ANALYSE D’UN CONTE:
Il y a plusieurs méthodes d’analyse selon le modèle narratif qu’on suive.
Modèle actantiel : Greimas propose un modèle en six actants : destinateur, objet, destinataire, adjuvant,
sujet, opposant.
Modèle narratif : ici il y a une situation initiale (décor, lieu et personnages sont introduits et décris),
complication (perturbation de la situation initiale), péripéties- actions (moyens utilisés par les personnages
pour résoudre la problématique), résolution (conséquence de l’action), situation finale (équilibre finale,
harmonie recomposé).
Propp (analysant les contes populaires) dénombre 31 fonctions que Greimas regroupe en les intégrant dans
une formule générale du récit. Tout récit opère le passage entre une situation initiale et une finale.
L'opération transformatrice est divisée en 3 épreuves.
Le conte est un exemple de texte narratif. Les objectifs sont : appréhender le registre du conte, reconnaitre
les caractéristiques d’un conte, identifier les procédés d’écriture et mis en œuvre, différencier les schémas
d’analyse d’un conte, rédiger un résumé d’un conte. Pour le faire il faut utiliser une méthodologie qui se
base sur : lecture du vocabulaire spécifique, répondre aux questions pour vérifier la compréhension du
texte, faire des exercices de repérage, résumer à l’écrit les caractéristiques du conte.
Quand on fait une lecture globale il faut observer le texte, le titre, penser à la fonction des espaces blancs
dans les pages, analyser la structure du conte, penser au personnage principal et s’il y a un antagoniste et
un adjuvant, idéntifier les éléments éparpillés tout au long de la narration, faire une analyse des
connecteurs temporels et spacieux.
La lecture analytique se base sur l’axe narratif, symbolique et rythmique.
Durand, pendant les années 60 propose une critique conjointe entre littérature, anthropologie, histoire de
l’art, religion qui fait à l’école. 13
De l’analyse de Denise Paulme on tire un modèle d’analyse basé sur trois éléments successifs : axe narratif
(basé sur l’aspect chronologique), axe symbolique (comptabilise tous les divers éléments concrets
éparpillées et cachées dans le texte dans sa totalité), axe rythmique (comptabilise les passages insérés dans
le texte où les descriptions prolongées alternés avec des points de progressions, vérifier doc l’alternance
des verbes surtout).
L'analyse de Greimas est basée essentiellement sur le rôle des personnages où l’on comptabilise un sujet ou
protagoniste ou héros/héroïne qui accomplit l’action envoyé par le destinateur ou moteur ou pont de
départ de l’action finalisée à atteindre son destinataire, c’est-à-dire que toute action a un objectif, une fin,
une cive bien précise. Il y a aussi deux autres personnages dont les forces sont parfaitement antagonistes
dans le sens qu’il y a une force positive et une négative à la fois ; les deux solnt incarnés par deux
personnages opposés.
Le modèle de Propp se base sur le déroulement de l’action après la crise qui se manifeste de manière
inattendue. Il est important de rappeler que dans toutes les cultures du monde, qu’elles soient écrites ou
orale, le conte a toujours une valeur pédagogique, éducative, donc que face à une situation initiale, on
assiste à quelques éléments perturbateurs, que l’action devra résoudre pour atteindre l’objectif final qui est
de recomposer l’harmonie perdue. C'est pour cette raison que la conclusion est toujours suivie d’une
morale universellement valable.
Mélusine : légende médiévale qui raconte que la fée Mélusine est toujours présente au château de
Sassenage. Elle a tué son père en le faisant enfermer dans une montagne mystérieuse. Sa mère lui aurait
alors jeté un sort. Ce maléfice condamnait Mélusine à se transformer tous les samedis en sirène. Elle donc
s’en alla pleurer dans les grottes de Sassenage. Le seigneur de Sassenage trouve la belle, l’épouse et a un
fils avec elle. Il devait promettre de ne pas savoir ce que son épouse fait le samedi mais, poussé par la
curiosité, il la suive. Elle cri et se cache pour toujours dans les grottes de Sassenage. Elle attende tous les
soirées que son mari va la trouver, mais une soirée il n’arrive pas et elle tombe en larmes. Les larmes
tombèrent dans le Furon où elle se transformèrent en pierres. Les pierres de Sassenage sont surnommées
“larmes de Mélusine” et on pense qu’elles ont des vertus curatives.
Le conte consacré à Mélusine peut être analysé selon deux plans :
- Chronologique : introduction, premier aspect (malédiction de la mère), second aspect (perte de
Mélusine), conclusion.
- Analytique : introduction, cause (assassinat du père), conséquence (perte du mari, de l’enfant et de
sa forme humaine), conclusion.
Contes et légendes de Corse : ici vivait le seigneur régnant Orso-la-Mano qui opprimait la population.
Quand un couple se mariait, il avait le droit de passer la première nuit avec l’épouse. Piobitto était un
chevalier qui voulait changer les choses. Il invite Orsolamano avec l’excuse de son mariage, et pendant qu’il
lui montre son cheval, il le prend avec le lasso e le porte de parte à parte avec son cheval. Les hommes du
pays ont fait fête. Les femmes ont mis sur la tête de la femme de Piobitto un ornement en guise, et de ce
moment-là aucune femme pouvait orner sa tête une semblant couronne. Fut décidé que la région devait se
gouverner et n’existaient plus les seigneurs. Un an plus tard, un homme retourne dans le lieu de sépulture
d’Orsolamano et n’a trouvé ni chair ni os, mais seulement une mouche (on disait que Orsolamano était un
démon) et tous les humain et animaux mouraient aussitôt. La mouche grandissait, et empoisonnait les
personnes qui s’approchaient. Elle se tenait dans le col de Pruno et dans les villages vers lesquels la
population mourait, tout mourait. Piobitto allait à Pise pour demander de l’aide et ici on lui dit d’utiliser un
onguent sur lui et son cheval pour touer la mouche, et puis de l’utiliser pour un autre mois. Il tue la
mouche, mais après il utilise le baume pour 8 jours seulement, et puis il meurt. Aujourd'hui quand les
habitant veulent parler d’une chose pestifère et miraculeuse disent “serait pas la mouche de Freto?”. 14
Légende québécoise de la dame blanche : beaucoup de personne ont affirmé d’avoir vu la figure d’une
femme dans une localité de Québec quand tombe la nuit. Cette femme est Mathilde Robin, morte en 1759,
elle est appelée la dame blanche. Elle était heureuse car elle devait épouser son aimé Louis, mais la guerre
avec les Anglais commence, et il va combattre à la coté des Français. Même si les Français ont gagné, Louis
est mort au combat, donc Mathilde court vers sa maison et enfile sa robe de mariée et se dirige vers la
chute où elle et Louis se promenaient et se laisse tomber. Son voile se déposait sur les roches et le jour
suivant était apparue une nouvelle cascade. Ceux qui ont essayé de la toucher sont morts brutalement
quelques jours plus tard.
Analyse d’un conte qui se prête aux 3 types d’analyse (lecture analytique). Il appartient à l’univers culturel
africain.
Senghor : fondateur de la négritude (primer mouvement poétique à Paris des années 30, ici se trouvent des
hommes et des femmes de la totalité francophonie. Il fait partie de la première génération d’écrivains). Il a
écrit des poèmes publiés à Paris (il venait d’un pays dominé donc ses publications ne sont pas libres). Il
vient du Sénégal, il a été le premier président et le seul qui a quitté le pouvoir. Au temps de révolution, les
présidents français voulaient un nouveau mandat (jusqu’à 4). Après il s’est déménagé en France.
Il a été le premier grammairien (professeur de grammaire) français noir, il est devenu professeur de
grammaire à la Sorbonne. Il a toujours protégé la grammaire.
Autoréglementation/autogouvernement= colonisation des différents pays
Césaire a été co-fondateur du mouvement de la négritude
Tahar Ben Jelloun : romancier, traduit aussi en italien.
Colonies : il faisait mettre deux prénoms à cause de l’administration colonial.
Bernard Binlin Dadié (1916-2019) : écrivain phare de la production de la Cote d’ivoire. Premier écrivain de là
à écrire une pièce de théâtre. Publié à Paris chez Présence Africaine (maison de publication dans la Rue des
écoles derrière la Sorbonne).
Le contexte culturel se fixe sur les problèmes du quotidien, sur les réalias (intraducible) qui relèvent une
condition de vie. Pagne : mot fortement contextualisé- étoffe coloriés typiques africaines. Véronique Tadjo
parle de son voyage en Afrique où elle voie un maquis (tradotto come trattoria, ma nel sud globale non ci
sono).
Cote d’ivoire producteur, le plus grand du monde, de chocolat, de fauve de cacaos, point de vue quantitatif.
Ils ne la mangent pas, l’exporte seulement. Il a toujours été pays francophone.
Le Pegne Noire est l’œuvre et Dadié est l’auteur. Il commence avec « il y avait une fois » expression typique
franco-français. Début tragique. Passé simple. Problème tout de suite expliqué. La naissance de la fille
détermine la morte de la mère (déchirure= lacération expresse par le passe simple).
Imparfait- attitude positive de la fille qui change les temps verbaux. Malheu
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Traduttori importanti - Monografico francese III anno
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Riassunto monografico francese III anno
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