Anteprima
Vedrai una selezione di 3 pagine su 10
L'Anorexie mentale Pag. 1 L'Anorexie mentale Pag. 2
Anteprima di 3 pagg. su 10.
Scarica il documento per vederlo tutto.
L'Anorexie mentale Pag. 6
1 su 10
D/illustrazione/soddisfatti o rimborsati
Disdici quando
vuoi
Acquista con carta
o PayPal
Scarica i documenti
tutte le volte che vuoi
Estratto del documento

L’ANOREXIE MENTALE

L’anorexie mentale est un syndrome psychiatrique complexe

caractérisé par une pathologie de la conduite alimentaire à la

base de laquelle il y a de complexes corrélations

psycologiques, sociales et relationnelles.

La littérature scientifique actuelle propose une interprétation de

l’anorexie mentale dans une perspective multi-dimensionnelle :

à la base de la patologie il y aurait un complexe système de

facteurs d’origine différente qui contribuent à la naissance des

symptômes.

En particulier, on souligne l’importance des facteurs d’origine

sociale, historique, culturelle, psychologique et relationnelle, en

intéraction réciproque, qui poussent le sujet à choisir les

symptômes anorexiques.

Donc, on doit considérer tous les facteurs qui déterminent la

pathologie alimentaire : tous ces éléments doivent être évalués

dans leur ensemble parce-que pris singulièrement ne peuvent

pas expliquer la naissance de la pathologie.

La définition du Manuel Diagnostique Statistique Américain

(DSM IV)

Le Maneal Diagnostique Statistique Américain définit l’anorexie

mentale comme une grave pathologie de la conduite

2

alimentaire à travers laquelle le sujet se procure volontairement

la faim, provoquant un niveau de maigreur extrême et très

dangereux pour sa survivance.

Le sujet est généralement une adolescente ou une jeune

femme.

L’adjectif « mental » indique l’origine psychologique de la

maladie.

Le DSM IV a indiqué les critères diagnostiques fondamentaux

pour identifier l’anorexie mentale :

• Le refus de maintenir le poids au niveau normal pour l’âge

et pour la taille

• La terreur de grossir

• La distorsion de l’image corporelle : la jeune fille se voit

toujours trop grasse même quand elle a atteint un niveau

de maigreur extrême

• L’aménorrhée pendant au moins trois mois consécutifs

3

Description épidémiologique

Les recherches épidémiologiques permettent d’avoir les

informations sur les taux de fréquence dans les populations.

Les études récentes confirment les taux élevés de l’anorexie

dans la plupart des pays occidentaux ; ce syndrome

psychiatrique a augmenté non seulement dans les pays

industrialisés de l’Europe occidentale et de l’Amérique, mais

aussi dans les pays qui sont en train d’absorber la culture

occidentale : le Japon, l’Inde, le Chili.

Dans cette culture on observe l’augmentation du nombre de

sujets effectivement diagnostiqués par les services sanitaires et

des soi-disant comportements alimentaires à risque : le désir

obsessif de maigrir, l’emploi fréquent erégime et la pratique

exagerée de la gymnastique.

Le DSM IV indique une fréquence de 0,5% d’anorexie mentale

dans les populations des pays occidentaux.

En outre, 95% des cas diagnostiqués appartiennent au sexe

féminin.

La forte priorité de cette pathologie dans le sexe feminin a

conduit les psychologues à se poser beaucoup de questions.

Des experts retiennent que la différence dépend du rapport

entre l’enfant et sa mère qui se développe dans la première

enfance et l’adolescence. 4

Quand la jeune fille arrive à l’adolescence, elle aurait plus de

difficultés que le garçon à se détacher de la mère parce-qu’

elles sont du même sexe.

Au contraire, pour le garçon le détachement de sa famille est

moins dramatique parce-que, ayant constaté par le rapport

avec sa mère une différence du genre sexuel, il commence à

s’éloigner de son enfance, à expérimenter la réalité sociale et à

se construire une identité personnelle et indépendante.

D’autres experts retiennent que cette différence dépend de la

dimension sociale et culturelle : la pression à maigrir dans nos

sociétés est plus forte à l’égard des femmes.

En outre, dans la plupart des cas, l’anorexie mentale

commence dans l’adolescence, en particulier vers 15-18 ans.

La diffusion de cette pathologie durant l’adolescence a conduit

les psychologues à considérer l’anorexie comme un désordre

comportemental du développement qui est le produit de la

difficulté de l’incapacité de l’adolescente à affronter les

problèmes et les attentes de cette phase évolutive : la

construction de l’identité adulte et de son image personelle.

Alors, on doit considérer le refus de l’aliment, la négation de

l’appétit et la progressive destruction du corps comme une

modalité pour expérimenter un sens de force, d’autocontrôle et

d’autonomie et, symboliquement, pour régresser dans l’enfance

et éviter aussi la peur de grandir.

5

Description de l’anorexie mentale

Généralement, l’anorexie commence avec un régime parce-que

la jeune fille se sent et se voit grasse et décide de maigrir.

Toutefois, le régime rapidement devient draconien et le sujet

commence à éliminer beaucoup d’aliments.

D’abord, le régime détermine un fort sens d’autocontrôle,

d’euphorie et d’excitation parce-que la fille a l’impression d’avoir

totalement le contrôle de sa vie.

Elle ne démontre pas de préoccupations pour son état, mais

elle est au contraire très satisfaite de son poids toujours plus

bas. En outre, pour faciliter la perte de poids, elle peut

employer d’autres méthodes : l’activité psysique exagérée et

obsessive, le vomissement ou la prise des lassatifs.

6

Les psycologues ont aussi étudié le rapport que la jeune

anorexique établissait avec les aliments.

D’abord, le régime que les anorexique suivent n’est pas très

différent des régimes courants qui tendent à éliminer tous les

aliments riches en calories.

Par conséquent, elles suivent une alimentation riche de

protéines et presque totalement sans sucres et graisses.

Toutefois, la preoccupation et la peur demontrées vers

l’augmentation du poids contrastent avec le fort intérêt pour les

aliments. Souvent elles se consacrent à la collection de

recettes de cuisine et à la préparation de repas recherchés.

Évidemment elles ne mangent pas ces repas, mais les

destinent aux autres membres de la famille.

Quand la jeune fille anorexique arrive chez les médecins,

habituellement elle a déjà atteint un niveau très grave de la

maladie et l’hospitalisation peut être indispensable.

Plus la maladie s’aggrave et plus la fille anorexique augmente

l’intérêt obsessif pour les calories et la terreur de grossir. Elle

commence à éliminer un nombre toujours plus grand d’aliments

et elle peut arriver presque au jêune total.

Un autre comportement des filles anorexiques qui déconcerte

beaucoup les psychologues et les médecins est « l’hyper-

activité » physique et intellectuelle : un symptôme qui souvent

contribue à la banalisation de la maladie parce que la fille

semble vouloir démontrer d’avoir perfaitement sous contrôl la

7

situation et de reussir à fair tout ce qu’elle faisait avant la

maladie.

Les jeunes anorexiques se dédient à des exercices physiques

intenses et épuisants, même quand elles ont rejoint des

niveaux de maigreur extrême.

Cette conduite leur donne la certitude de consommer le plus de

calories possibles et confére le sens de contrôl sur le corps.

En outre, les anorexiques démontrent une activité exagerée

aussi au point de vue intellectuel : elles sont souvent

d’excellentes élèves qui s’efforcent d’obtenir les notes les

meilleurs ; toutefois, elles ne sont jamais satisfaites des

résultats.

La recherche obsessive de la perfection scolaire ou

professionnelle est un facteur très commun chez filles

anorexiques, en association au perfectionisme corporel.

Généralement, on retrouve aussi un autre comportement

typique relatif au rapport avec la sexualité : on reléve dans la

plupart des cas une attitude d’indifférance et d’embarras pour la

sexualité, à différance des normales adolescents qui en sont

très intrigués.

Elles démontrent une intense difficulté et incapacité à affronter

les changements de la puberté et à accepter les modifications

du corps.

Dettagli
Publisher
A.A. 2006-2007
10 pagine
SSD Scienze antichità, filologico-letterarie e storico-artistiche L-LIN/04 Lingua e traduzione - lingua francese

I contenuti di questa pagina costituiscono rielaborazioni personali del Publisher Ankh79 di informazioni apprese con la frequenza delle lezioni di Lingua francese e studio autonomo di eventuali libri di riferimento in preparazione dell'esame finale o della tesi. Non devono intendersi come materiale ufficiale dell'università Università degli studi di Torino o del prof Bruera Franca.