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Les origines du théâtre
La représentation mise en œuvre pendant les cérémonies dédiées au dieu Dionysos est
considérée comme la première expression théâtrale. En effet la ‘représentation’ en tant que
jeux d’enfants a toujours fait parti de nos vies. Elle est la première forme d’expression
corporelle des peuples primitifs, qui peut servir à raviver l’espoir des opprimés, à faire rire,
pleurer, choquer, rassurer, contester etc.… c’est un jeu d’émotion et d’esprit.
A partir de 545 av. J.C., lors des « Grandes Dionysies » (festivités en l’honneur de Dionysos)
à Athènes est organisé un concours entre poètes auxquels participe aussi Thespis (le plus
ancien tragique grec). 4
La tragédie grecque serait née lors de ces concours axés sur l’exécution des
« dithyrambes », hymnes à la gloire de Dionysos, dans lesquels se répondent deux voix,
celle du chef du chœur seul et celle du chœur entier.
C’est à Thespis, un choreute du VIerne siècle av. J.C., qu’on attribue l’invention de la
tragédie, et donc de l’art dramatique. Il serait le premier à avoir introduit sur scène un
personnage indépendant du chœur lors d’un dithyrambe. Interprétant le rôle principal de son
histoire, Thespis aurait, pour la première fois récité un monologue auquel aurait répondu le
chœur.
La tragédie grecque connaît son apogée pendant le V ème siècle av. J.-C. La première
tragédie connue est « les Perses » d’Eschyle (472 av.J.C) et la dernière est « OEdipe à
Colonne » de Sophocle (401 av.J.C.). Aujourd’hui il nous en reste seulement 32, composées
par Eschyle, Sophocle, et Euripide.
Eschyle est le père de la tragédie antique et son initiateur. Il a été le premier à avoir introduit
un second acteur, le « deutéragoniste » en créant un dialogue entre deux acteurs, et il a
également introduit les décors et les costumes dans le théâtre.
La tragédie antique a une structure très rigide, une composition en vers et une division en
scènes où s’intercalent des dialogues et des poèmes lyriques chantés par le chœur.
Les récits sont souvent tirés de la mythologie et de l’histoire antique. Les poètes prennent
tout de même leurs libertés. Les pièces traitent les questions politique et métaphysique.
Le théâtre grec est agrémenté par de la musique, de la danse et l’accompagnement de
costumes.
Deux siècles plus tard, Aristote, dans sa « Poétique » estime que c’est à partir de ces
nouvelles formes de dithyrambes et grâce à l’invention d’autres personnages et acteurs, que
le théâtre a pu évoluer vers une forme autonome ; il définie la tragédie antique comme une
imitation de la vie des hommes: ses personnages vivent des combats, des passions, des
douleurs, introduits et soulignés par les chants et les danses exécutés par le chœur.
Les théâtres grecques, en pierres, sont construits après le IVe siècle av J.C et donc après la
période du théâtre classique.
Les théâtres en plein air, semblent avoir été conçus pour accueillir un orchestre, au bas
d’une scène surélevée pour les acteurs ainsi qu’une rangée de gradins en demi-cercle,
construits a flanc de colline autour de l’orchestre. Ces théâtres pouvaient accueillir jusqu'à
20000 spectateurs. Lorsque le nombre des acteurs a dépassé celui des choreutes, la scène
s’est agrandie et a empiété sur l’espace réservé à l’orchestre.
Les acteurs qui étaient uniquement de sexe masculin portaient des vêtements ordinaires ou
parfois des costumes, mais aussi des masques plus grands que leur visage, permettant au
publique de mieux les voir vue la distance entre acteurs et spectateurs et d’indiquer la
nature de leur personnage. Les dimensions de ces théâtres interdisent tout effet trop subtil,
et imposent un mouvement organisé et rigide, ainsi qu’une voix forte. Les spectacles étaient
accompagnés par de la musique et de la danse.
Avec la chute de l’Empire romain en 476 apr. J.C., le théâtre classique disparaît de la culture
occidentale pendant près de cinq cents ans.
La Comédie naît en 486 av.J.C. ; Les textes plus anciens, conservés jusqu'à aujourd’hui sont
ceux d’Aristophane.
La comédie ancienne suit un schéma très simple, dont l’origine est liée aux anciens rites de
fertilité. On peut également y trouver des plaisanteries, des tirades satiriques contre les
personnages publique ou les dieux.
La comédie cherche en effet à provoquer le rire en utilisant des jeux de mots, des
déguisements outranciers. Par exemple les comédies d'Aristophane se moquent avec
délectation de la vie politique et intellectuelle athénienne.
Les comédies traitant d'un sujet athénien et les tragédies orientées vers la philosophie
commencent à perdre peu a peu de leur attrait. Il se crée alors une comédie locale nommée
5
comédie nouvelle. Dans cette forme il nous reste seulement un exemple complet : «L’Avare
ou le Misanthrope » de Ménandre (du 317 av JC).
Ces pièces sont bâties autour d’une situation familiale associant amour, argent, quiproquos
et des types sociaux, caricaturés et facile à identifier, par exemple la belle-mère acariâtre, les
vieux amoureux etc. …
Comme en Grèce, les édifices théâtrales romains apparaissent après la fin de la période
classique environ vers le Ier siècle av JC.
A différence des théâtres grecs qui se situaient aux pentes naturelles et au flanc des collines
pour soutenir les gradins, l’architecture romaine permettait la construction de théâtres
autonomes.
Le Chœur est devenu quasi-insignifiant et l’orchestre est réduite jusqu'à ne former qu’un
minuscule demi cercle.
Etant donné que la plupart des comédies romaines avaient pour cadre une rue devant la
maison, la scène présente une façade à 3 pans et 3 portes
La Rome antique adore le spectacle mais les autorités craignant désordres et révoltes
n’admettent au départ que deux jours de représentations par an qui arrivent à la fin de
l’Empire jusqu’à 55 jours dédiés au théâtre et au cirque.
Le théâtre romain « ludiscaenici » (jeux scénique), prend son importance en 364 av. J.C
lorsque des danseurs et musiciens venus d’Etrurie présente un spectacle « scaena » (mur
de scène).
Vers 240 av J.C, Lucius Livius Andronicus inaugure les « jeux grecs » en traduisant et
représentant des comédies et des tragédies grecques.
Au début les représentations étaient associées au fêtes religieuses mais elles en deviennent
peu à peu indépendantes.
La comédie se développe surtout avec les pièces de Plaute et de Térence adaptées de la
nouvelle comédie grecque. Ces pièces généralement mettent en scène une intrigue
domestique, auquel s’ajoutent parfois des intentions morales. Elles se composent de
dialogues dont les uns à deux tiers sont chantés.
La comédie romaine se moque de la ressemblance brouillant les rapports entre le vrai et le
faux.
Au premier siècle, c’est l’art du mime et de la pantomime qui domine les genres classiques
et qui reçoit les faveurs du public.
Les seules tragédies romaines qui nous sont parvenues sont celles de Sénèque, Ier siècle
av.J.C.
Ce sont des « tragédies de salon » qui nous révèlent le goût encore limité du public de cette
époque.
Les pièces de Sénèque se basent sur les mythes grecs en mettant l’accent sur des éléments
surnaturels et en y ajoutant violence et passion extrême, comme dans « Médée ».
Les tragédies romaines se composent de cinq actes entrecoupés de monologue et
d’oraisons poétiques, elles ont aussi influencé les auteurs de la Renaissance.
Au IIeme siècle apr. J.C., le théâtre littéraire est supplanté par des spectacles populaires
incluant aussi les combats de gladiateurs. 6
Lucio Anneo Seneca 7
La Medea
Seneca tragediografo
Introduzione:
Le tragedie cothurnatae (ovvero di modello greco) di Seneca sono le uniche tragedie latine
ad esserci pervenute integralmente. Sono particolarmente indicative come documento della 8
ripresa del teatro antico tragico nel mondo latino, rappresentano infatti il punto di arrivo della
cosiddetta "tragedia retorica".
Questo genere non ebbe alcun successo durante l’età augustea.
Ma nella successiva età giulio-claudia (27 a.C./68 d.C.) e nella prima età flavia (69 d.C./96
d.C.) gli intellettuali ricorsero alla tragedia per esprimere la propria opposizione al regime (la
preferenza della democrazia rispetto alla tirannide è argomento comune di molte tragedie
greche).
Le tragedie di Seneca sembra fossero destinate soprattutto alla lettura, anche se ciò non
escludeva una possibile rappresentazione scenica. La lettura in pubblico presupponeva
comunque una maggiore importanza data alla narrazione dei sentimenti dei personaggi e ai
dialoghi sofistici: la tragedia assumeva così forti toni di espressionismo verbale a discapito
delle azioni vere e proprie.
Si può in realtà notare che il teatro tragico di Seneca è un completo capovolgimento dei
valori delle sue opere filosofiche: in esso l’uomo viene sopraffatto e vinto dalle proprie
passioni, anche quelle più basse, che lo avviano verso il male più profondo. La filosofia e la
dottrina stoica alimentano in questo modo le tragedie, mostrando sotto forma di exempla i
conflitti interiori dell'uomo tra passione, vista come forza invincibile che porta
irrimediabilmente al male, e ragione, incapace di frenare gli istinti dell'uomo. Il conflitto tra
bene e male, dall'interno della psiche umana, assume una forma universale, diventando
paradigma dell'intera condizione umana. Nelle sue tragedie Seneca sembra abolire il
linguaggio razionale che adoperava per mostrare all’uomo quale fosse la retta via da seguire
al fine di dimostrare a che livello di degenerazione esso può arrivare facendosi influenzare
dal pathos.
Il termine pathos dal greco di per se già esprime qualcosa di negativo, infatti esso sta a
sifgnificare malattia. L’uomo perde ogni cognizione della realtà e del giusto quando si fa
sopraffarre dalla passione. La passione elimina la capacità di giudicare ciò che e’ bene da
ciò che invece è male. Esso vince la ragione e ci lascia nell’incapacità del giudizio. Si scende
cosi allo stadio animalesco dove non si ha la possibilità di utilizzare la ragione ma si segue il
proprio istinto animalesco.
nelle sue tragedie appaiono spesso scene macabre, raccontate con minuziosità maniacale. I
toni sono il più delle volte cupi e le situazioni atroci, al limite dell'orrore. Assume anche
parecchia importanza la retorica, volta ad esaltare il pathos di ogni situazione con sentenze
isolate e di grande rilievo. La tensione drammatica è ottenuta infine tramite lunghe
digressioni che sembrano isolare le singole scene come quadri a sé stanti.
Abbiamo un esempio folgorante della debolezza della mente umana indirizzata verso il male
nella Medea.
La storia della Medea Senecana:
Medea era la figlia di Eeta, re della Colchide.
Il suo nome in greco significa "astuzie, scaltrezze", infatti la tradizione la descrive come una
maga dotata di poteri addirittura divini.
Quando Giasone arriva in Colchide insieme agli Argonauti alla ricerca del Vello d'oro, unico 9
modo per avere il trono della Colchide, lei se ne innamora perdutamente. E pur di aiutarlo a
raggiungere il suo scopo giunge ad uccidere il fratello Absirto, spargendone i resti in mare,
dietro di sé, dopo essersi imbarcata sulla nave Argo insieme a Giasone, divenuto suo sposo.
Il padre così, trovandosi costretto a raccogliere le membra del figlio, non riesce a
raggiungere la spedizione, e gli Argonauti tornano a Corinto con il Vello d'Oro. Era in effetti
questa la rusa astuzia utilizzata da Medea al fine di rallentare l’inseguimento del padre e
quindi di perderla per la via.
Dopo dieci anni, però, Creonte, re della città, vuole dare sua figlia Glauce in sposa a
Giasone, dando così a quest'ultimo la possibilità di successione al trono. Giasone accetta,
abbandonando così sua moglie Medea.
Vista l'indifferenza di Giasone di fronte alla disperazione della donna, Medea medita una