Lingua francese - Appunti
Anteprima
ESTRATTO DOCUMENTO
de Tours demande que les homélies sont traduits en rustica romana lingua et germanique, pour mieux
être compri des fidèles.
Cherlemagne, roi franc, admirait le latin et lui redonne tout son lustre, en appellant le moins Alcuin. Il
avait aussi mis à la porte les fidèles qui ne comprenent le vrai latin, le texte de la Vulgate (Bible latine
établie par Saint Jérôme). Donc il y a ue la renaissance carolingienne, connue pour avoir réformé les
modes d’écriture en imposant la caroline, écriture cursive minuscule. Ma le latin admiré par Charlemagne
n’était plus des origines. A cette époque remontent les glossaires, petits dictionnaires permettant de
passer d’une langue à une autre, dont le valuer est inestimable (Gloses de Reichenau - dictionnaire
latin/romane de 1300 mots, Gloses de Cassel – roman/germanique).
Les Serments de Strasbourg sont considérés comme le premier monument de la langue française, écrit
en langue romane et en langue germanique. Il est échengés en 842 entre deux de petits-fils de
Charlemagne, Louis le Germanique et Charles le Chauve, pour se jurer assistance et fidélité contre leur
frère Lothaire. Ici nous peuvent trouver la nouvelle formation du futur (infinitif suivi des formes du verbe
avoir), mais aussi des changements de prononciation et de vocabulaire (martel-marteau, bel-beau). Un
autre texte important est la Séquence de sainte Eulalie, en ancien français. Le désordre que on trouve
avec le mot frère-fraternel par exemple date de Charlemagne qui cherchait de rentroduire des mots
latins. A partir de lui, la langue est traitée par instances supérieures, ecclésiastiques ou nationales.
5. L’INTERMÉDE DES VIKINGS (IX-X): L’installation de Normands entraîne peu de changements
dans la langue.
Ces homme venant de la Scandinavie ont occupé celle qui deviendra le duché de Normandie. A partir de
ce moment ils s’intègrent à la population, finissant par adopter sa langue et en laissant quelques mots de
la famille et de lieux. Le français devient la langue de l’aristocratie, de la Cour, des tribunaux et de la
religion, donc on retrovue beaucoup de mots anglais qui viennent du français (crown, council, duke,
jusitice, cardinal, merci, pilgrim, peace, poverty, treasure, flower qui viennent de mots français). Richard
Cœur de Lion, roi d’Angeterre au XII siècle parlait français. La première grammaire française est écrite
en 1530, rédigée en anglais par Palsgrave. On peut se demander ce qu’il serait adevnu de la situation
linguistique de la France si Jeanne D’Arc n’avait pas bouté les anglois hors de France. Au contact des
Vikings, c’est le vocaboulaire de la mer qui s’est enrichi de mots qu’utilisent aujourd’hui les amateurs de
voile.
6. LE TEMPS DES DIALECTES (V-XII): La vie féodale favorise la fragmentation dialectale
Pour comprendre comment s’est produit cette différenciation en dialectes divers, il faut se rappeler les
conditions de vie sous le régime féodal: la vie était organisée sur la terre du seigenur, fondé sur en
relation de fidélité entre le vassal, le signeur et les paysans. C’est à l’intérieur des limites d’un fief qu’ont
dû naître des divergences linguistiques, ou au contraire, dans le cas où des communautés voisines ont
etabli des contacts, chacun a adapteé sa langue à l’autre.
En 987, Hugues Capet, qui était duke de France, est élu roi. En ce périod-là, la France était l’actuelle Ile-
de-France (Paris et ses alentours). Deux cents ans plus tard, sous le royame de Philippe Auguste, le
domaine est beaucoup plus grand. La diffusion du français de Paris a des motivations géographiques
(Paris est située à proximité du confluent de trois fleuves, la Seine, la Marne et l’Oise), économiques
(région fertile) et culturelles (prestige donné par la Cour et par la littérature-Romans courtois et Chanson
de Geste qui exprime sentiments délicats et raffinés - Chrétien de Troyes - «Troubadour» au sud,
«Trouvère» au nord). Pour ces motivations Paris est considerée le «juste milieu» donc son français
devienne un exemple.
7. L’AFFIRAMTION DU FRANÇAIS (XII-XVI): Diffusion du français. Ordonnance de Villers-Cotterêts,
François I impose le français écrit, qui détrône le latin.
A la Sorbonne, gardien de la tradition, non seulement l’enseignement se fait en latin mais aussi la thèse
jusqu’au XIX siècle. Cependant, en 1530 François I impose le français écrit, en fondant une insitution, le
Collège des trois langues (hébreu, grec, latin), qui deviendra le Collège Royal et notre Collège de
France. Dans la vie politique, mais aussi dans la médecine et l’astrologie, le français est introduit avec
l’Ordonnace de Villers-Cotterêts. La première grammaire est écrite en anglais par Palsgrave en 1530,
mais en 1550 Meigret écrit la première grammaire en français. Puis les grammairiens interviennent pour
l’unifier.
A ce period-là remonte la liasons. Les grammairiens du XII siècle nous donnent des régles précises pour
l’emploi des liasons: la consonne finale se prononce seul quand le mot suivant commence par une
voyelle mais ne se prononce pas quand le mot suivant commence par une consonne. Aujourd’hui aucuns
mots ne sont jamais soumis à la liason (bac, péril, nef).
Une autre intervention des gramairiens concerne la chute des «e» finals, donc la consonne précédente
devienne à son tour finale et l’introduction de la double négation (ne…pas).
Dans le XVI siècle le vocabulaire français s’est accrus de beaucoup de mots nouveaux en empruntant au
grec et au latin, mais aussi à l’espagnol, à l’allemand et sourtout à l’italien, dans le périod dont Catherine
de Médecis devient régente. Le résultat de ce renouvellemnt du vocabulaire est la naissance de
beaucoup de doublets (mots ayant la même origine mais qui ont suivi des évolutions différents).
8. LE TEMPS DU «BON USAGE» (XVII-XVIII): Les grammairiens interviennent pour codifier la
langue. Prestige du français à l’étranger.
Au XVII siècle, la langue devient une affaire d’État, parce que Richelieu fonde l’Académie française,
première société linguistique statale. Avec ses quarante membres, elle doit surveiller la langue et de la
réglementer, avec la creation d’un dictionnaire. Le premier paraît en 1694 et veut être un dictionnaire de
l’usage, sourtout du «bel usage», celui de la Cour et de l’hôtel de Rambouillet. Dans sa première édition,
le Dictionnaire de l’Académie comte 24.000 mots, classés par racine, mais après en ordre alphabétique.
En 1673, l’Académie décide d’adopter une orthographe unique, l’ancienne Orthographe, avec ses
consonnes superflues (temps, corps) et une prononciation unique (ouiste ou non-ouiste). Dans la
deuxième partie du siècle, l’attitude des grammairiens change. La Grammaire de Port-Royal a la grande
ambitition de retrouver la «raison universelle» de la langue. C’est le périod des grands auteurs
classiques (Malherbe, Honoré D’Urfé, Descatres, Corneille, Moliére).
Dans le XVIII siècle, alors que le français s’impose progressivement dans le villes, les patois continuent à
être parlés par la plus grande partie de la population. Après la Revolution du 1789, ces patois qui
rappelent trop l’Ancient Régime, sont vu comme un ostacle à la propagande révolutionnaire. L’abbe
Grégoire décide de faire la première enquête linguistique pour connaître les patois les plus parlés, avec
un «Circulaire» de 43 questions : 12 milions de français ne sont pas capables de parler en langue
nationale. Donc, il organise dans les régions un enseignement sérieux de la langue, parce que il
dit: «dans un République une et indivisible il faut l’usage unique et invariable de la langue de la liberté»
ou bien encore les révolutionnaires faisent des écoles où l’enseignement est en français. Cependant,
l’universitè reste fidèle au latin, mais lentement les patois commencent à perdre du terrain.
D’un point de vue linguistique, il y a des voyelles dites pertinentes, parce que la longueur permet de les
distinguer (là/las). Nous avons cettes témoignages grâce à Gile Vaudelain, que a fait une système
graphique rendant plus facile la lecture. De nos jours, on entend de moins en moins de voyelles longues.
Une autre caratheristique de ce périod est l’elimination du passé simple de la langue parlée, avec
l’imparfait du subjonctif. Alors que le XVII siècle avait réprimé tous les inventions, le XVIII siècle est pour
l’accroissement du lexique. L’Encyclopédie est le plus clair exemple de ce nouvel état. Ces nouveautés
se trouvent dans tous les domaines : la politique, la finance, l’agriculture, le commerce, l’industrie.
9. LE TEMPS DES L’ÉCOLE (XIX-XX): Rapport de l’abbé Grégoire à la Convention sur la necessité
absolue d’abolir les patois. Tous les Français apprennent le français à l’école. La grande Guerre
et le déclin des patois.
En 1832, Guizot organise les écoles primaires mais en 1880 Ferry instaurera l’école laïque, gratuite et
obligatoire en français. Pour apprendre l’orthographe, le gouvernement décide en 1832 qu’elle sera
obligatoire dans tous les examens.
Même si la langue française gagne du terrain, on parle encore sourtout les patois, parce que le français
est la langue des aristocrates et des bourgeois. Cette situation continue jusqu’à la première Guerre
Mondiale, quand les soldats venus de tous les coins de la France parlent entre eux en français. C’est
alors que commence le déclin des patois.
10. LE TEMPS DES MÉDIAS (XX): L’action uniformisatrice des médias.
Les mèdias ont aidé l’unification et la diffusion du français, aujourd’hui avec la télévison, mais auparavant
avec la radio ou plutôt le T.S.F. (Téléphonie Sans Fil). Il y avait d’énormes boîtes à produire de la parole
et de la musique. Ainsi, beaucoup de français entendent prononcer leur langue avec en outre «accent»
donc ils l’apprennent. La télé fait la même chose de 1949, quand est trasmi le premier journal télévisé.
Donc elles sont les principaux moteurs de l’évolution de la langue, avec le cinéma. A côté de ces
pressions médiatiques, il y a un sentiment d’attachement pour la propre façon de parler.
Capitolo 2. DIALECTES ET PATOIS
Les parlers non romans.
Même si la langue de l’Ile-de-France s’est imposée, il y a d’autres langues non romanes:
Basque: il est le plus ancien parce que elle était parlée avant l’arrivée des Galulois, et
aujourd’hui elle est parlée dans les Pyrénées-Atlantiques (langue germanique);
Breton: il est parlé au l’ouest, dans la Basse-Bretagne et est une langue celtique. Il ya un enseignemnt
du breton et un Certificat pour l’enseignement dans les écoles secondaires (CAPES);
Flamand: il est parlé encore à l’extrême nord. On peut trouver des personnes parlant le flamand dans
l’arrondissement de Dunkerque (ghem=village dans le nom des villes) où on a le bilinguisme.
Alsacien: il est parlé encore en Alsace, en créeant le bilinguisme et il est une langue germanique.
Lorrain: il est parlé encore en Lorraine, en créeant le bilinguisme et il est une langue germanique. Les
gens qui parlent ce dialect utilise une voix plus grave.
Les parlers romans.
Les grandes divisions dialectales qui coupent le territoire en zones d’Oïl, d’Oc et le francoprovençal ne
peuvent pas être très precis.
Les dialectes d’Oc
La langue d’Oc ou l’occitain concerne les idiomes parlés dans le midi de la France, dans les départements de
la Gironde et dea Haute-Alpes, à l’ouest et à l’est. Plus souvent elleest mieux conservée dans le milieux
ruraux que dans les villes.
On ne doit pas confondre la langue d’Oc avec le dialect provençal parce que, dès le XIII siècle, les différeces
on commencè a se faire sentir. Alors sept jeunes poètes provençaux se sont réunis pour créer le Félibrige,
une ortographe unifiée pour tous les dialectes d’Oc, mais il n’a pas reussi à opérer cette unité dialectale. Vers
la fin du XIX siècle, une autre graphie est proposé en Provence, mais cette fois en languedocien et en utilisant
des graphies qui remontent aux troubadours. Ceci a été repri et amélioré dès 1945 par l’Insitute d’Études
Occitanes (I.E.O.).
La zone occitane comprend plusieurs variétés de dialectes:
le nord-occitan, qui regroupe le limousin, l’auvergnat, et le provençal alpin;
le sud-occitan, qui regroupe le languedocien et le provençal;
le gascon et le béarnais
L’occitan est plus proche du latin que le français, et aujourd’hui il y a encore des traits sourtout en
languodicien et en provençal, où on entende encore des consonnes latines qui ne sont plus prononcées en
français. En outre le gascon a des traits spécifiques, l’ h gascon, qui correspond à un F et le b corresponant
au v.
La Corse est devenue française en 1769, après avoir été sous la domination de Pise. Les dialectes corses
soont très proche du toscan au nord, mais ils ont beuacoup de points communs avec le sarde au sud.
Le francoprovençal s’étend sur trois pays européens, en France, en Suisse romande, en Italie. Il n’est pas un
mélange de français et de provençal mais est une langue d’Oc influencée par les parlers du Nord. Aujourd’hui
il s’est diversifié en une multitude de dialectes mais souvent il conserve les voyelles inaccentuées finales.
Le domaine d’Oïl
Les patois d’oïl sont plus proches au dialecte de l’Ile-de-France. Il y a cinq groupes de dialectes:
au nord, le picard, le Wallon et le haut-normand;
a l’est, le lorrain roman, le bourguignon et le bourbonnais,le franc-comtois;
dans la zone centrale, le francien, l’orléanais, le berrichon et le champenois;
a l’ouest, le bas-normand, le gallo, le mayennais, le manceau, l’angevin, le tourangeau et l’anglo-
normand;
au sud, le poitevin et le saintongeais.
Le francien et le picard ont été rivals pour devenir langue commune. Les dialectes de l’ouest sont proches
entre eux.
Capitolo 3. LE FRANÇAIS EN FRANCE
Diversitè et géographie
La Révolution française avait proclamé la nécessité d’abolir les patois. Les grammairiens dès le XVII siècle,
l’école depuis le XIX, tentent de faire respecter les règles d’un français unique aux formes fixées une fois pour
toutes.
Tous ces efforts d’unification ont abouti à la généralisation de la pratique du français sur l’ensemble du
territoire et à la stricte réglementation de la langue écrite.
Il n’y a pas un française, mais des variétés du français.
Les dictionnaires de prononciation du français ont toujours proposé une prononciation unique pour chaque
mot, généralement celle de leur auteur.
Les patois sont les formes prises par le latin parlé dans les différentes régions, et que ces patois ont, tout au
long des siècles, vécu cote à cote avec le français finalement appris et parlé par toute la population, devenue
bilingue patois français.
Il faut distinguer :
Les patois ;
Le français que l’on enseigne , une sorte d’entité idéalisée ;
Les variétés du français quotidien, tant il est vrai que chacun conserve longtemps les particularités de la
langue qu’il a apprise dans le milieu et la région où il a vécu, et qui varient d’un lieu à l’autre.
La fragmentation dialectale du latin sur notre territoire a précédé la généralisation du français et que son
empreinte dure depuis des siècles.
Décrire le français dans sa diversité contemporaine, c’est donc tout d’abord tenir compte du facteur
géographique, mais c’est aussi prendre conscience du rôle joué par la langue qui se parle à Paris, là où se
concentrent la plupart des activités économiques, politiques et culturelles du pays tout entier. Qu’ils habitent
Paris ou la province subisse l’influence de la capitale.
Paris est plus que jamais le lieu de rencontre privilégié où communiquent, en français, des gens venus des six
coins de l’Hexagone et de quatre coins du monde, chacun avec ses particularités régionales.
DIVERSITÉ DU VOCABULAIRE
L’emploi de mots comme potager, dîner ou botton peut évidemment être la source de petits malentendus. Il
peut aussi devenir un indice permettant à celui qui l’entend de devenir que telle personne est originaire de
telle localité, ou encore, pour celui qui l’emploie, de l’utiliser comme un signe d’appartenance à une même
communauté linguistique
Trois études parues entre 1983 et 1987 sur des localités peu éloignées les unes des autres permettent de
mesurer la vitalité de certains régionalismes, ainsi que leur degré d’extension hors de leur région d’origine.
Plusieurs centaines de mots ont été recensés dans cet espace géographique assez réduit, mais peu de ces
mots sont communs aux trois enquêtes.
Si l’on consulte les ouvrages spécialisés, on est surpris d’apprendre que tel mot, qu’on croyait de pure souche
française, est en fait un emprunt dialectal.
Curieuse comme une linguiste, j’ai voulu, au cours d’une enquête régionale menée de 1974 à 1978, mesurer
l’étendue de la diversité des usages pour quelques mots français familiers et connaître leur répartition
géographique. L’enquête portait sur une centaine de personnes réparties sur tout le territoire où l’on parle
français en Europe.
I contenuti di questa pagina costituiscono rielaborazioni personali del Publisher Novadelia di informazioni apprese con la frequenza delle lezioni di Francese 3 e studio autonomo di eventuali libri di riferimento in preparazione dell'esame finale o della tesi. Non devono intendersi come materiale ufficiale dell'università La Sapienza - Uniroma1 o del prof Scienze letterarie Prof.
Acquista con carta o conto PayPal
Scarica il file tutte le volte che vuoi
Paga con un conto PayPal per usufruire della garanzia Soddisfatto o rimborsato