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En ce qui concerne l’histoire de la littérature française, le XVIe siècle a été très
important, car cette période a représenté l’époque où la langue française est devenue
« langue d’écriture », dans le domaine de la littérature, des sciences, de l’astrologie,
de l’astronomie, de l’art et du domaine juridique. Avant, on écrivait en latin (langue de
l’Université et du langage politique), le français était seulement une la langue orale, et
utilisée dans la vie quotidienne. Pendant ce siècle, la langue française est devenue,
aussi, une langue écrite. er
Ce changement est dû au roi François I , qui a joué un rôle de premier plan dans
Père des Lettres.
l’évolution de la langue. Il a été appelé Il était courageux, valeureux
et bâtisseur. Même si son esprit était lié à la passion et au sexe, il était un roi
généreux, génial et, parfois, naïf ; il savait aimer, pas seulement les femmes, mais
surtout le peuple. Il a valorisé les femmes, en leur donnant des rôles très importants. Il
a été prisonnier de Charles Quint en Italie en 1525, en effet, c’est grâce à lui, si en
France, la Renaissance Italienne est arrivée, en influençant les arts.
Ce siècle a souligné le passage du Moyen Âge au Classicisme : c’est le siècle de la
Renaissance en France.
Ce passage a été graduel ; même si ce siècle a rejeté les idées médiévales, il y avait
encore des aspects qui sont restés, en effet, on pouvait trouver des auteurs de la
renaissance, comme Rabelais et Marot, qui possédaient, encore, des caractéristiques
médiévales. Gargantua et Pantagruel,
Rabelais a voulu souligner, avec l’image de l’homme
pendant la période de la Renaissance : c’est le géant ; il a voulu décrire l’homme de la
Renaissance en utilisant l’image du Géant.
On assiste, aussi, à la naissance de l’imprimerie, d’autres sciences, de différentes
disciplines mais surtout fondamental restait la circulation des livres.
D’autres découvertes, du siècle, étaient liée au domaine de l’astronomie, c’était le cas
de Copernic, qui a fondé le système copernicien, en montrant que le soleil se trouvait
au centre de l’Univers, au contraire, la Terre tournait autour du soleil. Avant on pensait
que la Terre se trouvait au centre de l’Univers (Théorie de Ptolémée). Cette découverte
a changé la vision de l’homme qui n’était plus au centre de tout.
D’autres découvertes ont été celles géographiques : le voyage de Colomb et la
découverte de l’Amérique, le voyage de Vasco De Gama, de Magellan : cela a montré
qu’existaient des pays qu’on ne connaissait pas ; c’est la découverte des horizons
nouveaux.
Ces découvertes ont marqué l’abandon du Moyen Âge et son obscurité ; les
changements ont influencé l’art, la littérature, la poétique. On est passé du Gothique à
la Renaissance.
Le XVIe siècle a été le siècle de la Renaissance mais aussi de la Réforme et des
Guerres de Religion :
La Réforme a influencé, non seulement le domaine de la religion, mais aussi celui de la
culture et littérature ; cela a instauré un lien entre la Renaissance et la Réforme : il
faut réfléchir sur ce lien. Les humanistes chrétiens ont remis en question les dogmes
et condamné le relâchement des mœurs.
L’Italie constituait un modèle ; ici la Renaissance a été précédente ; cette courante
littéraire est née, d’abord en Italie, un peu plus tard, elle inspirera, aussi, les écrivains
français de cette période.
En Italie, après la Chute de Constantinople, des érudits (des savants) grecs sont
arrivés en Italie et en portant des manuscrits anciens. L’Italie représentait le Cénacle
de la culture essentielle, mais surtout elle était la Patrie du savoir et des Muses. En
douceur de vivre. er
Italie, les seigneurs français apprenaient à goûter la François I a fait
bâtir les Châteaux de la Loire sur la base de l’architecture italienne.
Beaucoup d’auteurs français sont arrivés en Italie ; Du Bellay a vécu à Rome, Marot a
er
vécu à Ferrare et il est mort à Turin. François I a appelé plusieurs artistes italiens, en
allant vers le Cosmopolitisme. Cela a provoqué un changement radical, même si
graduel.
Presque tous les poètes de la Renaissance Française regardaient les poètes de la
Renaissance Italienne (c’était la source de la Renaissance pour les autres pays
d’Europe).
Ce siècle-ci était, aussi, le siècle de l’Humanisme.
humanitas,
Ce mot provenait du mot latin qui signifiait, surtout, culture, mais aussi
humanité.
Le mot humaniste a été créé à la fin du siècle par Montaigne. L’humaniste, au début
Clerc,
du siècle, était un c’est-à-dire quelqu’un qui avait une formation religieuse, sans
être prête, et sa pensée était influencée de sa formation.
Il travaillait dans les domaines ecclésiastiques et/ou juridiques ; il s’agissait d’un
Savant, quelqu’un qui avait étudié et qui faisait partie de la bourgeoisie. Il était,
rarement, un homme du peuple, même s’il y avait, chez les clercs et les humanistes,
une sagesse populaire. C’est pourquoi, pour étudier, l’écrivain devait avoir une
indépendance économique. Les clercs étaient, normalement, aussi, des pédagogues,
des précepteurs et donc ils travaillent pour l’aristocratie. Donc, en quelque façon, la
culture touchait l’aristocratie ; plusieurs poètes faisaient partie de l’aristocratie, c’est
le cas de Ronsard ou Agrippe D’Aubigné.
er
Le roi François I était protecteur des humanistes : donc de la littérature, de même les
seigneurs et les nobles.
L’humanisme est né dans une atmosphère de livres et de l’imprimerie ; donc on avait
la possibilité d’acheter les livres, grâce à l’invention de l’imprimerie-même. On voulait
retrouver le goût de la beauté et de l’harmonie.
L’humaniste était aussi quelqu’un qui voyageait ; le voyage faisait partie de la
formation de l’humaniste.
Ex. Montaigne, il a voyagé aussi pour avoir un contact avec les hommes et les cultures
des autres pays : c’est la rencontre de culture.
Il faut remarquer que cette idée d’Humanisme s’opposait au Divin, au sacré.
L’humanisme est né dans le domaine de la religion, mais, au fur et à mesure, il s’est
dirigé vers l’homme, c’est-à-dire, vers une culture laïque qui se libérait.
Le Libre Examen expliquait le lien entre Renaissance, la Réforme et Humanisme.
Les humanistes étudiaient les œuvres du passé, à partir du texte original. On devait
connaître la langue, parce que l’humaniste voulait lire les livres dans la forme
originale, pas la traduction.
L’Église cherchait à contraster la Réforme ; Luther a proposé, alors que, le Libre
Examen des textes, qui pouvait être considéré comme l’esprit critique, le libre
d’interprétation. À l’époque la Sorbonne, qui était l’expression de l’Église en France,
n’était pas libre, mais dirigée, elle était basée sur la Philosophie Scolastique (œuvres
centrées sur traductions et commentaires), la rhétorique et la théologie, et éliminait
tout aspect personnel. Elle était encore liée à l’obscurité du Moyen Âge. On enseignait
à partir des livres traduits et des commentaires personnels, pas originaux. La langue
d’enseignement était, obligatoirement, le latin, qui a été remplacé du français, à
er
l’époque de François I . Le français est devenu langue littéraire.
Quel était le lien entre la Réforme et l’Humanisme ? C’était le Libre Examen.
Un aspect fondamental de l’humanisme était la découverte de la culture antique
(grecque, latine, langue hébraïque). Les auteurs de l’époque s’inspiraient aux écritures
Collège des Lecteurs Royaux,
er
de l’antiquité ; François I a créé, à ce propos, le (qui
Collège de France)
est, aujourd’hui, une institution appelée où on enseignait le latin, le
grec et l’hébreu, pour lire les textes dans la version originale, en contrastant la
Sorbonne. Là, il y avait le roi, qui était toujours présent, afin de protéger la culture.
On a introduit des instruments pour lire les textes, pour favoriser les lectures directes :
- les dictionnaires ;
- les grammaires.
Donc, on a créé, à cette époque-là, la Philologie, grâce, aussi, à la diffusion des livres.
Il y avait des textes qui se basaient soit sur l’antiquité profane (païenne), soit sur celle
chrétienne, en même temps.
On assiste à la reprise de la mythologique, que les écrivains du passé utilisaient pour
décrire quelque chose.
Ce modèle a fait développer la littérature et la langue française, en allant vers le
Classicisme.
Même au Moyen Âge il y avait des écrivains qui cherchaient à s’éloigner des idées
Le Roman de la Rose.
médiévales, c’est le cas de Guillaume de Lorris, qui a écrit
er
François I protégeait des humanistes (cela a représenté l’ouverture), en protégeant,
donc, la culture et la li