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15. Analyse – Las ! Où est maintenant…, J. Du Bellay

confidence,

Ce sonnet possède un aspect très moderne, la ou mieux, l’auteur

utilise un accent familier et personnel pour mieux exprimer ses propres

conditions et ses sentiments pendant la période italienne, c’est-à-dire, l’exil. Il

commence à douter se lui-même, en montrant la décadence se son âme

orgueilleuse et poétique. Ce poème présente une forte satire, qui lui sert afin de

critiquer la cour des Papes à Rome, mais il y a, aussi, des allusions implicites à

son pays, qu’il utilise pour le critiquer.

En général, la Pléiade se centrait sur le seul rôle de la poésie, alors que, ce

poème décrit la politique et la religion, qui ont eu des échos sur la littérature (de

même Ronsard fera cela).

C’est un sonnet, structuré en deux quatrains et deux tercets, où le premier

reprend le titre de l’œuvre (c’est une caractéristique du sonnet classique). La

structure des rimes des quatrains est précise (ABBA), au contraire, celle des

tercets est plus irrégulière (CCD – EED) ; les rimes des quatrains sont

embrassées et riches ; il y a une alternance entre rimes féminines (AA) et

masculines (BB); les rimes des tercets sont masculines et riches ; il faut souligner

la présence de deux rimes internes (vs. 7-8, liberté-danser) ; les vers sont

endécasyllabes mais il y a, aussi, des alexandrins (dodécasyllabes). Cette œuvre

présente des caractéristiques particulière et diverse, qui contrastent le sonnet

italien.

Ce sonnet constitue une véritable réflexion sur le style du poète, qui utilise ce

je poétique,

poème comme un miroir ; il y a le mais qui se révèle seulement aux

vers 9 et 10. En outre, il y a une non-personne, expliquée à travers une

synecdoque éternelle : la poésie ; pour la décrire, l’auteur utilise des expressions

mépris de Fortune cœur vainqueur honnête désir

différentes comme (v. 1), (v. 2),

d’immortalité flammes plaisirs Muses divine ardeur

(v. 3), (v. 4), (v. 5), (v. 6) et

(v. 13) ; tous ces éléments personnifiés évoquent la poésie Pléiade, détachée de

la cour et qui était plus libre ; c’est un texte métapoétique. Cette réflexion

constitue une grande comparaison entre le passé poétique de Du Belley et son

présent, en effet, il a utilisé l’imparfait et le présent pour favoriser ce

parallélisme entre les deux phases de l’auteur ; tout cela évoque un sentiment

éternel. Le cadre spatio-temporel concerne plusieurs éléments ; il utilise le mot

maintenant nuit soir

(v. 1) pour parler du présent, mais aussi et (v. 5) qui

rivage lune

évoquent le passé et la sphère privée du poète. Les mots (v.7) et (v.

8) évoquent l’obscurité et l’occulte.

Le texte commence par une exclamation douloureuse « (Hé)las ! » qui évoque,

un manque (thème central), le désespoir et le regret pour avoir perdu le style de

la Pléiade et, en même temps, l’auteur veut décrire ce que les autres poètes de

la Pléiade (ils méprisent la fortune) ; c’est le manifeste poétique de la Pléiade. La

Fortune n’acquiert aucun sens général, mais cela est une métaphore qui évoque

l’argent.

cœur vainqueur

Le (v. 2) est une synecdoque qui évoque le courage que le poète

l’honnête désir d’immortalité

a perdu ; de même (v. 3) est un masque pour

évoquer le style de la Pléiade qui a été perdu. Il n’arrive plus à trouver sa poésie.

Le vers 4 possède un sens particulier, car le poète se décrit comme un homme

inférieur, qui se trouve au-dessous du peuple, car il perdu son style ; la poésie

est un art élevé que les hommes communs ne peuvent pas posséder. Dans ce

flamme ferveur

cas-ci, la n’est qu’une métaphore in absentia, évoquant la

créatrice (inspiration) qui permet aux poètes d’écrire.

ème

Le 2 tercet évoque la situation difficile vécue par le poète ; il voudrait revire

les doux moments que l’écriture (les Muses) les lui donnaient. En évoquant les

Muses (v. 6), il rappelle Omer, qui les a citées au début de l’Iliade, pour lui

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A.A. 2017-2018
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SSD Scienze antichità, filologico-letterarie e storico-artistiche L-LIN/03 Letteratura francese

I contenuti di questa pagina costituiscono rielaborazioni personali del Publisher poisondehaine di informazioni apprese con la frequenza delle lezioni di Letteratura francese I e studio autonomo di eventuali libri di riferimento in preparazione dell'esame finale o della tesi. Non devono intendersi come materiale ufficiale dell'università Università della Calabria o del prof Naccarato Annafrancesca.