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IV Nouveauté : le moment de l'amour correspond à la naissance de la femme poète
poétesse, rencontre avec le savoir, le charme de cet homme, la séduction passe à travers la culture et n'avons pas aucune description de le physique de l'homme, séduction intellectuelle. Idée néoplatonicienne : l'esprit est dans un lieu particulier ensablé à la divinité, il tombe dans le monde : par Pernette : homme : cœur de l'homme tellement parfait que est le rencontre entre le dieu et le monde terrestre. Esprit qui peut être comparé à Apollo (dieu de la vertu) : esprit poétique. Essere la fonte l'onda : à partir de cet homme, l'esprit, la vertu se répondent dans l'univers : métaphore liquide. Répandre comme l'onde. Tu sei come apollo e venir riconosciuto perché si espande, da una fonte le onde via via vanno nel mare.
Virtù poetiche: eloquenza e facondia. Metafora liquida, sei fonte e onda, spande questa capacità, si accompagna a questo motivo dell'abbondanza. Cornucopia: simbolo della poesia, abbondanza. Il bene non si dimostra attraverso gesti caritatevoli ma con la cultura. La cultura dimostra il bene che lui ha. Male: brutto, disarmonico. Il bene è tradotto dalla cultura che è verità ed è bellezza. Uomo interessante per la sua facondia per la sua cultura. Cosa c'è di più affascinante di questo. Desiderio di scrivere poesia che è forte. Aiutare ad esprimere questa capacità di bellezza, lei si sente capace. È diventata una poetessa perché si è innamorata del poeta oppure è stata legittimata come poetessa da Scève. Mistero ci vuole. La métaphore de la liquidité. Fonte che si dilaga come l'onda, vena che stilla in maniera fluente: caratteristiche fluide che riguardano lacapacità poetica e l'abbondanza delle parole. Creatività: vena artistica. Scorrere è di capacità poetica. Elle comparé l'homme au jour, le soleil et Apollo. Scève comparé Deli a Diane (la lune), est la sœur de Apollo (le soleil). Rappelle que cette homme est un sort de Apollon. Cet homme est un apollon moi je suis Diane. Comparé cet homme à Apollon n'est seulement l'emblème de la poésie mais est aussi comparé elle-même a Deli. Allusion de pernette à Scève est explicite, l'allusion à Pernette n'est pas explicite. V 54 Pernette è figlia del suo passato: lione prima di diventare la grande Lione, è attraversata dalla cultura della grande retorica, 1400 francese, l'arte francese è considerata la seconda retorica, retorica che si esprime in versi. Poesia diventa un linguaggio divino e regale. Nella nostra Pernette abbiamoL'influenza della poesia diavanguardia ma anche l'influenza dei rhétoriqueurs. Tu a volu : l'homme qui aime la femme et à travers l'enseignement qui il porte, portela femme a se connaitre. Polysémique : être un femme connu ou connaitre moi-même. À travers TOI J'AI L'Opportunité DE CONNAITRE MOI-MEME. Transformer ma ignoranceà travers toi. VICE A SE MUER : anagramme de Maurice Scève. Après cet encontre :affirmations néoplatonicienne : l'expérience d'amour : la mortalité, la finitudo peutêtre dépassé à travers la réconciliation de se quel été séparé : reconnaitre le deux part séparé. Me transmettes: rendre vertueuse ,combattre. Apprendimento poetico è unpercorso d'amore: lei diventerà come lui. Amore tentativo di rendersi migliore. Lacapacità poetica : nonimparo studiando i libri, devo innamorarmi della poesia e del poeta, lasciarmi andare alla poesia, amoroso trasporto. Da anima nera, ignorante, stato bruto: a bianca, luce, viene introdotta al tempio. CE VICE MUERAS. Habilité poétique. Errore di Petrarca: amore, giovanile errore. La stessa poesia volgare è un errore. Amore alto ed eterno di stampo religioso. Primo sonetto della Deli di Scève: errori: movimento disperso e incostante che l'avevano allontana dallo sguardo di Deli. L'errore non è Deli ma quello che la precede. Pernette: tu trasformerai il mio errore (amore) a diventare poetessa. (giovenile errore). Oppure: errori = ignoranza. Leimostra la piena consapevolezza della polisemia di errore: al singolare, Petrarca. Al plurale: errore considerata come ignoranza, ciò che precede l'occhio: poesia di Scève = Deli. Si può leggere il verso in diversi modi: errori, amori precedenti, lui guardava qua e là, hai fatto un
Servizio al mio errore trasformando questo vizio. Oppure: trasformi questo vizio nel mio errore, ma accezione positiva.
Présence de le nom de Scève à l'intérieur de la poésie: dans la Deli nous avons une allusion de pernette. Elle veut parlé de son maitre. Source de légitimation. Imitation explicite de Scève: CXXXVI Scève Deli. XIII Pernette. Scève: N'est pas un plagia mais est très semblable. Imité son maitre. Éco: répéter le dernier mot qui sont maitre à dit. Nous ne savons pas quand elle a écrit le texte. Elle a écrit des dizain mais pois elle a choisi le huitains. Changement: la felicità della nostra felicità. Separare quello che prima era unito. La felicità è questo incontro dove le due anime si riconoscono come una sola. Una morendo vive del dolce dispiacere che provoca all'altra: nell'unirsi l'una muore.
E l'altra vive ma quella che muore in verità fa vivere l'altra. Morte e vita non riguarda un'anima e l'altra ma una parte di noi, una parte muore e l'altra vive per sempre: muore la carcassa e vive l'idea. Dio ceco: cupido, che ci ha fatto consentire di stare insieme senza distinzione, ci ha fatto provare questa sensazione, e possedere il bene desiderabile dal male. Preghiera al dio bendato. Si possa fare esperienza di questa dolce morte, in una vita respirabile: senza morire, rendi possibile questa esperienza di morte nella vita respirabile. Gli amanti muoiono uno nell'altro così per non morire. Mito dell'androgino di Platone. Pernette: la felicità del mio male, infiammando il desiderio, fa sì che dal mio male si produca la felicità, fa distillare due entità in una sola. Distillare: processo in cui si distilla il liquore. E dei due cuori si diventa un'unica anima. Stesso concetto poi. Dio ceco, stesso dialogo.
con cupido. Senza pentircene: ci hai fatto avere del bene dal male.Scève parle de la souffrance douce. Pernette no : felicità durabile, contentement durable. Non un tormento che produce poesia.
29/09/20
Scève : amour souffrance : contredisions qui fait partie de l'amour. Idée Petrarquesque. Faire mourir une partie de nous-même pour faire naitre un nouveau nous-même. Dépasser notre limites. Passe par la mort par renaitre dans l'amour. Mais Scève vive l'amour il ne passe jamais l'amour. Pernette : dépasser la souffrance pour un sort de contentement. Scève parlé de l'âme : plus générique le cœur est le centre de la personne. Réciproque : devenir un, peut être possible depuis une division. Immobilité de la perfection de Scève, Pernette est plus mobile. Elle cherche de changer le strophes : huitains.
15 epigramma (contentement)
Accontentare coluiche mi tormenta, non voglio cercare rimedio, mi nutre disoddisfazione, vedo che è contento quindi sono contenta. In questi quattro versi: c'è dipendenza, la contentezza propria e nella contentezza dell'altro. La contentezza dell'altro è la sofferenza dell'amata. È come si adeguasse al personaggio della Deli che nella sofferenza lo rende felice. Corrispondere al personaggio di Deli. A travers lemaitre elle comprendre la manière d'écrire. Elle semble dépendre de Lesson du maitre mais aussi des ses textes. Liaison d'amour avec le maitre et aussi avec la femme de l'ouvre de Scève. XXVIII HUITAIN (non c'è nella raccolta la trovo). Le première vers: révolte: je ne suis pas si vertueuse comme Deli, je suis une jeune femme je ne suis pas une idée parfait. Le poète, l'humaniste traite le disciple rudement: ne va a fonctionner. Vous me traite mal.
Dans le recueil de Deli, je suis une idée, une objet. Toutes : durée, votre : possesso. Restare vostra tutta la sua vita. Cette poésie qui donne la vie à une femme, a besoin de se comparer toujours avec un homme, imiter son écriture, reconnaitre son guide.
XXVIII. HUITAINS
Si je ne suis telle, que soulois estre,
Prenez vous en au temps, qui m'à appris,
Qu'en me traitant rudement, comme maistre,
Jamais sur moy ne gaignerez le prys.
Et toutes fois vous voyant toujours pris
En mon endroit, vostre ardeur me convye
Par ce hault bien, que de vous j'ay compris,
A demeurer vostre toute ma vie.
Au XIIème siècle, le célibat monastique passe pour une existence de choix quand le mariage est violemment mis en accusation. Les auteurs sont la plupart du temps des clercs. Ils se méfient des femmes qu'ils ne connaissent pas ou peu. La littérature courtoise s'inscrit dans la suite logique de
La fin de l'amour tradition antimatrimoniale, puisque la n'existe qu'hors mariage, dans une relation adultère. La querelle porte essentiellement, à son principe, sur l'amour et le mariage, puis glisse progressivement sur la bonté ou la malice des femmes (volages, inconstantes, menteuses).
Roman de la Rose, Les deux auteurs du (long poème du XIII siècle) exposent dans le même ouvrage deux partis-pris différents, voire opposés. Le premier, Guillaume de Lorris, défend l'amour courtois et l'exaltation de la Dame. Jean de Meung, au contraire, critique violemment le mariage dans la seconde partie et se montre d'un antiféminisme résolu.
Trois grandes questions y sont débattues : le mariage et l'amour, l'éducation des filles et le pouvoir des femmes.
Christine de Pizan, (La cité des Dames, 1405) Sa démonstration se construit sur le modèle de
èbres) est un ouvrage écrit par l'écrivain italien Giovanni Boccaccio au XIVe siècle. Il s'agit d'une collection de biographies de femmes célèbres de l'Antiquité et du Moyen Âge. L'ouvrage est divisé en 106 chapitres, chacun consacré à une femme différente. Boccaccio y présente des femmes de diverses origines et de différentes époques, mettant en valeur leurs réalisations et leur influence dans des domaines tels que la politique, la littérature, l'art et la religion. Chaque biographie est précédée d'une introduction qui situe la femme dans son contexte historique et culturel. Boccaccio utilise des sources variées pour écrire ces biographies, notamment des textes antiques, des chroniques médiévales et des légendes populaires. De mulieribus Claris est considéré comme l'un des premiers ouvrages de ce type consacré aux femmes. Il témoigne de l'intérêt de Boccaccio pour la condition féminine et de sa volonté de mettre en lumière les réalisations des femmes dans un monde dominé par les hommes. Ce livre a eu une influence durable sur la représentation des femmes dans la littérature et l'art. Il a également contribué à la redécouverte de figures féminines importantes de l'histoire, qui avaient été souvent négligées ou oubliées. De mulieribus Claris est un témoignage de l'importance des femmes dans la société et un hommage à leur contribution à la culture et à la civilisation.