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POUVOIR LES SAISIR CONCEPTUELLEMENT. CHACUNE DE CES SOCIETES DETERMINE DES
OBJETS DE CONNAISSANCE, CELA SE FAIT A TRAVERS L’ACTIVITE DE LANGAGE QUI THEMATISE
CES OBJETS ET CES DOMAINES, PROBLEMATISE LA FAÇON DONT IL FAUT LES CONSIDERER,
PRECISE LE POSITIONNEMENT DE CELUI QUI PARLE. ENONCER « IL FAUT EN FINIR AVEC LA
CORRUPTION » C’EST DIRE QUE L’ON TRAITE D’UN PHENOMENE SOCIAL CONCERNANT LA
PRATIQUE DE CERTAINS INDIVIDUS PAR RAPPORT A L’AGENT ET AU BIEN PUBLIC, QUE CE QUI
EST EN QUESTION EST L’HONNETETE OU LA MALHONNETE DE CETTE PRATIQUE, QU’IL FAUT
S’ELEVER CONTRE UNE PRATIQUE MALHONNETE. CEPENDANT, LE SUJET PARLANT N’EST PAS
TOTALEMENT LIBRE DE LA THEMATISASSIONS DE SON DISCOURS. IL DEPEND DE LA SITUATION
DE COMMUNICATION DANS LAQUELLE IL SE TROUVE. TOUTE SITUATION DE COMMUNICATION
DETERMINE UN CHAMP THEMATIQUE. UN CONSOMMATEUR QUI ENTRE DANS UN BAR NE
PEUT COMMANDER UN MEDICAMENT. LE SUET PARLANT, DOIT TENIR COMPTE DU CHAMP
THEMATIQUE S QUI EST DETERMINE PAR LA SITUATION DANS LAQUELLE IL COMMUNIQUE.
L’INTERLOCUTEUR S’ATTEND A VOIT TRAITE UN CERTAIN PROPOS, SELON LA SITUATION DE
COMMUNICATION DANS LAQUELLE IL SE TROUVE, (L’INTERLOCUTORE SI ASPETTA DI VEDER
TRATTATO UN CERTO ARGOMENTO , A SECONDA DELLA SITUAZIONE DI COMUNICAZIONE IN
CUI SI TROVA, DUNQUE IL DISCORSO POLITICO NON POTRA ESSERE CONFUSO CON QUELLO…)
CE QUI FAIT QUE NE POURRA ETRE CONFONDU LE PROPOS DU DISCOURS POLITIQUE AVEC
CEUX DES DISCOURS PUBLICITAIRE, DIDACTIQUE, SCIENTIFIQUE, JURIDIQUE, RELIGIEUX. 16
Le propos du politique concerne tout ce qui touche à l’organisation de la vie en société et du gouvernement de la
chose publique. Ce qui définit le est que l’instance politique et l’instance citoyenne
contrat du discours politique
partagent un même idéal de société, l’instance politique en la proposant, l’instance citoyenne en la revendiquent. Le
discours politique a donc pour tâche de déterminer à travers son propos cette idéalité des fins comme quête
universelle des sociétés. Pourtant, qui vivent sur un même territoire
les individus sont différents et n’ont pas a priori
ni non plus les mêmes buts. H. Arendt dit que « la politique traite de la communauté et de la
les mêmes intérêts,
réciprocité d’être différents ». La question devient donc : comment définir une idéalité qui fasse vivre ensemble cette
pluralité sur un espace déterminé, en même temps, qui puisse prétendre à l’universalité ? le discours politique se
veut, dans son propos, un discours de vérité qui dit quel est le système de valeurs au nom duquel doit s’établir le lien
social qui rassemble cette diversité. Comment aborder la description des en s’interrogeant sur
systèmes de valeur ?
ce qui caractérise divers régimes politiques (monarchies, démocraties, totalitarisme) ; dans le cadre d’une socio
philosophie, en décrivant les grands mouvements idéologiques qui apparaissent dans le monde ; ou encore dans le
cadre d’une anthropologie sociale. Pour ce qui nous concerne, nous tenterons de décrire des imaginaires de vérité du
discours politique. La vérité est le langage qui à la fois fonde et configure les systèmes de valeurs. Nous entrons la
dans une nouvelle problématique, celle des . C’est une vaste question que nous traiterons ici
représentations sociales
du point de vue du langage en tentant de distinguer différentes notions pour proposer en fine une définition de «
imaginaires socio discursifs ».
L’obstacle de l’idéologie L’homme a autant besoin de la réalité pour la signifier que la réalité a besoin de
:
l’homme pour être signifie. Car d’un côté l’homme est dominé par un monde qui s’impose à lui, mais d’un autre coté
c’est à travers des systèmes de représentation qu’il saisit ce monde, coglie, système de représentation qu’il construit
lui-même et qui dépendent en même temps de l’expérience qu’il a du monde.
Une prolifération de notions les sciences sociales, est née l’idée qu’il fallait étudier chez l’humain la façon
:Dans
dont il se représente le monde pour tenter de la comprendre, de s’y installer et d’agir. Studiare presso l’uomo il modo
in cui rappresenta il mondo. De là, une prolifération d’études et de théories pour essayer de rendre compte de ces
systèmes de représentation, particulièrement des représentations collectives, diversement nommées selon les
disciplines et les point de vue ; systèmes de connaissances, croyance et d’idées. Difficile de s’y retrouver dans cette
foule de dénominations, car les distinctions proposées ne sont pas toujours nettes et les hiérarchies entre ces notions
toujours discutées. Parfois il est proposé de distinguer systèmes de connaissances et systèmes de croyance, en ce que
ces dernières sont porteurs de valeurs : mais n’y at-il jamais de valeurs dans les systèmes de connaissances ? parfois
sont distinguées théories, doctrines et idéologies, mais ne diton pas aussi que les idéologies fonctionnent comme des
doctrines et que certaines théories se convertissent en doctrines ou en idéologies comme le marxisme ou la
psychanalyse ?
L’idéologie mise à la question deux positions s’affrontent. L’une voit le monde de la vie sociale comme le lieu
:
ou les individus vivent, c’est le lieu du réel. Mais en même temps, ces individus éprouveraient le besoin de produire
des discours de rationalisation pour expliquer les raisons d’être de ce réel et se son fonctionnement, il se construirait
ainsi un deuxième lieu de cohérence signifiante qui maquerait, modella, le premier. Par ces discours de
représentation, les individus se reconnaitraient comme appartenant à un groupe classe par un eu d’identification et
d’exclusion, et se construiraient par la même un « conscience sociale. Cette par les
conscience sociale serait aliénée
discours dominant provenant de divers secteurs de l’activité sociale (droit, religion, philosophie, littérature)
constituant une Dans cette perspective l’idéologie est un mode d’articulation entre signification
idéologie dominante.
et pouvoir qui repose sur :une légitimation qui consiste à rationaliser sa propre légitimité pour se justifier et signifier
sa position de domination , une dissimulation puisque cette activité de rationalisation a pour effet de masquer les
rapport de domination, fragmentation puisque cette dissimulation a pour effet d’opposer les groupes entre eux : une
réification enfin, puisque cette rationalisation tend à naturaliser l’histoire comme si elle était atemporelle. La question
posée est : est-ce que le sociale n’est pas lui-même une construction symbolique, une représentation ? Il faudra
étudier comment fonctionnent les processus d’idéologisation au terme desquels se produit une symbolisation du
social de manière locale et fragmentée. Van Dijk propose de distinguer des croyances culturelles communes à tous les
groupes d’une culture donnée, et opère une différenciation entre idéologies professionnelles, sociales et politiques.
Pour ce qui nous concerne nus aborderons la question en partant de la notion de comme
représentation sociale 17
phénomène cognitive-discursif générale engendrant generando des systèmes des savoirs de croyance. Puis on
s’interrogera sur la nécessité d’opérer une distinction entre théories, doctrines et idéologies pour en venir à ce qui
constitue le soubassement fondamento, ce ces systèmes de savoir : les imaginaires socio discursifs.
rappresentazioni sociali= un fenomeno cognitivo-discorsivo, cognitivo perché la cognizione ha a che fare con la
nostra percezione della realtà e del mondo, discorsivo significa che in questa percezione della realtà l’elemento
principale essenziale è appunto la messa in scena discorsiva e la presenza del soggetto nel discorso. La
rappresentazione sociale implica sia sistemi particolari di conoscenza, sia sistemi particolari di credenza. In questo
percorso sarà necessario distinguere teorie, dottrine e ideologie. Vedremo che in realtà queste tre cose non sono
nettamente distinguibili. Ci suggerisce Charaudeau che tutto questo lavoro che faremo sulla necessità di
comprendere l’articolazione tra sistemi di credenza e di conoscenza ci condurrà necessariamente ad esplorare le
fondamenta di questa relazione proprio con il concetto di immaginario sociodiscorsivo.
3. Représentations sociales et systèmes de pensée : Le concept de représentation sociale est relativement
récent. Il fallut d’abord accepter que face à la logique formelle existait une logique naturelle ; accepter que la logique
de la démonstration mathématique ne fût pas la seule possible et qu’existait une logique de la « pensée sociale,
largement déterminée par le contexte social dans lequel elle s’inscrit ». Ensuite, il a fallu que soit mis en cause le
schéma stimulus/ réponse (stimolo, risposta) qui a longtemps prévalu en psychologie, pour expliquer le
comportement animal et humain. S’agissant du comportement humain, ce schéma fut jugé insuffisant pour rendre
compte du décalage, divario, qui se produit entre les processus de transmission de l’information et les résultats de
l’apprentissage. Ce décalage tiendrait au fait que tout apprentissage dépend de connaissances préalables, pregressi, et
de savoirs acquis au cours de la socialisation du suet, car il suffit que l’on modifie ces derniers pour que, à processus
de transmission égal, les résultats changent. Des lors, pouvait naitre l’idée qu’entre la réalité et la perception que peut
en avoir un sujet existe un processus d’interprétation, à travers lequel se construit cette réalité en fonction de la
p