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La construction de la popularité à partir du qualificatif
La popularité peut être construite à partir du qualificatif (*la popularité des traditions, le fait qu'elles soient populaires/célèbres). C'est une représentation hiérarchisée, à partir des informations sémantiques, on sait si on peut construire un mot. In qualche modo, abbiamo memorizzato che il sostantivo si riferisce solo al qualificativo e che il lessema è stabile dal punto di vista sintattico e formale e che può essere instabile dal punto di vista semantico.
Femme > femminilité fatto di esser donna, non di esser moglie.
Syntaxe
La question de l'existence (ou de la non-existence) de la classe des verbes pronominaux est plus compliquée de ce qu'on pourrait penser. Normalement, on identifie 4 cas : réfléchi (l'objet du verbe est au même
temps le sujet, ex : Jean se défend bien), réciproque (action à la fois accomplie et reçue par chacun des acteurs de l'action : Ils s'embrassent) ; moyen/passif (la forme sémantique va vers le passif, ex : Le blé se vend cher cette année) ou lexical (l'élément pronominal n'a plus de sens précis, ex : Ils s'assoient)
Est-ce que la voix (active ou passive) pronominale est une voix autonome ? Quand on décrit le système verbal français, faut-il dire qu'il y a des constructions actives, passives et pronominales ou bien peut-on simplement dire que la forme pronominale est un cas particulier du verbe ?
Première interprétation : les verbes pronominaux ne sont que des verbes actifs qui se conjuguent avec être.
Il y a seulement deux types de constructions : voix active et passive ; les pronominaux font partie de la voix active et n'existent pas en tant que classe.
Comme l'affirme Lauwers, le tour pronominal n'est qu'un schéma de construction. À ce point, un problème se pose : pourquoi alors certains pronominaux n'ont pas une contrepartie sans pronom (s'abstenir, *abstenir) comme (se) défendre ? Dans le cadre de cette théorie, ces verbes sont classés comme bizarreries. On retrouve cette interprétation déjà dans la première grammaire française écrite pour des Français : la grammaire de Meigret du XVIe siècle (Le tretté de la grammère françoise 1550). "La signification se doit dire active là où l'ayant réciproque l'action à soi." Je peux dire : J'aime ou bien Je m'aime, le verbe reste aimer. Certaines grammairiens divisent les verbes réfléchis et réciproques, ce qui est inutile selon Bescherelle. Le problèmed’interpréter des verbes qui sont toujours forcément pronominaux a amené des linguistes à affiner les notions de diathèse (active, moyenne ou passive) et vois. La diathèse est une catégorie grammaticale qui décrit la relation entre l’action et les participants identifiés par les arguments (sujet, objet, etc.). Exemple de Lazare du latin : occidit (il meurt) occiditur (il est tué). Au niveau sémantique, le type de scène qui se déroule change selon le point de vue. La voix est la modification du verbe, uniquement le verbe qui a une forme différente. Se repentir peut avoir une voix pronominale, après il faut voir et distinguer si c’est un verbe qui indique la réciprocité ou la réflexivité. Si on accepte la définition de Lazard, le réfléchi n’est pas une diathèse. Au niveau du sens, il dit que rien ne change (Jean se défend). LesLes actants sont les mêmes, sauf qu'il y en a un qui se superpose.
Deuxième interprétation : les pronominaux, qui se caractérisent par la présence de "se" et par l'auxiliaire "être", forment une classe à part, une troisième voix.
Cela résulte assez clair dans le cas de "s'assoir", mais il est plus difficile de le dire dans le cas de verbes comme "défendre" et "se défendre". La présence de "se" est beaucoup plus saisissante qu'on pense.
Cette idée remonte à la Grammaire de Palsgrave (L'Éclaircissement de langue française), première grammaire du français, écrite en anglais : trois sortes de verbes : actifs, passifs et moyens. La forme est passive mais la diathèse est active.
De Palsgrave on passe à Dangeau, à Benveniste et à Guillaume (idée des verbes déponents).
Dangeau est le premier après Palsgrave qui
Il affirme que la présence des pronoms réfléchis crée des verbes pronominaux, qui peuvent être divisés en 4 classes : les Identiques, les Réciproques, les Neutrisez et les Passivez. Reste le problème de la forme qui ressemble à la forme active et qui a maintenant un sens différent. Généralement on considère que les réfléchis sont les moins marqués et que les réciproques sont dérivés (La grammaire Larousse dérive les réciproques des réfléchis, Lauwers). Réciproques > Actifs (transitifs) ; Neutres et passifs > Non actifs (intransitifs neutres). Chose bizarre, les grammairiens anciens, grecs et latins, n'avaient pas toujours conscience d'un système triparti, d'où la question : la diathèse est-elle un élément essentiel du verbe ou pas?
Troisième interprétation : ce n'est pas une voix mais une conjugaison. Les verbes pronominaux ont leur conjugaison (c'est un découpage assez arbitraire. Par exemple, selon des grammairiens, on peut aussi parler de conjugaison négative ou de conjugaison impersonnelle aussi).
Depuis Dangeau : modèle biparti/quadriparti : réfléchi et réciproque, où se a du sens et neutre et passif, où il ne l'a pas.
Il y a des constructions pronominales (réflexives et réciproques) plus productives et prototypiques, c'est pourquoi on les considère les moins marquées, celles de base, elles entretiennent un rapport avec les verbes pronominaux. On a des structures pronominales plus fossilisées, qui, en quelque sorte sont moins productives, qui n'ont pas un rapport avec les autres verbes et qui ont un statut lexical, ex. : se repentir.
Mais je peux faire référence
à d’autres choses, pas forcément au contenu seulement.
Exemple :
Pour le verbe s’imaginer, est-ce que vraiment la présence de ce pronom entraîne un changement de sens ? Pas évident.
Grevisse : verbes non réfléchis (on définit de manière négative comme -réfléchi). Quel est le sens ?
La grammaire traditionnelle les définit comme neutres (s’étioler, se repentir, etc.), ensemble indécomposable de verbes intransitifs. Le pronom ne fait qu’emphatiser le sujet, celle-ci serait la seule implication sémantique.
Givón tente de définir les comportements verbaux à partir de la sémantique, du contenu. Il appelle les verbes pronominaux : de-transitive voice, forme qui n’est plus transitive.
Creissel parle de : réfléchi, réciproque et autres opérations de type moyen.
Givón parle de la scène (Prototype)
transitive event) la plus simple à la base de laquelle se produisent d'autres scènes, voire actant > élément qui subit l'effet ; patient > effet. En plus, comme il y a des parallélismes forts entre réflexifs et réciproques, il les traite ensemble. Il essaie de définir sémantiquement les passifs : le sujet et l'objet sont co-référents. Creissel : une entité interagit avec elle-même. Jean s'est défendu ; Jean = défenseur et Jean = défendu ; Jean a défendu Jean > coréférence. Dans certaines langues cette opération dans laquelle le patient devient l'agent (coréférence) est indiquée par des pronoms qui sont consacrés justement à marquer la réflexivité : She cuts her > transitive active (prototypique), deux acteurs MAIS She cuts herself > réflexive, donc un seul.
acteur.Givón remarque que cette classe, qu’on a fait dériver d’une structure transitive, souventest engendrée d’une structure intransitive (réflexive clauses need not be transitive), maisces structures peuvent ne pas être transitifs.
She cut herself
She talks to herself (Elle se parle), du coup pas forcément transitive 42
Si on prend un verbe transitif, il n’est pas sur qu’il puisse devenir pronominal intransitif.
Atypical transitives : only verbs that can take the same semantic participant type as bothsubject and object can be reflexivized.
She cooked herself
Elle s’est cuite
On ne peut les accepter que sous forme de métaphores ; on a du mal à les interpréter d’unpoint de vue sémantique. Donc, il n’est pas vrai que tous les verbes transitifs peuventdevenir pronominaux, c’est peu acceptable comme dans l’exemple précédent.
Réciprocité
: Creissel : deux entités interagissent de manière variable
Les invités se sont salués (actifs et passifs au même temps) A fait l'action sur B et B sur A
Les phrases réciproques ne sont pas transitives.
Relations égalitaires entre individus ou entre groupes
They voted for each other Ils se sont votes MAIS They cooked each other ? Ils se sont cuits ?
Du coup ce n'est pas une catégorie de verbes homogène. Il faut voir le type d'action mise en place.
Une propriété commune
Quand le sujet n'est pas humain, on a besoin d'un verbe statif intransitif. Ces deux maisons se ressemblent (verbe d'état, statif). Il faut que ce soit un sujet animé pour que l'action puisse retourner sur le sujet même.
Givón soutient qu'il est exagéré de dire qu'un verbe pronominal n'est qu'un verbe actif transformé. Il y a certes une
transitivité mais elle est inférieure par rapport à la transitivité classique (Paul mange un pomme). Mi-ch