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Littérature francophone du Liban
Elle a une histoire complexe. La France était considérée comme la protectrice des maronites = catholiques d'Orient (parce que le Liban se trouve dans la région du Machrek). Le Français a toujours été la langue des chrétiens libanais, quand l'anglais était celle des musulmans. Il n'y pas eu une arabisation du pays, donc le français est resté très vivant et il y a beaucoup d'écrivains francophones.
Toutes les littératures francophones ont connu des phases assez semblables (des périodes d'imitation, des production locales et puis une prise de conscience et une dénonciation du drame linguistique) et ses écrivains sont presque voués à l'exile ou à l'immigration. Ce sont des littératures difficiles à encrer dans une période où dans un lieu, parce
Que l'écrivain né dans un lieu, puis il émigre, mais comme même la langue est le français.
Les mouvements comme la migritude mettent en crise la littérature nationale française, car ces écrivains utilisent la langue française (qui n'est pas leur langue maternelle) et ils publient leur œuvre sur une territoire qui n'est pas leur territoire d'origine. La littérature contemporaine française devient de plus en plus une littérature migrante.
En plus, la surconscience linguistique de ces auteurs porte à une déformation de la langue (par exemple avec l'insertion de néologismes ou de nouvelles structures syntaxiques).
Littérature québécoise et fictions de l'identitaire
Les écrivains québécois ont le français comme langue maternelle. Le Québec a été un hapax, un cas unique.
colonizzato il territorio per sfruttarne le risorse naturali, come il legname e le pellicce. Durante questa fase, la letteratura quebecchese era principalmente di carattere religioso e si concentrava sulla conversione dei nativi americani al cattolicesimo. 2. Deuxième phase = Littérature du régime britannique (1763-1867) Après la défaite de la France dans la guerre de Sept Ans, le Québec est passé sous le contrôle de la Grande-Bretagne. Pendant cette période, la littérature québécoise a été influencée par les idées des Lumières et a commencé à explorer des thèmes tels que la liberté, l'égalité et la justice sociale. Les écrivains québécois ont également commencé à écrire en français plutôt qu'en latin, ce qui a contribué à la préservation et à la promotion de la langue française dans la région. 3. Troisième phase = Littérature de la Confédération (1867-1960) Avec la création de la Confédération canadienne en 1867, le Québec est devenu une province du Canada. Pendant cette période, la littérature québécoise a continué à se développer et à explorer des thèmes tels que l'identité nationale, la langue et la culture. Des écrivains comme Émile Nelligan, Gabrielle Roy et Anne Hébert ont émergé et ont contribué à l'établissement d'une identité littéraire québécoise distincte. 4. Quatrième phase = Littérature contemporaine (1960-présent) La Révolution tranquille des années 1960 a marqué un tournant majeur dans l'histoire du Québec et de sa littérature. Les écrivains québécois ont commencé à explorer des thèmes plus politiques et sociaux, remettant en question les structures traditionnelles de la société québécoise. Des auteurs comme Michel Tremblay, Marie-Claire Blais et Dany Laferrière ont émergé et ont contribué à la diversité et à la richesse de la littérature québécoise contemporaine. En conclusion, la littérature québécoise est le reflet de l'histoire et de l'évolution de la société québécoise. Elle a été influencée par les différentes périodes de colonisation et a contribué à la préservation et à la promotion de la langue et de la culture françaises dans la région.Décidé de fonder un comptoir pour la traite de la fourrure, qui était un marché rentable. Peu à peu on construit une société à l'image de la France (voilà le nom Nouvelle-France). En 1665 Louis XIV nourrit un projet expansionniste et décide de gouverner directement le territoire : assimilation et civilisation des "sauvages", les Amérindiens. Ce projet échoue. C'est une période longue mais étant une colonie la production littéraire était réduite à des lettres. Il n'y avait pas des véritables maisons d'édition. Il y a quelques pièces de théâtre qui sont jouées surtout des missionnaires. Mais ces œuvres font partie du patrimoine littéraire français.
1754-1760 la guerre de succession du trône des Habsbourg (guerre des Sept Ans) en Europe entraîne des guerres en Amérique.
Dans la bataille des Plaines d'Abraham en 1759, les Français sont battus. En 1763, avec le Traité de Paris, La Nouvelle-France est cédée aux Anglais, ce qui amène au 2e courant patriotique (1760-1930). Car les Français étaient devenus des colons anglais, ils essayent de montrer la valeur de leur civilisation et l'importance de leur langue et tradition. Tout geste littéraire sert à affirmer l'existence d'une civilisation française en Amérique. Cela mène à la période définie de la Conquête. Les sujets français passent sous le contrôle des Anglais. La Common Law est étendue à toute la population. En 1791, le territoire est divisé en Bas-Canada (francophone à 90 pour cent, mais le pouvoir est dans les mains des Anglais) et Haut-Canada (anglophone). Les Français du Bas-Canada peuvent garder leur langue et se réunissent.autour de la foi catholique. Voilà donc qu'il a une population francophone très catholique, surtout agricoles. Tandisque les élites anglaises entrent dans un système capitaliste. Il y a un écart entre ces réalités dans point de vue économique mais aussi linguistique qui dure jusqu'aux années 1830. Una classe de petite bourgeoisie francophone se forme qui n'accepte pas d'être dans les mains des Anglais. Dans ce moment-là, dans la littérature (qui a un état primitif, il s'agit surtout de revenues) l'Anglais est considéré comme l'ennemie, le colonisateur contre lequel il faut se battre. Il y a une prise de conscience de cette colonisation. Le mécontentement débouche dans une véritable révolution, Insurrection des Patriotes (1837-38). Mais c'est un échec. Dans un célèbre rapport anglais
“Édité par les Québécois sont un peuple sans histoire et sans littérature”. Durham, il dit que “Pour répondre à cette méprise, les intellectuels canadiens français commenceront à produire des romans, des histoires littéraires. Une grande partie de la querelle qui oppose les Français et les Anglais passe par l’utilisation de la langue. La langue n’est qu’un outil symbolique, c’est un véritable outil économique de domination (cette question de la langue est toujours présente). La petite bourgeoisie se bat pour introduire le français dans la vie publique. Seulement en 1867 le français obtient le statut de langue officielle mais cela reste plus une concession formelle. Il y a donc cette idée de la population française comme minorité et minorisée.” Ce qui manque au Canada, c’est d’avoir une langue
à lui.. nous ne serons toujours,au point de vue littéraire, qu’une simple colonie » Crémazie, Lettre à l’abbé Casgrain(1867). Voilà le drame de la littérature française québécoise, celui de partager lamême langue de la France, qui a une tradition centenaire, célèbre dans tout le monde,avec laquelle on ne peut pas entrer en compétition. Donc la problématique de lalangue n’est pas seulement liée à la colonisation anglaise mais aussi dérive aussi dupartage d’une même langue. C’est une situation qui a duré jusqu’aux années 1970avec l’urbanisation des populations paysannes. Il y a un changement dans laphysionomie de la société, de rural à urbain. C’est dans ce moment de changementprise de conscience assez politique.Les romans du terroir, fort présents de 1846
à 1945 dans la littérature de languefrançaise au Bas-Canada (le Québec d'avant la confédération de 1867), avaient pour but depromouvoir la vie paysanne et l'agriculture en pleine période d'industrialisation débutante.
Le clergé et l'État encourageaient ce type de littérature en espérant faire face à l'exoderural des Canadiens français au profit de Montréal et des usines textiles de la Nouvelle-Angleterre.
Tout change de manière soudain en 1960 avec la mort de Duplessi.
3. Révolution tranquille (1960-1980). Il y a un changement très rapide et nonviolent qui affecte toutes les sphères de la société. Laïcisation de la société. Celainaugure du point de vue littéraire, une saison de revendication de l’appartenance. Ilsrevendiquent leur appartenance à cette Amérique
française et au fait qu'ils n'ont pas de tradition. Malgré la prise de conscience de cette petite bourgeoisie, il y a encore une caractérisation de la société comme une société prolétaire. Joual ou choual est la déformation du mot cheval et c'est un mot qui a été choisi pour définir un français qui n'est pas le français de France. Il y des déformations phonétiques, des influences de l'anglais et un appauvrissement lexical, parlé surtout dans les faubourgs est, dans la région de Montréal. Des caractéristiques : caractère oral très fort (j'a, j'vas), il n'y a pas de sujet, il y des contractions (puis -> pis) + des mots qui sont propres du québécois. Le terme a pris une valeur identitaire pour désigner le français populaire du Québec, voire le français.québécois en général. Le joual a obtenu une certaine forme de reconnaissance grâce à certains auteurs et artistes québécois qui ont commencé à l'employer dans la littérature dans les années 60. Les Belles-sœurs, Michel Tremblay l'emploie comme langue pour sa pièce (c'est une série) 1968. C'était un véritable scandale. Il organise la pièce autour de Germaine Lauzon, une femme issue d'un milieu modeste et ouvrier qui gagne un concours. Pour gagner les primes, elle doit coller des timbres dans des livrets. Pour le faire, elle invite ses sœurs, sa belle-sœur et ses voisines à son party de collages des timbres. Les femmes se querellent et volent les timbres de Germaine. Elles montrent un univers social minable. Certains critiquent cette pièce car elle serait une dénonciation de la société québécoise.en montrant un manque de culture avec l'emploi de se français mal parlé. D'autres pensent qu'elle dénonce cette condition d'infériorité. Cela ouvre une querelle qui