).
Un seul fait (cohérence esthétique)
Plusieurs événements et intrigues (complexité)
TEMP
Un jour (durée representation =durée action)
Plusieurs jours, mois parfois années
LIEU
Changement de décor (epace scenique =lieu de l’action)
Meme espace scenique (évoquer plusiers lieux)
Teatro e amore tirannico
Analyse de vers 1584-1606 (Acte V, scène II)
• Le jeu des gestes.
1. Le mots qui appellent une mimique sont presque toujours des phrases entières. Il y a la phrase de Arnolphe, « Mon pauvre petit bec, tu le peux, si tu veux » apres laquelle il fait un soupir. « Regard mourant » et « morveux » et je crois que les deux mots « regard mourant » appellent un visage pitoyable, pourtant morveux appelle une grimace de mepris. Encore quand il dit à Agnès : « je te caresserai, je te bouchonnerai, baiserai, mangerai… » avec lesquelles il semble être doux et sensible. En fin quand il parle à part il y a le mot « ingrate » et les phrases « veux tu que je me batte ? », « veut tu que je m’arrache un cote de cheveux ? »
2. Agnès décide de parler parce qu’elle veut lui expliquer que le fait d’etre laissée par lui à l’ecart de tout et de tous à seulement provoqué le mépris. Elle veux revendiquer se dignité et liberté, parce que elle est libre d’aimer ceux qui elle veut.
• L’amour tyrannique
3. Arnolphe pense que Agnès se soumet facilement à lui en lui disant qu’elle pourra etre séduisante, belle et heureuse. Je crois que Arnolphe et Agnes semblent comme le dresseur avec un bete qui ne veut tout à fait lui obeir. Je crois que pour Arnolphe l’amour est un rapport de subordonnante ou l’homme est superieur de la femme. Il explique qu’elle aime le jeune Horace par « quelque sort que Horace as jeté sur elle ».
4. Les expressions qui montrent l’amour d’Arnolphe sont « Et tu serais cent fois plus heureuse avec moi », « je te caresserai…tout comme tu voudras tu pourras te conduire… »
• L’amoureux ridicule
5. Les exagerations sont beaucoup. Il y a « soupir amoureux », « Et tu seras cent fois plus heureuse ». Tu le seras toujours (brave et leste), « Sans cesse nuit et jour, je te caresserai… »
6. Les protestations d’Arnolphe sont inutiles parce que ces sont faux. Il est superficiel, il parle de son amour comme un « affaire ». Pour lui est seulement un question de principe. Il est raté.
7. Arnolphe ne pourra jamais etre emouvant parce que il est hypocrite et superficiel. Il peut faire rire parce que il est ridicule avec ses mots et ses presumables gestes.
« Don Juan » (Molière, 1665)
Don Juan e il povero
Analyse des scènes 1,2,3 ; Acte II
• L’échange impossible.
1.
- Le pauvre demande quelque aumone
- L’occupation du pauvre de prier le ciel tout les jours
- La provocation : Don Juan donne un cavis d’or au pauvre, pour que le pauvre jure
2. La scène peut interesser les spectateur par plusiers motives. Elle peut intéresser pour voir les réponses blasphématoires et anticonformistes de Don Juan pour cette periode la ; ou pour voir si le pauvres cédrat à la provocation de Don Juan.
3. Il est un peu sévère et très sarcastique. Son impatience est accentué par la repetition croissant des mots d’action comme « prends », « jures » etc.
• Le seigneur et le pauvre.
4. Le pauvre justifie l’aumône parce qu’il prie le ciel pour la prosperité des gens de bien ami lui donnant quelque chose.
5. Don Juan aurait du etre à l’egard du pauvre hypocrite en le faisant croire que s’il prie il aura une bonne ricompense. Ou il aurait donné le louis d’or, en faisant semblant d’etre genereux et toujours aident les pauvres hommes. Don Juan pourtant, se moque du pauvre avec le mot « occupation » et apres dans tout le deroulement du dialogue.
6. Don Juan a eu l’honneur et du courage quand tout de suite il secourt un homme qui est attaqué par trois autres.
• L’athée et le croyant
7. Le pauvre résiste à la tentation, parce que il ne veut pas commettre le péché de jurer et il doit seulement prier.
8. Il veut se moquer de la foi, de la charité et de la religion… « Un homme qui prie le Ciel tout le jour ne peut pas manquer d’etre bien dans ses affaires » (vers 27-28) : avec cette phrase Don Juan est très agressif contre la religion. Il veut adfirmer que la religion est inutile pour vivre et seulement qui n’as pas de problèmes economiques et donc il peut se permettre de ne pas travailler, peut « occuper le temp » avec la religion. La religion est une invention de l’homme : « et tu es bien mal reconnu de tes soins » (vers 31-32). Cette phrase moque de la foi en particulier. La foi ne suffit pas pour gagner un morceau de pain ou de l’argent. Don Juan veut adfirmer que la religion est une limitation des humains, elle les rend passiv : au contraire, ce qui est fondamental pour Don Juan sont surtout les actions dictées par la raison. « Tu n’as qu’a voir si tu veux gagner un louis d’or ou non » (vers 36) : ça c’est l’adfirmation finale entre les plus importants du extrait. Avec cette phrase, Don Juan peut sembler un homme pingre, mais il est seulement realiste : tout ce que la pauvre a besoin sont de l’argent et de nurritures pour continuer à vivre. La religion se presente encore plus forcement comme un moyen contre la vie : elle peut tellement brouiller l’esprit qui l’homme ne s’avise pas d’etre devenu une marionette. ça c’est aussi le point ou Don Juan commence s’irriter de la resistence du pauvre. Il s’irrite justement parce que le pauvre est une marionette de la religion et il ne comprend pas l’importance de ce louis d’or qui lui permettra de manger et donc de vivre. Je pense que le pauvre n’est pas seulement le personnage de cette œuvre, mais il represente l’entière classe sociale des pauvres. Ils sont resignés à la vie parce que elle ne donne que pauvreté et soumission aux puissants. Comme peuvent-on échapper à cette situation ? Avec la religion. La religion est le seul refuge libre, ou le puissants ne peuvent pas intervenir. C’est le symbole de la résignation. «
9. « Tu n’a qu’a voir si tu veux gagner un louis d’or ou non » (vers 36). La volonté humaine est fondamentale et ca dépend réciproquement par la raison humaine. Quand on raisonne, on a la volonté de comprendre un « pourquoi » ou un « comment ». Dans ce moment je veux citer une phrase très vrai : « Chi ha un perché per vivere sopporta qualsiasi come ». Cette aphorisme est un grand philosophe du XIX siècle c'est-à-dire Nietsche.
10. La formule « l’amour de l’humanité » (ver 43), suggère non pas une resignation de Don Juan, mais une acceptation du état du pauvre. Il donne le louis d’or au pauvre seulement pour amour que pour Don Juan c’est à la base de la vie. L’amour pour la vie est libre er il ne soumit pas aux mauvaises et aux oppressions de la société corrompue. Il est surhumaine, il est « libertin » comme Don Juan.
« Phèdre » (J. Racine, XVII siècle)
Phèdre e l'amore proibito
Analyse des vers 1-62 (Acte I, scène 3)
• Lecture globale
1. Les personnages de cette scène sont Oenone et Phèdre.
2. Phèdre se sent coupable d’amour très passionné. Elle est pourtant la victime de Vènus.
3. Les lieux où se deroule l’action sont Athènes, le temple de Vènus (les autels) et Trézène pour l’exile d’Hippolyte).
4. Le voyage de l’amour
• Lecture analytique
- Structure du texte.
5. (vers 1-14) Phèdre révèle son amour pour Hippolyte, son fils. Elle éprouve un amour très fort mais elle sait aussi que c’est un amour incestueux, « comble des horreurs ». Oenone se désespère et peste le Ciel.
6. (vers 15-62), Naissance de Hippolyte. Phèdre tombe amoureuse de Hippolyte. Batiment d’un temple pour Vénus. Exil de Hippolyte. Envie de mourir de Phèdre.
- Les personnages et l’intrigue
Phèdre. Oenone justifie Phèdre une victime d’une fatalité, parce que Phèdre dit que Venus as décidé son destin.
L’intrigue. Phèdre essaye de réprimer son amour malheurex avec plousiers efforts : elle bâtit et orne un temple pour Venus, elle sacrifie à toute heure des victimes. Enfin, elle fait bannir Hippolyte de la ville par Tesée, avec le prétexte que Hippolyte a essayé de la violer. Phèdre n’a pas perdu toute lucidité, à cause d’amour, ou mieux, elle s’en serve pour echapper à son destin malheureux.
La forme
V. 1-14. Parce qu’elle sait que son amour est incestueux, que ce n’est pas juste. Le rythme reflechit ses sentiments.
V.19. Le vers exprime parfaitement les troubles d’amour. Le vers est très court, mais justement, pour ça que il est profond. Il exprime un mouvement croissant comme l’amour ; la première mot, le fait de voir, est aussi la première chose qui montre la beauté d’une personne et il fait tomber amoureux pour elle. Le fait de rougir est typique de ceux qui est amouré : la presence de la personne aimée, fait emouvoir et les emotions se montrent avec le rougeur et aussi le battement accéléré du cœur.
Le fait de pâlir peut comporter beaucoup d’explication : on palit quand on est conscient ou presque q’on est soumis à un amour trop fort et passionné ; on palit quand on a peur de n’être pas aimé ou de perdre la personne aimée.
v. 19-22. Je crois que « le corps est le miroir de l’ame » donc tous les emotions et sentiments percevues par les sens, vont se montrer avec des gestes « presque » unvolontaires. La passion est un sentiment très fort, torturant et il peut aussi conduire à faire des gestes en opposition entre eux ( p.e. transir et bruler).
La tonalité lyrique colore le rècit de Phèdre en plusiers façons : la forte repetition du pronom « je », les frequents descriptions de ses tourments d’amour (« je rougis, je palis , les yeux ne voyait plus, je ne pouvais parler etc. »), l’usage des adjectives très forts (« ame à perdue », « cris eternels »). Aussi il ya des exclamations tragiques qui expriment une certain résignation.
Racine, auteur.
Racine plonge surtout dans le monde grecque et il est classique, en suivant les regles classiques. C’est qu’il est important pour lui, comme artiste, c’est de toucher avec l’espression des sentiments et des troubles du personnage, le spectateur. Le personnage racinien est combattu pour ses sentiments et il se résigne parce qu’il rencontre des obstacles plus fort de lui. Il est donc un victime et le drame, en Phèdre est de soumettre au destin. Le Racine janseniste est pessimiste, l’homme est coupable par sa nature (le péché original) et on ne peut pas échappé au destin inéluctable. Phèdre est perdue et elle sait son destin cruel.
Tecnica drammatica di Racine
La technique dramatique de Racine
La technique dramatique de Racine se fonde sur les règles classiques de la tragédie. Tout se déroule en une journée progressivement jusqu’ à la crise finale qui s’accomplit avec la mort du personnage. L’action est simple et elle doit toucher le spectateur. En effet ce qu’il est important sont les sentiments, les troubles exprimés par un langage élégant (en vers), très équilibré, harmonique et lyrique. Donc le spectateur peut s’identifier dans le drame de Phèdre parce qu’elle n’est pas représentée comme un être surréel, mais comme un être humain soumis aux passions et aux événements. En effet pour Racine les sentiments sont les plus importants des autres choses et la passion amoureuse est toujours la plus forte.
Racine est enlevé a Port-Royal par les grands-parents et ses amis jansenistes. Ils le feront passionné de la littérature grecque. En dix ans, de 1667 à 1677, il écrit sept chefs- d’œuvre inimitables. Il épouse une jeune-fille et elle aura sept enfants. Il devient l’écrivant officiel de Louis XIV.
Illuminismo e spettacolo
Le siècle des Lumierès (XVIII siècle)
Les lettres Persanes : Rica au même, à Smyrne (Montesquieu, n. 30, 1721)
Le gout du spectacle. Je crois que cet extrait pourrait être représenté comme une scène de théâtre. Il y aurai tous les françaises dans la loge et tout de suite Rica devrait entrer et attirer l’attention de gens. Selon le mouvement de Rica, les differents types de gens devraient l’en tourner. Il y aurait beaucoup des couleurs sur les vetements des femmes qui donnent l’effet d’un arc-en-ciel et après le bruhaha des jumelles des gens et leurs regards étonnés, presque abrutis.
Humour et autoportrait. Surtout il y a une très bonne opinion de soi meme. Il est un très bon observateur du entourage et il est aussi rusé, parce qu’il sait comment se comporter avec les autres et il se moques d’eux.
Dans le premier paragraphe il y a l’eclat de curiosité et des regards des françaises pour Rica, en habit de Persan et donc très different par les occidentals. Dans le deuxieme il y a la parte d’attention pour Rica, parce qu’il s’est habillé à l’européenne. Rica subit aussi une evolution : dans le premier il est étonné de se trouver dans une telle situation, dans le deuxieme il sait comment trouver un remede. Mais dans les deux paragraphes le fait que Rica est stereotypisé et jugé est en commun, soit pour les vetements, soit pour la langue.
Rica a Rhèdi, à Venise (Lettre n. 99)
Le despotisme de la mode (3 à 14). « Une mode nouvelle viendrait detruire tout mon ouvrage , comme celui de leurs ouvreurs, et, avant que tu eusses reçu ma lettre, tout serait changé » (6-8)
« Une femme qui quitte Paris pour aller passer six moins à la campagne en revient aussi antique que si elle s’y était oubliée trente ans » (9-10).
« Le fuls me connait le portrait de sa mère, tant d’habit avec lequel elle est peinte lui parait étranger » (10-12).
L’art de la caricature (15 à 22). « Il a été un temps que leur hauteur immense mettait le visage d’une femme au milieu d’elle-même » (16-17).
« Les talons faisaient un piédestal qui les tenait en l’air » (18-19).
Le Romantisme (XIX siècle, Sentiment et nature)
Caractères generals du Romantisme
1) Le sentiment est ce que la raison ne peut pas expliquer, donc il représente l’irrationalité. Par la raison les hommes sont tous égaux, par le sentiment ils peuvent être uniques, libres, originaux. Il y a la valorisation de l’intuition, de la spontanéité et de la fantaisie.
2) Retour à la fois : spiritualisme (occultisme inconscient). Le monde est vu comme un organisme vivant et Dieu est dans toutes les choses (nature et histoire).
3) L’histoire : valorisation du pittoresque, de la tradition populaire, dominée par la nécessité (Nationalisme, decouverte du Moyen Age).
4) Contraste entre l’individu et le monde à travers :
a) Revolte
b) Evasion (souvenir, reverie)
c) Solitude (angoisse, « mal de vivre « , ennui)
5) Vie : devenir sans fin vers l’infini
La vie culturelle in France
• Debat des idées
1) Le « conservateur » (Chateaubriand), livre « Le conservateur letteraire (1819 ; Hugo, Vigny, Lamartine).
- Defence du trone (Aristocratie)
- Spiritualisme religieux
2) « Liberaux » (heritiers de la Revolution, bourgeoisie)
« Le Globe » (1824, Hugo, Stendhal)
- Defence de la liberté (Démocratie)
- Anticlericalisme
« Le Cenacle » (1824) : partecipation au salon : Hugo, Vigny, Lamartine, Nerval, Dumas etc. appelés les « Jeunes –France « .
Bout : progrès de la littérature
- Generation du 1830 : jeunes bohémiens contre la bourgeoisie. Isolation et marginalisation par la societé. Artiste : être isolé dehors de la societé. Deux aspects : 1) isolement, 2) engagement politique (courant idealiste, combat social 1848).
Teatro romantico e dramma
Le théâtre romantique
Avec le Romantisme on a la necessité de renouveler le theatre aussi , plus libre, plus vivant contre la rigidité du theatre neoclassique, qui se base sur l’imitation des Anciens.
1) Theatre de Boulevard : le Melodrame : il s’agit d’œuvres populaires, caracteriees par le mélange des genres, le rejet des unités, la recherche d’emotions forts. Il a comme thématiques les séquestrations, les tortures, les cataclysmes, le triomphe des bons sur les mechants. Examples : « Lettres a M. Chauvet sur l’unité de temps et de lieu dans la tragédie » (Manzoni, 1820) ; « Racine et Shakespeare » (Stendhal, 1823).
2) Le drame : c’est avec la « Preface de Cromwell » (1827) de Victor Hugo, qu’on aboutit à la creation d’une nouveau genre théâtrale, le drame. Dans la P. Hugo affirme l’inutilité de l’unité de tempes et de lieu aristotélique. Il dit que c’est comme « un cordonnier qui voudrait mettre le même soulier à tous les pieds ». Hugo et les romantiques veulent une representation complete de la vie dans tous ses aspects, sublimes et grotesques. On à la creation des heros universaux, enseignements morales et un certain grade de lyrisme.
Storia del XIX secolo
Schème du hisotire du XIX siècle
1. Premiere moitié (1799-1851)
Apres la Revolution francaise (1789-1799) la France se retrouve dans une situation politique complexe. Il ya le conflict ideologique entre deux grands parties : les conservateurs qui veulent le retour de l’ancien regime et les republicains (socialistes, liberistes) qui veulent la Republique, ouverts aux nouvelles idées socialistes et utopiques developpées par le comte de Saint-Simon et par Charles Fourier.
• Napoléon Bonaparte (1799-181).
1799, il ya le coup d’Etat de N., il renverse le Directoire et le replace par un Consultat (pouvoir esecutif), où N. est le « premier Consul ».
1804 : il est proclamé Empereur par le Pape Pie VII. N. procède à l’élargissement du Empire ( politique coloniale, Portugal, Espagne, Afrique, Italie, Angleterre, Russie, Autriche). Code civil e promoteur des valoires de la bourgeoisie (economie, religion, egalité) contre le vieux système feodal, fondé sur les privileges.
1814 : Exil à l’Ile d’Elbe après le disastre de la campagne de Russie
1815 : Defaite a Waterloo et exil à l’Ile de Sainte-Helene. 1821 : mort de N.
• La Restauration (1815-1830).
1814 : « Congrès de Vienne » avec le quel il y a la restauration des anciens regimes en Europe. En France, Bourbons avec Louis XVIII. La « Charte Constitutionelle » transforme la monarchie en regime parlamentaire sur le model anglais avec :
- Chambre de Pairs (les membres choisis par le Roi)
- Chambre des Deputes (droit de vote la bourgeoisie).
1816 : « Terreur Blanche », nobles et aristocrates qui persecutent et massacrent les jacobins.
1824 : Charles X : il reprime toutes libertés aux democratiques en faveur des nobles.
1830 : « Les Fois glorieuses », la revolte populaire renvoie les Borbons.
• La monarchie de Juillet (1830-1848)
Louis-Philippe d’Orléans, soutenu par la bourgeoisie est consideré comme un ‘roi liberal’, mais à la fin il s’appui sur les conservateurs, financieurs, banquiers, commercants. Il s’oppose soi aux liberaux qui veulent élargir le droit de vote aux hommes instruits, soi aux republicains qui veulent le souffrage universel.
1848 : « le printemps du peuple ». A cause d’une crise economique et grace à la publication du « manifeste du parti communiste » de Marx, le peuple se revolte. Le gouvernement provisoire avec les republicains et les socialistes (Louis Blanc) proclame la deuxieme Republique et procédé :
- Abolition de la peine de mort
- Abolition de l’esclavage
- Liberté de presse
- Suffrage universel
- Proclamation du droit au travail
Louis-Napoleon est élu president de la Republique (neveu de Napoleon I)
2. Deuxieme moitié (1850-1900)
1851-52 : Coup d’Etat de Louis Napoleon et la proclamation du Second Empire et il prend le nom de Napoleon III. Regime autoritaire (bourgeoisie) avec :
- Stabilité
- Developpement industriel
- Expansion coloniale (Algerie en 1857 ; Saigon et la Cochinchine en 1861 ; Cambodge en 1867 ; Senegal en 1865).
1859 : II guerre d’Indipendence : la France combats avec l’Italie contre l’Autriche (Armistice de Villafranca).
1862 : Echec de l’expedition francaise au Mexique
1870 : guerre contre la Prusse : « battaile de Sudan », où la France perd et elle est obligée à ceder l’Alsace et la Lorraine à l’Allemagne.
• La troixieme Republique (1870-1940)
1870-71 : Léon Gambetta, membre du Gouvernement Provisoire, proclame la République et Thiers est nommé chef du Gouvernement.
1871 : « la Commune » de Paris (I Commune, 1793-1794), le peuple parisien accuse Thiers, qui s’est retiré à Versailles, de practiser avec l’ennemi. Il se révolte et organise un gouvernement révolutionnaire (Rimbaud, Verlaine, Hugo). « Semaine sanglante » (21 – 28 mai) : des troupes gouvernementales écrase les communards. Promotion :
- Democratie directe
- Pas de distinction entre pouvoir legislatif et executif
- Substitution de l’armée avec des milices populaires
- Même retribution entre ouvriers et employés
- Gestion des industries aux cooperatives des ouvriers.
Divisions politiques : 1) Colonialistes, 2) Nationalistes (Alsace-Lorraine) , 3) Mouvement Boulangiste (1891-1899) : le General Boulanger avec des republicains radicaux veulent revisionner la Constitution : Etat populaire anti-parlamentaire, 4) Mouvement catholique monarchiste, 5) Mouvement socialiste, 6) Anarchistes. Assassinat du President de la Republique, Sadi Carnot.
1875 : Proclamation de la République parlamentaire.
1) Chambre des députes : élue pour 4 ans au suffrage universel direct.
2) Senats : legiferation.
3) Le President : elu pour 7 ans par les deux Chambres, dirige l’armée, initiative de lois avec les Chambres, droit de grace.
1879 : Jules Grévy, president. Reformes :
- Liberté de la presse
- Liberté de reunion, formation des syndacats professionnels (CGT, Confederation General du Travail)
- Liberté de coscience
- Liberté religieuse (separation des Eglises et de l’Etat) 1905
1894-1906 : « L’Affaire Dreyfus » : Alfred Dreyfus, juive, capitaine à l’état major general, est accusé par le service de reinsegnements de l’armée d’avoir communiqué des documents secrets aux Allemands. Arreté pour espionnage, jugé condamné et degradé en 1894, il est deporté au bougne de l’Ile du Diable en Guyane. Deux factions : 1) Dreyfusards (Gauche) : le journaliste B. Lazare aide la famille Dreyfus et prend parti pour la revision du proces ; 2) Anti-Dreyfusards (Droite) : antisemitisme.
1898 : E. Zola : « J’accuse » (l’Aurore) : suicide du colonel Henry : fausse accusation
1906 : Rehabilitation et la reintegration dans l’armèe de D.
• L’aventure coloniale
1) Afrique
1830-47 : Algerie. Cause : coupe de chasse-mouches à l’ambassadeur francais. Guerre coloniale : General Bugeaud contre Abd-El-Kaden. Guerrila : mobilité, les soldats attaquent les postes avancés, puis disparaissent dans la nature. Colonisation militaire et civile.
1884-1914 : partition définie de l’Afrique entre France, Belge, Angleterre, Allemagne, Espagne, Portugal, Italie.1895 : Madagascar : plus meurtrière.
2) Asie
Fin du XIX eme siècle : Indocine (Vietnam, Laos, Cambodge).
12 milions de kilometres : Empire colonial francaise.
Le Symbolisme (miotié/fin XIX siècle)
Le « Symbolisme » est un mouvement littéraire et artistique qui est né en France pendant la moitié jusqu’à la fin du XIX siècle. Ce mouvement, comme sugère le nom, est caracterisé par le symbol. c’est-à-dire une chose, une image qui, prise de la realité concrète, sugere une realité trascendente, supérieure. La realité concrète celle qu’on voit avec les yeux, est seulment « le voile de Maia », qui cache le vrai mystere de la vie, « l’inconnu ». La chose important pour les artistes et les poètes symbolistes n’est pas de decrire fidèlement la realité, mais d’extraire de celle-ci l’essence même invisibile et spirituelle. Le S. en effet, nait en reaction contre les certitudes materialistes et scientifiques du naturalismes et, du poin de vue philosophique, contre le positivisme. Les artistes et les poètes symbolistes ont le besoin d’exprimer leurs états d’ame, leurs interiorité à travers les symboles. La realité donc n’est plus representée avec objectivité, mais celle est subjective, c’est-à-dire filtrée des sentiments, des emotions et des états d’ames des artistes. Les symbolistes donc sont beaucoup influencés de la pensée romantique, laquelle donne toute l’importance à l’individu et à sa vie interieure. Les symboles n’ont pas une valence universelle, mais chaque artiste et chaque poète leur donne un sens tout subjectif, selon leurs sentiment et leurs rapports avec la realité. Le S. pourtant ne se fait pas des scupoles en representant soit le Bien soit le Mal, parce que l’interiorité des humains est fondée sur ce dualisme.
En 1886 le S. devienne en littérature un mouvement officiel, parce que Jean Moreas publie un article dans le « Figaro », où il y en recense les points fondamentaux. Ce sera le manifeste du symbolisme pour tous les écrivains du « Salon de Mallarmé », consideré le maitre veneré.
Les elements principaux de l’école symboliste
Cette école s. ne dure que presque dix ans, de 1885 jusqua 1895. Les écrivains retrouvent dans la poesie la forme privilegée pour leurs buts.
Du point de vue formel cette poesie est influecée de la pensée romantique, parce qu’elle aussi refuse toutes règles classiques. Elle s’oppose donc à la poesie du « Parnasse » une école francaise contemporaine à celle symboliste, dans laquelle les poètes se rattachent à l’ideal grec de la perfection et de la rigeur structurale. Pourtant le « Parnasse » est nait en reaction contre le romantisme pendant la moitié de XIX siècle. La poèsie est considerée le seul moyen qui peut sonder les abimes du inconnu, du mystère de la vie à travers les mots et leurs pouvoir évocateur et suggestif. Elle peut approcher à la connaisance qui mene à l’Absolu. La synesthésis et l’analogie sont les instruments stylistique qui evoquent les correspondances existant entre le monde visible et invisible. Il y a ainsi la creation du symbol, qui est le rencontre entre une image concrète et la realité spirituelle, suggéré par un reseau de sensations. Les mots sont donc rares, la sintaxe est complexe et dense des images allusives. La forme peut être une forme classique, comme le sonnet, mais il y a aussi l’usage des vers libres et des formes nouvelles. La caracteristique la plus commune est la musicalité des vers, parce que la musique est aussi considerée l’art la plus profonde et suggestive.
Les écrivains les plus importants du s. sont Stephan Mallarmé, consideré le maitre, Paul Verlaine, Arthur Rimbaud et après le neosymbolisme avec Paul Valery et Paul Claudel. Mais le point de depart fondamental pour comprendre soit cette tendence soit l’inquietude de la decadence est Charles Baudelaire.
« Méditations poétiques » : Le lac (A. de Lamartine, 1820).
Résumé. Cette poésie, écrite par Lamartine en 1820 représente le poète même, près du lac (le lac de Bourget) réfléchissant sur la vie et le temps. Il se souvient alors de Julie, sa femme aimée et des journées possèdes là-bas avec elle.
Analyse. Les temps. Lamartine utilise alternativement les temps du présent et les temps du passé, parce qu’il parle de deux différents situations. Dans la première strophe il utilise le présent parce que c’est la première réflexion sur le temps, pendant qu’il se trouve devant le lac. Dans la deuxième il y a le temps du présent et ce du passé : il « parle » au lac et au même temps il commence se souvenir de Julie qui n’est pas là avec lui. Dans les deux suivants le temps est passé : il pense avec douceur aux journées passées avec elle près du lac. Les derniers deux sont des réflexions ou même des exclamations et donc le temps utilisé est le présent. L’alternance du temps dépend de l’alternance même du présent, qui représente le poète en méditation près du lac ; et du souvenir de Julie et du temps passé avec elle.
Julie. Elle est représentée très doucement. Elle semble une créature harmonieuse de la nature : dans la deuxième strophe « chéris » qui se rapporte grammaticalement aux « flots » en réalité il se rapporte à Julie, parce qu’elle est chérie par le poète. Dans la strophe suivants le poète parle de ses « pieds adorés » qui nous fait penser à la délicatesse et a la pureté de son corps.
Interprétation. Avant tout le poète médite dans la nature. La nature, en ce cas, le lac est le refuge du poète romantique. Dans la nature il ne trouve pas seulement l’inspiration à écrire des poésies, mais aussi la consolation à ses réflexions. Dans la première strophe le poète réfléchit sur la condition de l’homme, lequel est obligé à continuer sa vie sans l’arrêtée une minute. Le temps ne peut pas s’arrêté, il coule fébrilement. Cette réflexion dépend par l’état d’âme du poète : il est triste et il sent la nostalgie de Julie, qui est loin de lui. Il aurai voulu fermer le temps quand il était avec elle en se promenant dans le lac. Alor la mémoire avec le souvenir est le seul moyen pour fixer le temps. Il se souvient avec plaisir de ces moments, quand il était heureux et il pouvait être près d’elle et l’aimer. Avec force et passion, il réclame pour le temps qui coule de faire savourer aux hommes les « rapides délices » de la jeunesse et des jours les plus beaux. Le poète donc fait aussi un appel à vivre la vie avec sentiments jour après jour. En effet quand on est heureux, on voudrait que le temps ne couleriez plus, pourtant quand on est apaise nos doleurs.
Romanzo storico e realismo
Le Roman réaliste et le roman historique.
H. Stendhal : « Le Rouge et le Noir » (1830)
Le Rouge et le Noir, le premier roman de Stendhal, conte l’histoire d’amour entre le jeune fils, Julien Sorel et Mme de Rénal. Julien est le fils d’un bucheron et grand admirateur de Napoleon. Son aventure commence quand il est engagé comme précepteur des enfants de Mme de Rénal, ou tout les deux tombent amoureux l’un de l’autre. Après un passage au séminaire de Besançon, Julien se retrouve a Paris comme secretaire du marquis de La Mole. Il reusse à se faire aimer de sa fille, la jeune Mathilde, quand Mme de Rénal, lui denonce d’arrivisme. Julien, furieux, essaie de l’assassiner, mais il faillit et il est condamné à mort. A la fin, Mme de Rénal abandonne tout pour vivre à coté de lui et l’aimer et Julien découvre enfin le bonheur.
Le titre et la thematique fondamentale.
Le titre du roman nous suggère à travers une metaphore la thematique fondamentale : c’est le fait de trouver une place dans la societé en choisissant le Rouge, c'est-à-dire le couvent, la carrière militaire, ou le Noir, c'est-à-dire le couvent, la carrière religieuse. Ils sont les deux choix possibles pour les jeunes qui ne sont pas riches.
Les thèmes. Les thèmes du roman, qu’on peut retrouver dans tous les romans de Stendhal sont plusiers et ils sont très liés au conception de vie de l’auteur.
Recherche du bonheur : Julien cherche le bonheur, il est ambitieux et plein d’énergie, nonobstant ses origines modestes.
« Virtù » : pour S. la « virtù » est d’avoir une ame sensible et noble (pas au sens aristocratique du terme), qui a beaucoup d’énergie pour affronter la vie et qui cherche à realiser les propres desirs, sans être ambitieux mais coscient. La virtù conduit au bonheur : Julien, grace a son ame sensible, même s’il doit accomplir des actes contre la morale et les conventions sociales en s’assumant une masque, il reusse à atteindre la bonheur en comprenant la vanité de ses ambitions (seduction). On peut donc adfirmer que le roman est un roman d’evolution, c'est-à-dire l’evolution de Julien vers le bonheur et la virtù.
Conflit entre l’individu et la societé : l’individu fait beaucoup de fatigue à trouver une place dans la societé. Dans ce roman, Julien, à causes des ses origines modestes peut choisir ou l’armée dans le period de l’Empire napoléonienne, ou le couvent avec la Restauration.
Le Realisme de Stendhal (écriture realiste)
Necessité de se documenter : introduction de « petits faits vrais » (faits historique, horaires, costumes).
« Tableau » de la societé : refléter la realité, concision, rigueur, sobrieté (tradition classique).
3° personne, narrateur interne, non omniscient : S. voit le monde à travers les yeux de son personnage, il ne décrit pas le paysages ou les sentiments, il les fait « sentir ».
Alternance du point de vue selon les personnages.
Le Roman historique : « Carmen » (P. Merimée, 1830)
• Chapitre 1
Carmen e i gitani
Le roman commence avec le personnage, un archeologue qui se trouve en Andalusie à la recherche d’une ancienne ville, nommée Munda.
À Cordoue il a loué une guide, Antonio et deux chevaux. Dans la sierra de Cabra ils trouvent un ruisseau avec de l’eau fraiche et un petit pré vert avec un peu d’ombre. Ils veulent se reposer mais ils voient un jeune gaillard, réveillé par leurs bruits. Ce jeune homme, avec l’air un peu farouche a un espingole à la main et Antonio a peur que il est un voleur, il veut s’en aller. L’archéologue curieux lui offre un cigare, que en Espagne c’est le signe des relations d’hospitalité et le garçon semble se relaxer. L’archeologue alors cherche à savoir quelque chose à propos de Munda, mais l’inconnu ne sait rien. Le soir, ils mangent tous ensemble. L’archéologue demande à l’inconnu s’il connait le fameux bandit d’Andalousie, José Maria, mais l’homme répond brusquement que ce bandit est « un drôle ». Il les conduit à la venta, un auberge ou il ya une vielle femme qui a préparé le diner pour cet homme. En l’appelant par nom, c’est-à-dire, don José, l’archéologue et le guide comprennent que c’est le fameux bandit. Le guide veux prendre le cheval à l’ecurie pour echapper, mais Don José comprend son plan et il l’interdit. Ils dorment dans la venta, mais la guide decide de l’abandonner, parce qu’il a appelé les lanciers pour arrêter le brigand et pour ça a aura gagné deux cent ducats. L’archéologue décide pourtant d’éveiller don José et de le faire échapper aux lanciers. Le guide et l’archéologue se séparent à Cordoue.
• Chapitre 2
Le français est à Cordoue et il dois aller à la Bibliothèque des Dominicaines pour y chercher un manuscrit sur la ville Munda. A Cordoue quand la nuit tombe, les femmes se lavent dans le fleuve Gualdalquivir. Un soir pendant qu’il fume, il rencontre Carmen. Il est très touché par la beauté d’elle, par ses grands yeux. Il lui offre une cigarette et quand il fait sonner se montre, elle est etonnée. Elle pense alors qui est un anglais, pourtant il pense que Carmen est andalouse pour son accent doux. Quand elle se présente à lui comme la « Carmencita » c’est-à-dire comme sorcière, il ne se surprend pas, mais il est même interessé. Ils vont dans la « neveria » , un café et puis il l’accompagne à sa maison. Chez elle Carmen commence des cérémonies magique , quand Don José, le bandit sauvé au lanciers, arrive irrité et il commence se disputer avec Carmen dans leur langue. Apres don José prend le bras de l’archéologue et le conduit hors de la maison. Quand il est dehors, il se rend conte de plus avoir sa montre, mais il ne la reclame pas. Apres avoir consulté le manuscrit, il part pour Seville. Il voyage dans l’Andalousie quelques moins, puis il retourne au couvent de Cordue, avant d’aller a Madrid. Un Dominicain l’accueille les bras ouvertes et lui dit que don José se trouve là pour lui remettre sa montre. Ils se rencotrent, ils parlent et don José lui donne aussi une medaille d’argent, pour qu’il la donne à une précise femme quand il se rendra a Pampelune. Le jour suivant ilse se rencontrent de nouveau et don José lui raconte son histoire avec Carmen.
• Chapitre III (partagé en partie)
1. Don José, engagé dans le regiment d’Almonza, fait sa premier rencontre avec Carmen et il tombe amoureux d’elle.
2. Carmen blesse une femme dans la manufacture, où elle travaille, parce que cette femme l’à insulté à propros de son pays. Don José est chargé de la conduire en prison. Elle cherche de la convaincre à la laisser aller et don José lui repond d’echapper ensemble. Elle s’en fuit. Don José est puni et mis en prison.
3. Carmen lui envoie (en faisant sembler d’être sa cousine) du pain avec une piece d’or et deux piastres pour fuir de la prison. Il ne s’en fuit pas et il doit subir l’humiliation d’être degradé comme un simple soldat, à la porte du colonel. Il rencontre pour la deuxième fois Carmen, habillée fastuesement qui descend d’une voiture du colonel et entre dans le patio. Don José peut seulement la regarder à travers la grille. Quand elle sort, lui dit qu’elle va manger à Triana chez « Lilla’s Pastia » un bohemien vieux merchand de future. Il va chez Lilla’s Pastia et mange avec Carmen et puis ils vont se promener. Elle achete beaucoup des choses à manger, après ils vont dans une vielle maison où ils restent toute la nuit. La matin elle s’en va.
4. Don José est de faction à une brèche d’une des portes de la ville. Carmen se présente et elle lui demande de faire passer ses amis pour la consigne et gagner un « douro » . Il ne veut pas, mais il cède à ses prières. Ils se rencontre à la rue du Conduleyo, où elle lui dit qu’elle ne l’aime plus. Ils se disputent pendant une heure et ils se laissent. Don José entre dans une eglise et pleure, mais Carmen arrive et lui demande de faire la paix. Elle fixe une rendez-vous avec lui chez Dorothée mais elle n’y vas pas, parce qu’elle est partie en Portugal.
5. Don José tue par jalousie un officier, qui est avec Carmen chez Dorothée et il s’enfuit. Carmen le suit et elle le porte dans une maison où, avec une amie, elle soigne sa blessure ou front. Elle lui dit de devenir un contrebandier.
6. Don José devient contrebandier. Il connait le groupe des contrebandiers et il commence à voyager. Carmen montre plus d’amitié vers lui, quand il découvre qu’elle est marié avec un terrible bandit, nommé Garcia le Borgne. Il est plein de rage et il l’evite, quand elle part pour Gibraltar pour un affaire avec deux milords anglais.
7. Les bandits et don José vont à la Sierra de Ronda. Là don José connait José Maria le celebre bandit. Après, ses camarades lui disent d’aller chercher Carmen à Gibraltar en marchand de fruits. Il la rencontre deux jours après : Carmen, habillié en soie, est chez un officier. Il va chez l’officier et Carmen se moque de cette-là, en inventant des noms de fruits. Elle donne à Don José un rendez-vous et quand ils se rencontrent, elle lui propose de tuer l’Anglais. Il refuse, puis il accepte parce que dans cette occasion il aura la possibilité de tuer Garcia, le mari de Carmen. La nuit, José et Garcia joue à carte puis ils se combattent et José tue Garcia. Le Dancaire, un autre bandit aide José à enterrer Garcia. Au rendez-vous de l’Anglais et Carmen, José tue aussi l’Anglais et il lui révèle tout de suite qu’il a tué son mari.
8. Don José continue sa vie de bandit avec le Dancaire, Carmen et d’autres bandits. Un jour il est surpirs et quelques camarades sont tués. Il est blessé et Carmen le soigne jour et nuit pour deux semaines. Elle l’ammène a Grenade.
9. A Grenade Carmen connait Lucas, un « picador » qui lui plait. José est très jaloux et il lui interdit de le voir. Ils ont une violente dispute et il la frappe. Il part Montilla et deux jours après elle va la retrouver. Elle est gaie et ils passent des beaux jours. Elle va a Cordue où il ya des taureaux parce que Lucas est là. Il est pleine d rage, mais il se calme quand il voit Lucas cubulté par le taureaux.
10, Don José veux aller en Amerique et changer de vie, mais Carmen ne veux absoluement. Il en a assez de cette vie et de tuer tous ses amants. Elle lui dit que un jour il la tuera parce que c’est ecrit dans le destin. Il est triste et il va dans une eglise pour trouver du réconfort. Il retourne dans la venta et il voit Carmen que fait des ceremonies magiques en honneur de la grand reine des Bohemiens . Il insiste encore pour aller ensemble en Amerique mais elle refuse, alors José sous le coupe de la colère tue Carmen avec deux coups de poignard. Il l’enterre dans un bois, parce qu’elle voulais ça.
Emile Zolà : »L’affaire Dreyfus »
• Chapitre IV
Descrizione dei gitani
Dans le quatrieme chapitre le personnage donne des informations sur la culture et les habitudes des gitanes. Les gitanes sont disperses dans toutes l’Europe et ils sont nomades. La plupart se trouvent en Espagne, precisement dans les provinces du Sud et de l’Est. Les hommes exercent le contrebande, mais aussi le métier de maquignon, de veterinaire et de tondeur de mulets, le femmes exercent de la magie, elles disent la bonne venture et vendent toutes sortes des drogues. Une source de grand profits pour les femmes sorcières est la vente des charmes et des philtres amoureux. Elles usent toutes une sorte des animaux et des poudres pour les amants. Certaines femmes agréables dansent pour de l’argent, elles font danses très sensuelles.
À propos de leurs caracteristiques physiques, ils sont un teint très basané par rapport aux popolations parmi lesquelles ils vivent, des yeux fendus très noir avec des cils longs et épais. Les hommes sont très musclés et agiles, mais les femmes gitanes surtout celles d’Espagne ne sont pas assez belles. Les femmes pourtant ne sont pas assez « chastes » selon des informations de M. Borrow, un missionaire anglais, mais ils ne droisissent pas un homme immoral, c’est-a-dire qu’il doit avoir certaines vertus. Le mariage et tous les rapports entres les individus gitanes sont très importants et respectés. Pendant une visite à une tribù bohemiens, l’archéologue a eu la preuve de leur hospitalité. Un Bohemien a quitté l’hopital, où il était bien soigné pour aller mourir au milieu des ses compatriotes. Ils l’ont accueilli avec respect et ils on donné tout sorte de comodité. La mort n’est pas effrayante pour eux. Ils ne sont pas sceptiques au athées, mais ils ont la religion du pays où ils habitent. Ils méprisent pourtant l’hospitalité des gens qui habitent dans le pays parce qu’ils se considèrent une race supérieure. Ils n’ont pas des règles hygiéniques.
L’origine de Bohémiennes est encore un mystere et ils même n’ont conservé aucun tradition sur leur origine, sauf quelqu’un qui estiment l’Egypte leur patrie primitive par une ancienne fable. Les orientalistes croient quand même qu’ils sont originaires de l’Inde selon l’etude des formes grammaticales du rommani, la langue originelle. Mais si un bohémien andalous rencontre un bohémien allemand et parlent le rommani ils ne se comprennent pas parce qu’ils ont alteré cet idiome par le contact avec les langues plus cultivées. On semble pourtant que l’Allemagne ait conservé des formes grammaticales primitives, tandis que les espagnoles (Gitanos) celles du Castillan. Mais aussi quelques mots d’argots françaises dérivent du rommani et il fait l’exemple des chourin (couteau), grès (gris, gras etc).
Le XIX eme siècle : la fin du Romantisme.
G. de Nerval : » El Desdichado » (Les Chimères, 1854).
• Thème
Ce poème de Nerval a comme thème fondamentaux la figure du poète. Même si la forme est le sonnet, donc une forme classique, la nouveauté de ce poème est representée par le contenu.
• Commentaire
Le titre. « El Desdichado » nous annonce tout de suite le thème : ce mot signifie le « déshérité », c’est-à-dire ce qui n’a rien, qui a tout perd. Donc le poète est comme un déshérité et il n’a plus la fonction officielle et politique qui avait dans le XVIII ème siècle. Il a perdu son aimée.
1. Dans la première quatrain il se définit « ténébreux, veuf, inconsolé, le Prince d’Aquitaine à la tour abolie ». Il est « veuf » parce que son étoile est morte et « son luth porte le soleil noir de la Mélancolie ». L’étoile peut signifier l’espoir et le luth, qui peut représenter son âme, est triste.
Domande da interrogazione
- Quel est l'origine du récit de Tristan et Yseut?
- Comment l'amour courtois est-il représenté dans l'histoire de Tristan et Yseut?
- Quelle est la signification de la forêt dans le récit de Tristan et Yseut?
- Qu'est-ce que la chanson de geste et quel est son thème principal?
- Comment l'Humanisme a-t-il influencé la culture française au XVe siècle?
Le récit de Tristan et Yseut semble être d'origine celtique, réélaboré par Chrétien de Troyes, et influencé par la littérature provençale amoureuse.
L'amour courtois est représenté par un amour passionnel et adultère entre la reine et le chevalier, symbolisé par la fidélité des amants et l'amour éternel qui transcende la mort.
La forêt symbolise la personnalité des amants, un refuge magique où ils se cachent à cause de leur amour adultère.
La chanson de geste est un long poème épique du XI-XIIe siècle, centré sur les exploits militaires des chevaliers et leur fidélité au roi, avec un rythme fort et régulier.
L'Humanisme, né en Italie, a influencé la culture française par l'étude critique des textes classiques, développant une culture raffinée et érudite, marquée par une nouvelle conception de l'homme et de la vie.