Concetti Chiave
- George Sand, pseudonimo di Amantine Aurore Lucile Dupin, è una delle scrittrici più prolifiche del XIX secolo, nota per il suo contributo alla letteratura e per il suo moderato femminismo.
- La sua giovinezza è segnata dall'educazione ricevuta dalla nonna nel loro dominio di Nohant e dalle tensioni familiari, che l'hanno portata a trasferirsi nel convento parigino delle Augustines inglesi.
- Il matrimonio di Aurore con il barone Casimir Dudevant è caratterizzato da incomprensioni e relazioni extraconiugali, che la spingono a cercare realizzazione personale attraverso la scrittura.
- Sotto lo pseudonimo di George Sand, Aurore inizia una carriera letteraria di successo, sfidando le convenzioni sociali e mascherando la propria identità con un nome maschile per ottenere riconoscimento.
- Impegnata nel dibattito politico, Sand sostiene idee socialiste e repubblicane, ma alla fine della sua vita si orienta verso un repubblicanesimo più moderato, criticando il potere ecclesiastico e sostenendo la libertà individuale.
Questo appunto di Letteratura Francese riassume in modo dettagliato la biografia della scrittrice e drammaturga francese George Sand, suddividendola in vari periodi: le origini e la giovinezza, il matrimonio, l’inizio della carriera da scrittrice, l’impegno politico e la morte.
Indice
George Sand: introduction
George Sand(1804-1876), pseudonyme d’Amantine (ou Amandine) Aurore Lucile Dupin, était une romancière et une dramaturge français.
Sand, qui est considérée comme l'une des auteures les plus prolifiques de l'histoire de la littérature, a écrit de nombreux romans, nouvelles et pièces de théâtre. Parmi ses écrits les plus célèbres figurent « Indiana », « Lélia », « Consuelo », « La Mare au diable », « La Petite Fadette », « François le Champi » et l’autobiographie « Histoire de ma vie ». Féministe très modérée, elle a été active dans le débat politique et elle a participé, sans prendre une position de premier plan, au gouvernement provisoire de 1848, exprimant des positions proches du socialisme, dont elle s’est éloignée à la fin de sa vie pour s’orienter vers un républicanisme modéré. Sand est également connue pour son anticonformisme et pour les relations amoureuses qu'elle a entretenues avec l'écrivain Alfred de Musset et le musicien Frédéric Chopin.
Les origines et la jeunesse de George Sand
Aurore Dupin avait des ancêtres d'origine germano-suédoise : en 1695, son arrière-arrière-grand-mère Maria Aurora de Koenigsmark a une relation avec l'électeur de Saxe Frédéric Auguste, qui deviendra plus tard roi de Pologne sous le nom d'Auguste II. Les deux amants se séparent à la naissance de leur fils Maurice (1696-1750), qui est nommé comte de Saxe. Celui-ci poursuit une carrière militaire ; il devient maréchal et se distingue dans la guerre de Succession d'Autriche, au cours de laquelle il commande les troupes françaises lors de la bataille victorieuse de Fontenoy en 1745. Il a plusieurs maîtresses, actrices et aristocrates, et en 1748 il a une fille de sa maîtresse de l'époque, l'actrice Marie Rinteau, à laquelle il donne le nom de Marie-Aurore de Saxe. Celle-ci deviendra la grand-mère de George Sand. Le 14 janvier 1777, à l'âge de vingt-neuf ans, elle épouse en secondes noces Louis-Claude Dupin, un homme très riche âgé de soixante et un ans. En 1793, Marie-Aurore achète le domaine de Nohant-Vic, près de La Châtre dans l'Indre, comprenant un château, une forêt et une grande étendue de terre. Bien que Marie-Aurore soit une libre penseuse et une partisane des idées de Jean-Jacques Rousseau, son appartenance à une famille noble la rend également suspecte pendant la Révolution : en décembre 1793, elle est arrêtée et emprisonnée pendant huit mois dans le couvent parisien des Augustines anglaises, dont l'école sera fréquentée pendant trois ans, vingt ans plus tard, par sa petite-fille Aurore. Le père d'Aurore, Maurice Dupin (1778-1808), suit une carrière militaire, bien qu'il ait reçu une éducation classique et qu'il possède des dispositions artistiques. En 1799, Dupin a un fils naturel, Hippolyte Chatiron, d'une servante de Nohant. Maurice est promu officier lors de la campagne d'Italie sous Bonaparte, et il rencontre à Milan Sophie Victoire Antoinette Delaborde (1773-1837), qui a eu à son tour une fille naturelle, Caroline. Dès lors, ils vivent ensemble et se marient le 5 juin 1804, un mois avant la naissance d'Aurore. Lorsque Maurice, aide de camp de Murat, s'engage dans la difficile campagne d'Espagne au printemps 1808, il est suivi par son épouse, qui emmène avec elle la petite Aurore : ils séjournent à Madrid, dans le luxueux palais du prince des Asturies, qui est alors le roi d'Espagne lui-même, Ferdinand VII. C'est là que Sophie Victoire donne naissance, le 12 juin 1808, à un enfant aveugle et de santé fragile, qu'ils nomment Auguste. Le 8 septembre, alors que la famille Dupin suit les troupes de Murat en retraite vers la France, le petit Auguste meurt; quatre jours plus tard, à Nohant, Maurice Dupin meurt aussi à cause d'une banale chute de cheval. La mort de son mari est un coup dur pour Sophie Victoire, qui tombe dans une profonde dépression, et c'est probablement pour cette raison, ainsi que pour la jalousie mutuelle qui divise sa mère et sa grand-mère, qu'Aurore est transférée dans le grand domaine de Marie-Aurore à Nohant, où elle vit avec son demi-frère Hippolyte. Marie-Aurore s'occupe de son éducation, alors que sa mère reste à Paris avec Caroline, vivant du revenu que lui alloue Madame Dupin. Le précepteur d'Aurore est Jean-François Deschartes (1761-1828), ancien précepteur de son père et administrateur du domaine de Nohant. En plus de lui enseigner la lecture, l'écriture, l'arithmétique et l'histoire, il met la bibliothèque à sa disposition et l'habitue à s'habiller comme un garçon, avec des vêtements plus pratiques pour courir dans les prés, marcher dans les bois et chasser. Sa grand-mère, qui joue bien du clavecin et sait chanter, lui enseigne la musique. Avec sa grand-mère, Aurore passe également quelques mois à Paris, où elle rend visite à sa mère et apprend la danse et le dessin, mais les relations difficiles entre belle-mère et belle-fille font que ces rencontres se raréfient au fil du temps. En 1816, Hippolyte est enrôlé dans les Hussards : restée seule au château de Nohant, la mélancolie s'empare d'Aurore qui, nostalgique de sa mère, entre en conflit avec sa grand-mère, qui pense alors que le moment est venu de mettre sa petite-fille en pension dans le couvent parisien des Augustines anglaises. Elle y entre le 12 janvier 1818. En avril 1820, sa grand-mère décide de ramener Aurore à Nohant. Aurore, qui est une cavalière expérimentée, passe de longues heures à Nohant à monter Colette, sa jument. En vieillissant, sa grand-mère s'étiole lentement et une attaque la rend presque inconsciente. Madame Dupin meurt le 26 décembre 1821.
Le mariage d'Aurore
Aurore devient ainsi l'héritière du domaine de Nohant. Sa mère la ramène à Paris, dans la maison de la rue Neuve-des-Mathurins. Au printemps 1822, comme Aurore est tombée dans une extrême mélancolie, sa mère décide de lui faire passer quelques mois de vacances au château de Plessis-Picard, près de Melun. C'est là qu'Aurore fait la connaissance du jeune baron Casimir Dudevant (1795-1871), qui un jour lui demande de l'épouser. Malgré les doutes de sa mère, le mariage est célébré le 17 septembre 1822 et le couple s'installe à Nohant, où Dudevant devient officiellement l'administrateur du domaine. Le baron est en réalité une personne simple, aux intérêts très différents de ceux de sa jeune épouse : il aime la chasse, méprise les livres et la musique l'ennuie profondément. Aurore se retrouve seule avec son fils Maurice, né le 30 juin 1823. En 1825, le couple passe des mois dans une propriété de la famille Dudevant en Gascogne. Ensuite, ils séjournent dans les Pyrénées, à Cauterets, où Aurore rencontre Zoé Leroy, qui lui présente un jeune magistrat bordelais, Aurélien de Sèze : c'est le premier amant d'Aurore. C'est une brève liaison, qui est pourtant décisive pour le sort de son mariage. De retour à Nohant, le couple décide de vivre dans des chambres séparées, en s'ignorant mutuellement. Le baron a de brèves relations avec les domestiques du château, tandis que le 13 septembre 1828, Aurore donne naissance à sa deuxième fille, Solange (1828-1899), presque certainement de son ami de La Châtre Stéphane Ajasson de Grandsagne (1802-1845). Cependant, Aurore souhaite changer de vie et se rend à Paris pour s'engager, travailler et donner libre cours à sa passion pour la littérature : en 1829, elle a déjà écrit un roman qui sera publié à titre posthume.
Aurore Dupin devient George Sand
Aurore s'installe à Paris en janvier 1831. Elle vit avec le journaliste Jules Sandeau, âgé de 20 ans, au 25, Quai Saint-Michel. Tous deux collaborent au journal « Le Figaro », écrivent des romans ensemble et les signent sous le pseudonyme de « Jules Sand ». Les premiers éloges de la critique arrivent avec la publication, en mai de l'année suivante, du roman « Indiana », écrit par Aurore seule sous le pseudonyme de « George Sand » : le succès est considérable et à Paris on commence à parler avec intérêt et curiosité de ce nouvel « écrivain ». L'utilisation d'un pseudonyme masculin pour une femme écrivain n'est en rien un choix original ; cela est dû à la méfiance que le public ressent à l'égard d'une femme, considérée par préjugé comme une artiste de qualité inférieure. Quant à s'habiller en homme, en plus d'être moins cher, c'est aussi un moyen de pouvoir fréquenter des lieux interdits aux femmes, ainsi qu'une façon de manifester son désir d'indépendance vis-à-vis des préjugés et de rejet du conformisme au nom de la liberté d'esprit. On a parlé du lesbianisme présumé de George Sand à propos de sa profonde amitié avec l'actrice Jeanne Arnould-Plessy, l'une de ses contemporaines les plus célèbres et les plus charmantes, et de sa fréquentation de Marie Dorval, l'une des actrices les plus appréciées de l'époque. En 1840, George Sand lui confie le rôle principal de son drame « Cosima ou la haine dans l'amour ». En avril 1832, George Sand emmène sa fille Solange à Paris. Parallèlement, sa relation avec Jules Sandeau s'est refroidie : en octobre, Sand s'installe au Quai Malaquais, et en mars 1833, elle officialise sa rupture sentimentale et littéraire avec Jules. La même année paraît « Lélia », qui devient le roman du « scandale », qualifié d' « abominable » par l'écrivain Jules Janin dans, car il concerne une femme qui se déclare ouvertement insatisfaite par ses amants.
L’engagement politique de George Sand
Sa rencontre avec Jules Sandeau et les événements de la Révolution de 1830 orientent George Sand, issue d'une famille bonapartiste, vers des positions républicaines. Elle apprécie également les positions libérales de Lamennais et collabore à son journal « Le Monde », en publiant « Lettres à Marcie », où Sand prend position pour l'émancipation des femmes et montre une sympathie marquée pour les idées socialistes. En 1835, George Sand rencontre Pierre Leroux, grâce auquel elle s'oriente vers le socialisme humanitaire. Avec lui et Louis Viardot, elle fonde en 1841 « La Revue indépendante », où elle publie les romans « Horace », « Consuelo » et « La Comtesse de Rudolstadt », et avec d'autres, elle fonde « L'Éclaireur de l'Indre », une revue d'opposition au régime de Louis Philippe. Elle soutient les tentatives d'unification des différents courants du mouvement ouvrier et encourage les tentatives artistiques de Savinien Lapointe, Charles Magu, Charles Poncy, les « poètes ouvriers » ; Sand leur consacre les « Dialogues familiers sur la poésie des prolétaires », publiés en 1842 dans « La Revue indépendante ». Ces derniers servent également de modèle à certains personnages des romans de Sand : dans « La Mare au diable » et « Les Maîtres sonneurs », l'oisiveté et l'immoralité des grands propriétaires sont soulignées et mises en contraste avec le travail digne des artisans modestes. Sand, comme son fils Maurice, est favorable à la Révolution parisienne de février 1848, qui proclame la République. La révolution exige non seulement des changements institutionnels, mais aussi de profondes réformes sociales. Lorsque Eugénie Niboyet, rédactrice en chef du journal « La Voix des femmes », présente sa candidature aux prochaines élections de l'Assemblée nationale constituante, Sand refuse et exprime dans une lettre ouverte toutes les limites de son féminisme déjà modéré. Elle déclare que les femmes ont raison de soutenir la révolution et les réformes profondes qui vont être introduites, mais qu'elles ne doivent pas s'engager. Selon elle, la condition de subordination des femmes ne concerne que les femmes mariées, qui, précisément par le mariage, tombent sous la dépendance de leur mari. Sand se déclare pessimiste sur la possibilité de survie de la République, tant en raison des divisions du camp républicain que de la permanence, dans la population rurale surtout, d'idées profondément conservatrices que les élections au suffrage universel masculin confirmeraient. Lorsque la France devient une république présidentielle avec l’élection de Louis Bonaparte, Sand apparaît résignée aux évènements. L'écrivaine se conforme au moins en partie au conformisme généralisé qui caractérise l'opinion publique sous le Second Empire. La seule position partiellement contre-culturelle qu'elle exprime consiste en une attaque contre le pouvoir papal. Soutenue en cela par le prince Napoléon Joseph, cousin de l'Empereur, modérément libéral et anticlérical, elle publie les romans « Daniella » en 1857 et « Mademoiselle La Quintinie » en 1863. George Sand considère l'Église catholique comme une puissance dangereuse qui, en tentant d'imposer des vérités dogmatiques et indiscutables, porte atteinte aux libertés individuelles. L'Église réagit en 1863 en insérant tous ses ouvrages dans l' « index des livres interdits ». En 1870, Napoléon III entraîne la France dans une guerre contre la Prusse, au milieu de l'enthousiasme apparent de nombreux Français ; cependant, George Sand est sceptique. Après la défaite de Sedan, Paris proclame la République le 4 septembre 1870 : George Sand critique le radical Léon Gambetta, qui entend poursuivre la guerre contre les Prussiens à tout prix. Après avoir signé un armistice qui sauve Paris de l'occupation prussienne, les Français se rendent aux urnes pour élire la nouvelle Assemblée nationale, qui donne au pays une majorité conservatrice, composée de monarchistes et de républicains modérés, tandis que Paris reste jacobin et socialiste. Thiers devient chef du gouvernement; sa première mesure est de désarmer la capitale, où la Garde nationale est du côté des radicaux. À la tentative de Thiers, Paris se soulève et proclame la Commune le 28 mars 1871.
Les dernières années et la mort de George Sand
Sand recommence à collaborer avec la « Revue des Deux Mondes », où elle publie « Le Journal d'un voyageur pendant la guerre » en 1871. En outre, elle commence à publier des articles dans la revue protestante « Le Temps ». Sand, qui a été profondément marquée par la tragédie de Paris, s’isole dans son confortable refuge de Nohant. Elle est consciente que son inspiration s'est tarie et qu'elle écrit désormais sur la technique et l'expérience. Elle dédie les « Contes d'une grand-mère » à ses petites-filles. Sa santé reste bonne jusqu'à ses soixante-dix ans ; ce n'est que dans ses derniers mois qu'elle commence à souffrir de violentes douleurs intestinales. Elle meurt le 8 juin 1876 après une longue agonie. À la demande de sa fille Solange, elle a des funérailles religieuses et elle est enterrée dans le petit cimetière de Nohant.
Per ulteriori approfondimenti sulla Comune di Parigi e la Terza Repubblica vedi anche qua
Domande da interrogazione
- Chi era George Sand e quali sono alcune delle sue opere più celebri?
- Quali furono le origini familiari di George Sand?
- Come si sviluppò la carriera di scrittrice di George Sand?
- Qual era l'impegno politico di George Sand?
- Come trascorse George Sand gli ultimi anni della sua vita?
George Sand, pseudonimo di Amantine Aurore Lucile Dupin, era una romanziera e drammaturga francese. Tra le sue opere più celebri ci sono "Indiana", "Lélia", "Consuelo", "La Mare au diable", "La Petite Fadette", "François le Champi" e l'autobiografia "Histoire de ma vie".
George Sand aveva antenati di origine germano-svedese. La sua bisnonna Maria Aurora de Koenigsmark ebbe una relazione con l'elettore di Sassonia, che divenne re di Polonia. La sua famiglia era nobile, ma durante la Rivoluzione Francese, sua nonna fu arrestata e imprigionata.
Aurore Dupin divenne George Sand quando iniziò a scrivere a Parigi, collaborando con Jules Sandeau. Il suo primo grande successo fu il romanzo "Indiana", pubblicato sotto il pseudonimo di George Sand, che le portò notevole fama.
George Sand era attiva nel dibattito politico, sostenendo posizioni repubblicane e socialiste. Collaborò con giornali e riviste, fondò "La Revue indépendante" e sostenne le riforme sociali, pur mantenendo un femminismo moderato.
Negli ultimi anni, George Sand si ritirò nel suo rifugio a Nohant, continuando a scrivere e pubblicare, nonostante la consapevolezza che la sua ispirazione si fosse affievolita. Morì l'8 giugno 1876, dopo una lunga agonia, e fu sepolta nel cimitero di Nohant.