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Les philosophes sont pacifistes. Dans quel période en Europe il y a tous monarchies
gouvernée par « despote éclairés ». La seule monarchie, citée comme un phare, est
l’Angleterre, que est une monarchie parlementaire, où les trois pouvoirs de l’Etat sont
divisés.
Surtout dans les articles de Diderot on peut remarquer la volonté de faire raisonner le
lecteur, pour faire il joindre a ses conclusions. Grâce a la technique du renvoi, le critique
étaient inséré dans les articles neutres, que ne finissaient pas sous les yeux de la censure.
Le lecteur averti, c’est-à-dire rendu attentif, capte les phrases utilisé par les philosophes
pour capturer sa attention. Si la corruption est répandue parmi ceux que gèrent le Pays,
aussi les autres classes tendront à trouver des système pour fuir à la loi. Les ministres
doivent avoir vertu, que pour Rousseau signifie amour de la patrie.
CITOYEN: pour Hobbes il n’y a pas différence entre sujet et citoyen, les premières par
rapport aux lois, les deuxièmes à un souverain. Ils sont également commandés, mais l’un
par un être moral, et l’autre par une personne physique. Le nom de citoyen ne convient ni
à ceux qui vivent subjugués, ni à ceux qui vivent isolés; d’où il s’ensuit que ceux qui vivent
absolument dans l’état de nature, comme les souverains; et ceux qui ont parfaitement
renoncé à cet état, comme les esclaves , ne peuvent point être regardés comme citoyens.
L’être moral souverains étant par rapport au citoyen ce que la personne physique
despotique est par rapport au sujet, et l’esclave le plus parfait ne transférant pas tout son
être à son souverains ; à plus forte raison le citoyen a-t-il des droits qu’il se réserve, et dont
il ne se départ jamais. Il y a des occasions où il se trouve sur la même ligne avec l’être
moral qui leur commande à tous. Cet être a deux caractères, l’un particulier, et l’autre
public : celui-ci ne doit point trouver de résistance ; l’autre peut en éprouver de la part des
particuliers, et succomber même dans la contestation. Puisque cet être moral a des
domaines, des engagements, des fermes, des fermiers, etc. il faut, pour ainsi dire,
distinguer en lui le souverain et le sujet de la souveraineté. Il est dans ces occasion juge et
partie. Il est certain que les sujets ou citoyen seront d’autant moins exposés aux injustices,
que l’être souverains physique ou moral sera plus rarement juge et partie dans les
occasions où il sera attaqué comme particulier. Dans les temps de troubles, le citoyen
s’attachera au partie qui est pour le système établi ; dans les dissolutions de systèmes, il
suivra le partie de sa cité, s’il est unanime, et s’il y a division dans la cité, il embrassera
celui qui sera pour l’égalité des membres et la liberté de tous. Plus les citoyens
approcheront de l’égalité de prétentions et de fortune, plus l’état sera tranquille, mais dans
la démocratie même la plus parfaite, l’entière égalité entre les membres est un chose
chimérique.
ESCLAVAGE : Les puissances chrétiennes, ayant fait des conquêtes en Amérique, en
Afrique et en Asie, elles ont cru qu’il leur était avantageux d’avoir des esclaves, ont permis
d’en acheter et d’en vendre, et ont oublié les principes de la nature et du christianisme, qui
rendent tous les hommes égaux. C’est donc aller directement contre le droit des gens et
contre la nature, que de croire que la religion chrétienne donne a ceux qui la professent, un
droit de réduire en servitude ceux qui ne la professent pas, pour travailler plus aisément à
sa propagation.
FINANCES : on comprend sous ce mot les deniers public du roi et de l’état. Les finances
considérées dans leur principe, sont produites par les hommes. Il y a une belle maxime de
Térence : «je suis homme, rien de ce qui touche l’humanité ne saurait m’être étranger». Les
hommes ne doivent, ne peuvent donc jamais être oubliés.
FORTUNE : les moyens de s’enrichir peuvent être criminels en morale, quoique permis
par les lois ; il est contre le droit naturel et contre l’humanité que des millions d’hommes
soient privés du nécessaire pur nourrir le luxe scandaleux d’un petit nombre de citoyen
oisifs. Les moyens honnêtes de faire fortune, sont ceux qui viennent du talent et de
l’industrie ; à la tête de ces moyens, on doit placer le commerce. Un négociant par sa
opulence procure le bien de l’état. Le commerce est la manière la plus noble de s’enrichir,
mais il est vu par les nobles avec mépris, parce qu’il serve à acheter la noblesse.
GOUVERNEMENT : il est certain qu’une société a la liberté de former un gouvernement
de la manière qu’il lui plaît. Si le pouvoir législatif a été donné par un peuple à une
personne pour un temps limité, quand ce temps-là est fini, le pouvoir souverain retourne à
la société dont il émane. Dès qu’il y est retourné, la société peut de nouveau en disposer
comme il lui plaît. La liberté est au corps de l’état, ce que la santé est à chaque individu ;
sans la santé, l’homme ne peut goûter de plaisir ; sans la liberté, le bonheur est banni des
états. Un gouverneur patriote verra donc que le droit de défendre et de maintenir la
liberté, est le plus sacré de ses devoirs.
S’il arrive que ceux qui tiennent les rênes du gouvernement trouvent de la résistance,
lorsqu’il se servent de leur pouvoir pour la destruction, et non pour la conservation des
choses qui appartiennent en propre au peuple, ils doivent s’en prendre à eux-mêmes,
parce que le bien public et l’avantage de la société sont la fin de l’institution d’un
gouvernement. D’où résulte nécessairement que le pouvoir ne peut être arbitraire, et qu’il
doit être suivant des lois établies.
LIBERTE NATURELLE : droit que la nature donne à tous les hommes de disposer de leurs
personnes et de leurs biens, de la manière qu’ils jugent la plus convenable à leur bonheur,
sous la restriction qu’ils le fassent dans les termes de la loi naturelle, et qu’ils n’en abusent
pas au préjudice des autres hommes. Le premier état que l’homme acquiert par la nature,
et qu’on estime le plus précieux de tous les biens qu’il puisse posséder, est l’état de liberté ;
il ne peut ni se changer contre un autre, ni se vendre, ni se perdre ; car naturellement, tous
les hommes naissent libres, c’est-à-dire, qu’ils ne sont pas soumis à la puissance d’un
maître, et que personne n’a sur eux un droit de propriété.
LOI FONDAMENTALE : toute loi primordiale de la constitution d’un gouvernement. Les
lois fondamentales sont des conventions entre le peuple, et celui ou ceux à qui il défère la
souveraineté ; lesquelles conventions règlent la manière dont on doit gouverner et
prescrivent des bornes à l’autorité souveraine. Ces règlements sont appelés lois
fondamentales, parce qu’ils sont la base et le fondement de l’état, su lesquels l’édifice du
gouvernement est élevé. Il y a une espèce de lois fondamentales de droit et de nécessité,
essentielles à tous les gouvernements, même dans les états où la souveraineté est, pour
ainsi dire, absolue ; et cette loi est celle du bien public, dont le souverain ne peut s’écartes
sans manquer plus ou moins à son devoir.
MONARCHIE ABSOLUE : forme de monarchie dans laquelle le corps entier des citoyens a
cru devoir conférer la souveraineté au prince, sans y ajouter de restriction particulière. Il
ne faut pas confondre le pouvoir absolu d’un tel monarque, avec le pouvoir arbitraire et
despotique ; car l’origine et la nature de la monarchie absolue est limitée par sa nature
même, par l’intention de ceux de qui le monarque la tient, et par les lois fondamentales de
son état. Les monarques qui vivent sous les lois fondamentales de leur état sont-ils plus
heureux que les princes despotiques, qui n’ont rien qui puisse régler le cœur de leurs
peuples, ni le leur.
NEGRES : les Européens font depuis quelques siècles commerce de ces nègres pour
soutenir les colonies qu’ils ont établies dans l’Amérique et les Antilles. On tâche de
justifier ce que ce commerce a d’odieux et de contraire au droit naturel, en disant que ces
esclaves trouvent ordinairement la salut de leur âme dans la perte de leur liberté.
PEUPLE: nom collectif difficile à définir, parce qu'on s'en forme des idées différents dans
les divers lieux, dans les divers temps, et selon la nature des gouvernements. Autrefois en
France, le peuple était regardé comme la partie la plus utile, la plus précieuse, et par
conséquent la plus respectable de la nation. Alors on croyait que le peuple pouvait
occuper une place dans les états généraux. Autrefois le peuple était l'état général de la
nation, simplement opposé à celui des grands et des nobles. Mais un homme de beaucoup
d'esprit, qui a publié une dissertation sur la nature du peuple, pense que ce corps de la
nation se borne actuellement aux ouvriers et aux laboureurs. Les gens de lois se son tirés
de la classe du peuple, en s'ennoblissant sans le secours de l'épée: les gens de lettres, à
l'exemple d'Horace, ont regardé le peuple comme profane. Gardons-nous aussi de mêler
les négociants avec le peuple, depuis qu'on peut acquérir la noblesse par le commerce; les
financiers on pris un vol si élevé, qu'ils se trouvent cote a cote des grands du royaume. Les
financiers son logés sous de riches plafonds. Cet hom