Concetti Chiave
- Charles-Victor Prévost d'Arlincourt, surnommé le «Prince des romantiques», a connu une popularité rivalisant avec Victor Hugo dans les années 1820.
- Après des débuts difficiles, il a connu un succès phénoménal avec son roman "Le Solitaire" en 1821, traduit en dix langues et inspirant de nombreuses adaptations.
- Critiqué pour ses intrigues jugées impossibles et son style orné, il a toutefois influencé des auteurs comme Balzac.
- Malgré les critiques, il a continué à défendre son œuvre, affirmant vouloir "spiritualiser chaque impression de l'existence".
- Ses dernières œuvres, incluant "Dieu le Veut!" et "L'Italie rouge", ont réaffirmé sa présence sur la scène littéraire, bien qu'avec des succès mitigés.
Charles-Victor Prévost d'Arlincourt est un écrivain français.
Dans les années 1820 la popularité de cet auteur, qui a été donné le surnom de «Prince des romantiques», rivalisait avec celle de Victor Hugo.
Son père Louis-Adrien Prévost d'Arlincourt a été guillotiné le 8 mai 1794 avec Antoine Lavoisier et vingt-six autres fermiers. Au début du Premier Empire français, la mère a plaidé sa cause devant Napoléon, qui a décidé de le nommer chevalier de sa mère Maria Letizia Ramolino.
Après la chute de Napoléon, il a réussi à s'attirer les bonnes grâces de Louis XVIII, qui lui nommé maître des requêtes. Il a acheté une maison et a adopté le titre de vicomte. En 1818, il a organisé une grande campagne de publicité pour la sortie de son poème épique, Charlemagne, ou La Caroléide, et se présenta à l'Académie, où il a obtenu sa candidature exactement un vote. Sans se décourager, il a commencé à travailler sur un roman qui, croyait-il lui apporter une réputation comparable à celle de Chateaubriand.
Le Solitaire est apparu en 1821 et a atteint une célébrité "extraordinaire, même colossal." En l'espace de quelques mois, le livre a été réimprimé une douzaine de fois; a été traduit en dix langues; vous avez écrit pas moins de sept œuvres en fonction de son histoire, et au moins deux fois adaptations théâtrales; il a également été l'objet d'innombrables chansons, des sketches, des peintures et des lithographies. Le succès de ses trois prochains romans, Le Renegat en 1822, Ipsiboé en 1823, et Le Etrangère en 1825, était presque aussi grande.
Flatté particulier par les femmes, qui voyaient en lui le nouveau Ossian, a été attaqué par la critique. Les parcelles ont été jugés impossibles, la carte postale de caractères, les images grotesques. Son goût pour l'inversion syntaxique, avec laquelle abondamment orné sa prose lui a valu le surnom de vicomte inversive, et le résultat a été mis en parodie mémorable dans Illusions perdues de Balzac (qui, cependant, a été fortement influencées dans ses premières œuvres de style gothique de Arlincourt). L'universitaire Charles-Marie de Feletz a écrit: "Le Solitaire a jusqu'ici été traduit en toutes les langues connues, sauf bien sûr le français« jugements qui ont suivi ont été plus favorable.. Ses romans, maintenant classés comme gothique, ont été étiquetés comme frénétique, "contenant une intrigue mystérieuse centrée sur certains coupables illustres et malheureux, se traînant à travers mille épisodes de violence vers une catastrophe sanglante."
La vanité et l'égoïsme de Arlincourt ont fait l'objet de nombreuses anecdotes; il est dit qu'il a essayé de convaincre son portraitiste, Robert Lefèvre, de faire les yeux plus gros et plus grand. Il a mis aussi pour Jean-Baptiste Isabey.
Sur Arlincourt souvent se défendre par écrit, en expliquant que son but était de "spiritualiser chaque impression de l'existence." En 1826, au Théâtre-Français une pièce écrite dans sa jeunesse, Le siège de Paris, qui a été rapidement déchiré par la critique. Pas tout à fait à juste titre: Certaines chansons ne sont pas en fait le plus son ridiculisés.
Il a fallu deux longs voyages à travers l'Europe en 1841 et en 1844, la visite des princes en exil, et à son retour, il a présenté une nouvelle pièce, La Peste noire, dont la réception était assez mauvaise que la précédente. En 1848, indigné par les événements de Juin, publié Dieu le Veut! (Dieu le veut!), Une brochure qui l'a amené des problèmes juridiques, mais dans le même temps augmenté sa popularité. En 1850, il publie L'Italie rouge, un compte de l'hostilité du Risorgimento. Dans les dernières années de sa vie, toujours «faim de succès" était un fréquents salons de l'établissement.
Domande da interrogazione
- Qui était Charles-Victor Prévost d'Arlincourt et pourquoi était-il célèbre?
- Comment d'Arlincourt a-t-il réussi à obtenir des faveurs sous différents régimes politiques?
- Quel a été l'impact de "Le Solitaire" sur la carrière de d'Arlincourt?
- Comment la critique a-t-elle perçu les œuvres de d'Arlincourt?
- Quels événements ont marqué la fin de la carrière de d'Arlincourt?
Charles-Victor Prévost d'Arlincourt était un écrivain français surnommé le «Prince des romantiques». Dans les années 1820, sa popularité rivalisait avec celle de Victor Hugo, notamment grâce à son roman "Le Solitaire" qui a connu un succès colossal.
Après la chute de Napoléon, d'Arlincourt a réussi à s'attirer les bonnes grâces de Louis XVIII, qui l'a nommé maître des requêtes. Il a su naviguer les changements politiques pour maintenir sa position et son influence.
"Le Solitaire" a atteint une célébrité extraordinaire, étant réimprimé de nombreuses fois, traduit en dix langues, et inspirant plusieurs adaptations théâtrales et artistiques, ce qui a considérablement renforcé la réputation de d'Arlincourt.
Bien que populaire, d'Arlincourt a été attaqué par la critique pour ses intrigues jugées impossibles et ses personnages grotesques. Son style a été parodié, notamment par Balzac, et ses romans ont été qualifiés de gothiques et frénétiques.
Vers la fin de sa carrière, d'Arlincourt a publié "Dieu le Veut!" en 1848, ce qui lui a causé des problèmes juridiques mais a aussi augmenté sa popularité. Il a continué à fréquenter les salons littéraires, toujours en quête de succès.