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3. Clément Marot
Clément Marot est né à Cahors en 1496 ; son père était un
poète, aimé, d’abord, par Louis XII et plus tard par François I .
er
Cet écrivain était protégé par le roi François I et par sa sœur,
er
Marguerite de Navarre (autrice de textes en prose, comptes,
L’Heptaméron,
tous contenus dans son œuvre écrit sur la base
Décaméron
du de Boccace ; elle a dépassé le problème de la
différence religieuse, afin de soutenir la culture. Il faut
souligner que, comme Marguerite de Navarre, plusieurs
femmes ont dirigé la culture du siècle, c’est la même chose
pour les autres périodes, comme Mme de Staël au XIXe siècle).
Il était amoureux de la nièce de M. de Navarre, Anne
D’Alençon, à laquelle, il a dédié des poèmes.
Premièrement, Marot portait, encore, les stigmates de la
littérature médiévale ; son père, Jehan Marot, était un
rhétoriqueur, qui a beaucoup influencé son fils, surtout,
pendant l’écriture de son premier texte ; après il cherchera à
écrire des textes plus personnels.
La rhétorique était fondamentale, c’était la poésie basée sur les
mots, les allégories, les rimes ; on parle de la rhétorique
pédante, des rimes ; ceux-ci ont été les points de force de la
littérature médiévale. Le théoricien des rhétoriqueurs était Jean
Molinet ; Marot faisait partie du groupe des rhétoriqueurs, de
poésie nouvelle.
même Jean Lemaire, qui préparera la
Le temple de Cupido,
Il a écrit dédié au roi François I, en
soulignant l’importance de la protection (le mécénat). Pour
Roman de la Rose
écrire son premier recueil, il s’est inspiré au
de Lorris ; après il écrira les rondeaux, les ballades, les épîtres
et les chants royaux.
La matière principale de Marot était l’Évangélisme et le
Protestantisme, matières dangereuses pour lui et difficiles à
Adolescence
traiter. Son premier recueil a pris le nom d’
Clémentine, qui souligne toutes les œuvres traitées pendant la
première phase de Marot ; un peu plus tard, il y aura une
deuxième publication, plus grande et argumentée.
Même s’il était un poète de la cour du roi, il a, plusieurs foi,
cherché à trouver sa propre liberté, mais il avait besoin de la
protection royale, car, comme les autres artistes de la période,
il était pauvre. Il écrivait en utilisant la satire et l’ironie ; ces