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Madame Bovary - la trame
Le roman est inspiré d'un fait divers qui s'est passé en Normandie. Flaubert non seulement est fidèle à l'histoire, mais la peinture minutieuse des lieux et des personnages laisse une impression de vérité profonde.
Emma Bovary est la fille d'un fermier aisé normand, donc elle appartient à la paysannerie. En épousant Charles Bovary, un médecin, elle espère trouver le bonheur, mais elle sera vite déçue : Charles n'est pas intéressant et la vie dans le village de Tostes est très ennuyeante et mesquine.
La femme devient encore plus insatisfaite quand elle a l'opportunité de comparer sa vie avec celle des aristocrates, lors d'un bal où elle et son mari ont été invités. Pour complaire sa femme, Charles ouvre un cabinet dans un autre bourg, mais Emma est toujours triste, malgré la naissance d'une.
Petite fille, et pour combler le vide laissé par l'insatisfaction elle a des affaires amoureuses avec deux hommes, qui se montrent eux aussi médiocres. Enfin, déçue par l'amour et la vie, accablée de dettes et incapable de trouver le bonheur quoi qu'il en soit, elle se suicide en buvant de l'arsenic.
Analyse des passages:
La lecture du passage "Maternité" nous offre un exemple du Réalisme de Flaubert et de comment l'histoire semble se créer par elle-même. On remarque ça en particulier en lisant le morceau où l'écrivain décrit comment Charles réagit à la grossesse de sa femme: "Quand il voyait de loin sa démarche paresseuse et sa taille tourner mollement sur ses hanches sans corset, quand, vis-à-vis l'un de l'autre, il la contemplait tout à l'aise et qu'elle prenait assise, des poses fatiguées dans."
son fauteuil, alors son bonheur ne se tenait plus ; il se levait, il l'embrassait, passait ses mains sur sa figure, l'appelait "petite maman", voulait la faire danser, et débitait, moitié riant, moitié pleurant, toutes sortes de plaisanteries caressantes qui lui venaient à l'esprit. L'idée d'avoir engendré le délectait." (vv 19-27) Ici l'auteur disparaît, la succession des verbes montrent au lecteur l'état d'âme de Charles, mais il s'agit d'une description objective. Flaubert décrit le comportement des personnages et laisse le lecteur tirer des conclusions, on trouve la démonstration de ça surtout dans la dernière phrase du passage : "Elle tourna la tête et s'évanouit." On comprend que la première prise de contact d'Emma avec la maternité était erronée, elle voyait son bébé.seulement comme une revenche , car elle aurait pu l'enlever libre de faire ce que il voulait. Mais quand Charles dit a sa femme qu'il s'agit d'une fille, Emma s'evanouit parce que touts ses rêves sont deçus. Les dernières quatre lignes sont écrites d'un style essentiel, seche, il n'y a pas de déttailles, Flaubert utilise seulement quatres verbes, il est direct donc le lecteur comprendre toute la drammaticité de l'événement.
Dans le passage " L'étourdissement de la danse " Emma garde toujours la place centrale, tout est décrit à travers ses yeux. Le deux conversations qu'elle surprend sont situées " à trois pas d 'Emma ", ou encore " Emma écoutait de son outre oreille une conversation " Cette soirée mondaine est pour la jeune femma un événement extraordinaire. Les
Les aristocrates sont des silhouettes fascinantes aperçues par l'héroïne, "un cavalier en habit bleu", "une jeune femme pâle", "un tout jeune homme". Flaubert, pour décrire les événements de la soirée, se sert principalement de l'imparfait. Ainsi le lecteur se trouve entraîné dans le bal, comme Emma, qui voudrait y rester pour toujours. Seulement certains moments et quelques incidents sont rapportés au passé simple pour introduire une rupture dans le déroulement du texte.