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EUROPÉEN).
Parmis le langues vernaculaires, l'Italien et le français sont en concurrence pour la place
d'excellence.
Historicité
Grâce à l'exemple de Dante, on assiste à la naissance de l'idée d'un français idéal qui attend son
âge d'or.
La recherce sur le passé des langues s'accompagne d'un grand intérêt pour l'étymologie, pour
l'adéquation du signifié, du singifiant, pour les transformations phonétique, pour les
cryptogrammes et jeux de lettres.
L'enrichissement lexicale
Au XVI siècle la perfection d'une langue se mesure à l'étendue de son vocabulaire et le nombre de
synonimes, donc dans ce période s'enregistre une éxtension du vocabulaire et surtout de la
synonimie dans les domaines des techniques et de la pensée.
Mots anciens et dialectaux
L'enrichissement du français passe par la valorisation la langue médiéval et des dialectes.
L'étude du grec condiut à priviléger les dialectes comme le Gascon ou le Provençal en vue de
retrouver la pureté du français: on décounvre que des prononciations dialectales sont plus proches
au latin (picard) et des mots médiévaux sont remises en usage (Rabelais)
Néologie
La création des mots se fait surtout par suffixation et dérivation.
La dérivation impropre est prônée par la Pléiade, il s'agit de l'emploi de l'infinitif ou de l'adjectif
substantivés ou de l'adjectif pour l'adverbe.
La dérivation doit se faire aussi bien à partir des mots anciens mais aussi des mots courants.
De nombreux mots sont dormés par la Pléiade par
préfixation (ex. supernature)
• redoublement de la syllabe initiale (ex. babattre)
• adverbes en -ment
• composition en utilisant d'éléments hybrides grecs ou latins qui n'ont pas d'existence
• autinime (ex. Monologue)
multiplie les adjectifs en -al,-an,-é, -ier, -in, -u, -eux
• juxtaposition d'adjectifs (ex. Doux-utile)
• adjectives pris adverbialement et verbe (ex. Doux-soufflant)
• utilisation du thème verbal suivu du complément (ex. Ayme-musique)
• composition à éléments hybrides tirés des langues vernaculaires (emburelicoquer
• -adulare-)
Latinismes et hellénismes: relatinisation du vocabulaire
substitution d'une forme latine à la forme française;
• emprunts directs
• retour au sens ou au genre étymologique;
• passage au masculin des mots abstraits en -eur qui au Moyen Âge étaient féminins;
• latinismes (Rabelais), bilinguisme (doublets);
• hellénismes empruntés directement au grec sans l'intermédiation du latin comme au siècle
• précédent, surtout dans les domaines de la médecine, de la rhétorique et de la politique.
Emprunts aux langues vernaculaires
Italien: Au XVI siècle le français a emprunté 2000 mots à l'italien dans les domaines
• artistique, social, économique, de la guerre et de la navigation.
Espagnol: le français emprunte les termes exotiques proviennent des langues du Nouveau
• Monde par l'intermédiation de l'espagnol ou du portugais.
Procédés d'assimilation
Le français du XVI siècle tend à naturaliser les emprunts dans la prononciation et dans la graphie.
Quand un terme n'a pas des corréspondances en français, il se verifient 3 attitudes:
Calque
• Phériphrase
• Équivalence dans la langue usuelle (CENE-->SOUPER; HOLOCAUSTE-->BRULAGE).
•
À côté du néologisme formel, typiques de textes de Rebelais, existent des néologismes
sémantiques (cet-à-dire des acceptions nouvelles données à certain mots, comme l'extension de
sens ou usage métaphorique) typiques des textes de Montaignes.
__Résumé__
Le lexique au XVI siècle s'enrichit par le recours à des mots dialectaux, termes médiévaux,
nombreux néologismes obtenus grâce à des moyens traditionnels de dérivation et de suffixation,
mais aussi grâce à de nouveax modes de composition, par exemple avec des éléments hybrides
grecs et latins. L'importance des latinismes et des italianismes est remarquable.
Grammaire et lexicologie du francais
Dans cette période on fait des efforts de codifications et de mises en règles de la langue française.
La grammaire et la lexicologie se developpent à cette époque
Grammaire
La grammaire du latin est objet de multiples ouvrages, qui sont objet de satire de la part des
humanistes.
Les éditions de grammaires du français sont trés limitées:
In lingua gallicam de Sylvius (1531): en latin, établisse la dérivation du latin et la superiorité
• du dialect picard qui est plus proche du latin.
Tretté de la grammere francoeze de Louis Meigret, (1550): première grammaire en français,
• il suive Priscien et ajoute l'article aux huits catégories du discours dérivé du latin.
Ramus: qui attribue le différences du latin au système gaulois et met en avant le rôle
• primordial de l'ordre des mots en français.
Dictionnaires
Les premiers dictionnaires du français sont bilingues, avec définitions en latin mais ils existent aussi
de nombreux dictionnaires plurilingues.
Particularités linguistiques
Prononciation et codifications
Le système phonologique di XVI siècle offre encore les phonèmes “l” mouillé et “r” roulé.
Au cours di siècle, il y a une simplification de la double articulation nasale, amuïssement du “h”
aspiré.
Les diphtongues et les triphtongues ne sont plus que des prononciations régionales, le “e”muet
tend à s'amuïr derrière voyelle.
Dans l'orthographe, sont introduits les signes auxiliaires, très vite adoptés, les lettres “j” et “v”. Les
propositions de systèmes orhographiques, souvent phonétiques, objets de débats passionnés, ne
prévaudront pas.
Morphosyntaxe
Analogie et différenciation
Il y a une forte tendence à l'unification des radicaux et à la différenciation des marques
morphologiques.
L'analogie est très forte: on régularise des formes de pluriel sur le singulier, on oppose le masculin
et le féminin avec -e.
Pour la morphologie verbale, on a un alignement sur les flexions majoritaires.
Marques spécifiques du nom et du verbe
L'article et le pronom personnel sont reconnus comme des marques spécifiques du nom et du
verbe
Mopliplication et spécialisation des formes
Les déterminants et les pronoms démonstratifs et pessessifs tendent à se distinguer par leur
forme.
La spécialisation des conjonctions, des adverbes, des prépositions est en oevre. Les formes
nominales du verbe, dans des constructions souvent artigicielles, sont d'emploi fréquent.
Le bon usage – Débats esthétique
Les débats sur le bon usage, emprunté par la réflexion italienne de Dante, sont transposés en
français où se pose le problème du bon usage grammatical et meilleure style.
Les premières rhétoriques du français mettent l'accent sur la hiérarchie des styles et sur
l'importance du nombre. CHAPITRE V: LE XVII SIECLE
C'est le siècle de la purété de la langue et du refuse de la polyvalence: on recherche la clarté pour
eliminer les équivoques (no synonymie) en creant codifications et prescriptions.
Chaque mot tend à se spécialiser: un mot = une seule catégorie entre préposition et adverbe,
pronom et adjectif.
C'est le siècle de la création de l'Académie française, qui utilise le latin pour l'enseignement mais
est divisé par la querelle entre les Anciens et les Modernes, qui a beaucoup fait pour la valorisation
et émancipation du français par rapport à l'antiquité. Selon les modernes la poésie française est
superiorieur à celle latine.
Codifications
Création de l'Académie française
Fondée par Richelieu en 1635, son but est cet de donner des règles à la langue et de la rendre pure
et capable de traiter les arts et le sciences: fournir:
un dictionnaire
• une grammaire
• una rhétorique
• une poétique
•
Vaugelas, premier grammairien lexicographe de l'Academie, commence à travailler dès 1639 au
dictionnaire dont la première édition date 1694.
Le bon usage et ses transgressions
la norme est recherchée et célébré dans l'écrit et dans la conversation.
L'opposition entr la langue de la conversation et l'écrit est soulignée, il y a un idéal de pureté,
netteté et clarté.
De 1630 à 1660 se développe l'idéal de “l'honnête homme”, inspiré du Courtisan de Castiglione et
qui consiste à exceller dans l'écriture et le parler.
La conversation dans les salons (marquise de Rambouillets) devient une art.
Remarqueurs: observent la langue et fustigent le mauvais usage.
• Ils ont un idéal de pureté, de netteté et de clarté loin des provincialismes, du langage
populaire, des mots bas, des archaïsmes, des langues techniques, des latinismes pédants,
ils n'acceptent pas les archaïsmes, néologismes (qui sont rares mais pas entièrement exclu),
répétitions, hiatus, pléonasmes, refus du pittoresque de l'image, de l'hyperbole.
C'est le poète grammairien Malherbe qui a inauguré ce mouvement d'épuration et
Coeffeteau, auteur de “Histoire Romaine”, est consideré comme un modèle de précision et
de netteté.
Courant burlesque: les représentants de cet courant emploient par dérision tous les termes
• bannis des puristes et des salons: il pratiquent une es