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Les déictiques dans l'énonciation de discours
Les déictiques sont un élément important de l’énonciation de discours. C’est grâce à eux que l’on identifie les acteurs et les coordonnées dans l'espace et dans le temps.
Le modèle de Moirand prend aussi en compte:
- le lecteur qui devrait avoir des connaissances antérieures qui peuvent l’aider dans la compréhension du texte et ses attentes à l’égard de celui qui écrit;
- le scripteur qui écrit pour les lecteurs et le message que souhaite faire passer;
- le contexte extra-linguistique, c’est à dire le moment et le lieu où le lecteur entreprend sa lecture (le contexte de la communication).
Les habiletés de la compréhension sont considérées innées parce qu’on les applique de façon automatique; au contraire les stratégies de la compréhension écrite on les applique.
consciemment. Les habiletés du bon lecteur:
- reconnaître les mots
- savoir l'ordre des éléments dans la phrases, par exemple savoir que un article est suivi d'un substantif que d'un adverbe
- faire des prédictions ou des hypothèses sur les informations qui vont suivre dans le texte
- être capable de chercher et trouver dans le texte les informations dont il a besoin et les mémoriser
les stratégies de lecture: on peut utiliser quatre types de lecture sur la base des nos besoins ou but de la lecture. Ils sont:
- l'écrémage, une lecture rapide pour avoir une vue d'ensemble
- le balayage, une lecture non linéaire qui sert à repérer rapidement une information précise
- avec la lecture critique on parcourt le texte intégralement pour formuler une analyse critique
- l'esquive, lecture basée sur l'esquiver la difficulté
Permettre de mieux diriger l'apprentissage, par exemple réfléchir sur les modalités d'apprentissage et le planifier ou évaluer les progrès.
LA CONTINUITÉ DU SENS
La formation du texte est possible grâce à la reprise et la répétition d'un certain nombre d'éléments. En fait, c'est inévitable, quand on parle d'un thème, on le reprend sous des formes diverses. La cohérence textuelle donc peut être assurée par le système grammatical en utilisant les pronoms, l'article défini, les adjectifs démonstratifs, la nominalisation (la transformation d'un verbe ou d'un adjectif en un nom); la cohérence peut être assurée aussi par la substitutions lexicales, c'est-à-dire des mots qui remplacent des autres mots et des relations de différents types s'établissent entre eux.
Il s'agit: 1) de parasynonymie, lorsque les mots ont le même signification mais il sont utilisés dans des contextes différents; 2) de synonymie, si les mots sont remplaçables 3) d'hyperonymie ou 4) d'hyponymie où on a un terme générique qui englobe l'une par l'autre plus spécifique (par exemple animaux -> chien) 5) de relations partitives lorsqu'il y a des éléments qui renvoient au même élément (par exemple cuisine, salon, garage -> maison) ou 6) de relations de type discursive, lorsqu'on utilise des mots qui reprisent des parts du discourse (cette constatation, cette pratique, dans ce chapitre etc..). Entre les mots il peut exister deux types de rapport: 1) un rapport syntagmatique (horizontal), c'est à dire le rapport solidaire qui unit un termine aux autres éléments de la phrase, 2) un rapport paradigmatique (verticale),lorsque deux mots indiquent la même chose mais il y a un petit