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Introduzione Realtà celata da veli di apparenza, tesina
Ho scelto il tema della maschera come filo conduttore di questa tesina di maturità, perché ritengo che ogni uomo sia costretto a indossarne ogni giorno davanti agli altri. La maschera fu lo strumento più utilizzato nel teatro antico dagli attori ed era il mezzo che consentiva loro di volta in volta di interpretare diversi personaggi, anche ognuno di noi nella vita quotidiana indossiamo maschere, coincidenti con i diversi ruoli sociali che andiamo a ricoprire, assumendo, di conseguenza, differenti schemi di comportamento. È, dunque questo un mezzo di alienazione dalle “richieste” delle società moderna e dai ruoli che ognuno di noi sarebbe chiamato a ricoprire perdendo di vista se stesso e la propria identità. Carl Gustav Jung nelle sue formulazioni sui temi universali dell’inconscio collettivo individuò in quello che chiamò persona, nel senso etimologico di maschera, quel ruolo o copione che ognuno svolge in determinate circostanze, per rispondere alle richieste del mondo esterno. Un’eccessiva rigidità della persona e, quindi, della maschera corrisponde a una eccessiva identificazione con essa. Adottare in maniera flessibile e non rigida una maschera per poter uscire e rientrare nei diversi ruoli sociali esprime coerenza e continuità. Indossare una maschera è anche e soprattutto una metafora per distinguere i diversi tipi di atteggiamenti che ognuno di noi ha in contesti e in situazioni di vita diversi. Si può indossare la maschera dell’impiegato, quello da studentessa, da professoressa. Mostrando lati diversi della nostra personalità o impersonando ruoli che consciamente o inconsciamente decidiamo di interpretare nel grande palcoscenico del mondo. La tesina permette vari collegamenti con le materie scolastiche.
Collegamenti
Realtà celata da veli di apparenza, tesina
Letteratura Inglese: The theme of hypocrisy in The Picture of Dorian Gray and the Victorian values.
Letteratura Italiana:Uno Nessuno Centomila:Dalla disgregazione dell’io alla follia.
Letteratura spagnola: La conversión de Don Juan.
Letteratura francese: L’agonie du Père Goriot.
Storia dell’arte: Magritte: Il falso specchio.
Scienze:La formazione delle nubi e le diverse tipologie.
Francese
L’agonie du Père Goriot
19 Le père Goriot
negociant jadis riche, se fait ruiné par ses deux filles
afin qu elles fassent de beaux mariages. Le viel
homme vit dans la misère totale, dans la pension
Vauquer, tandis que ses filles Anastasie de Restaud
et Delphine de Nucingen l ont abandonné. Le père
Goriot est mourant ce qui n’empeche pas ses filles
d’aller au bal. Le Malhereux, qui les met au rang des
anges, qui aime jusq’au mal qu’elles lui font, se
soucie encore de leurs plasirs: “Se sont-elles bien
aumusées?” demande-t-il à Rastignac qui le soigne.
Il a des mots sublimes et déchirants: “Cette bonne
Delphine, si je meurs, quel chagrin je lui causerai!
Nasie aussi”. Mais tandis que la mort aprroche, un
desir obsedant l’envahit: les revoir une dernière fois.
Dèsir ou plutôt crainte qu’il essaie en vain de
20
chasser: il les connait trop bien, en depit de lui-
meme, il sent qu’elles ne viendront pas. Telle est
l’ultime torture morale subie par ce martyr de la
paternité. Dans le texte on peut voir comme le père
goriot près sa mort continue à porter un masque
devant toutes les personnes du Vauquer, feinte que
ses filles viendront à lui voir. Il porte un masque
pendant toute l’histoire. Au début il les veut regarder
parce-que comme il dit il les a faites. Mais à l
intérieur de lui-même cache la dur realité: ses filles
ne viendront pas. Soudain le père Goriot enlève sa
masque diçent à Eugène qu’ elles ne concernent pas
de lui. Montrant ses sentiments et retirant sa
couvert, il y a une novelle émotion en montre la
folie. Il a montré toujours à touts que il est un père
hereux où Anastisie et Delphine sont filles que
tiennet à coeur le père, mais ce veil émotif est lancé
et reporté beacoup de moments. Il commence à
accuser que ses genres sont la cause de l’
enlèvement de ses filles “ils sont mes assasins” v.70
Après il debute à expliquer au jeune Eugene d’aimer
ses parents et explique comme il a donné l’amour à
ses filles mais il n’a pas rien “Avoir soif, et ne jamais
boire” v.64 .Enfin il confesse que il est seul et même
si le désire de revoir ses filles pour une dernière fois
avant de mourir est fort, il les benis “Je les benis”
v.83
Texte 21
Je les entends, elles viennent. Oh! oui, elles
viendront. La loi veut qu’on vienne voir mourir son
père, la loi est pour moi. Puis ça ne coûtera qu’une
course. Je la paierai. Écrivez-leur que j’ai des millions
à leur laisser! Parole d’honneur. J’irai faire des pâtes
d’Italie à Odessa. Je connais la manière. Il y a, dans
mon projet, des millions à gagner. Personne n’y a
pensé. Ça ne se gâtera point dans le transport
comme le blé ou comme la farine. Eh, eh, l’amidon?
il y aura là des millions! Vous ne mentirez pas, dites-
leur des millions, et quand mêmes elles viendraient
par avarice, j’aime mieux être trompé, je les verrai.
Je veux mes filles! je les ai faites! elles sont à moi !
dit-il en se dressant sur son séant, en montrant à
Eugène une tête dont les cheveux blancs étaient
épars et qui menaçait par tout ce qui pouvait
exprimer la menace. – Allons, lui dit Eugène,
recouchez-vous, mon bon père Goriot, je vais leur
écrire. Aussitôt que Bianchon sera de retour, j’irai si
elles ne viennent pas. – Si elles ne viennent pas?
répéta le vieillard en sanglotant. Mais je serai mort,
mort dans un accès de rage, de rage! La rage me
gagne! En ce moment, je vois ma vie entière. Je suis
dupe! elles ne m’aiment pas, elles ne m’ont jamais
aimé! cela est clair. Si elles ne sont pas venues, elles
ne viendront pas. Plus elles auront tardé, moins elles
se décideront à me faire cette joie. Je les connais.
Elles n’ont jamais su rien deviner de mes chagrins,
de mes douleurs, de mes besoins, elles ne
devineront pas plus ma mort; elles ne sont
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seulement pas dans le secret de ma tendresse. Oui,
je le vois, pour elles, l’habitude de m’ouvrir les
entrailles a ôté du prix à tout ce que je faisais. Elles
auraient demandé à me crever les yeux, je leur
aurais dit: «Crevez-les ! » Je suis trop bête. Elles
croient que tous les pères sont comme le leur. Il faut
toujours se faire valoir. Leurs enfants me vengeront.
Mais c’est dans leur intérêt de venir ici. Prévenez-les
donc qu’elles compromettent leur agonie. Elles
commettent tous les crimes en un seul. Mais allez
donc, ditesleur donc que, ne pas venir, c’est un
parricide! Elles en ont assez commis sans ajouter
celui-là. Criez donc comme moi: «Hé, Nasie! hé,
Delphine! venez à votre père qui a été si bon pour
vous et qui souffre! » Rien, personne. Mourrai-je
donc comme un chien? Voilà ma récompense,
l’abandon. Ce sont des infâmes, des scélérates; je
les abomine, je les maudis; je me relèverai, la nuit,
de mon cercueil pour les remaudire, car, enfin, mes
amis, ai-je tort? elles se conduisent bien mal! hein?
Qu’est-ce que je dis? Ne m’avez-vous pas averti que
Delphine est là? C’est la meilleure des deux. Vous
êtes mon fils, Eugène, vous! aimez-la, soyez un père
pour elle. L’autre est bien malheureuse. Et leurs
fortunes! Ah, mon Dieu! J’expire, je souffre un peu
trop! Coupez-moi la tête, laissez-moi seulement le
cœur. – Christophe, allez chercher Bianchon, s’écria
Eugène épouvanté du caractère que prenaient les
plaintes et les cris du vieillard, et ramenez-moi un
cabriolet. – Je vais aller chercher vos filles, mon bon
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père Goriot, je vous les ramènerai. – De force, de
force! Demandez la garde, la ligne, tout! tout, dit-il
en jetant à Eugène un dernier regard où brilla la
raison. Dites au gouvernement, au procureur du roi,
qu’on me les amène, je le veux ! – Mais vous les
avez maudites. – Qui est-ce qui a dit cela? répondit
le vieillard stupéfait. Vous savez bien que je les
aime, je les adore! Je suis guéri si je les vois... Allez,
mon bon voisin, mon cher enfant, allez, vous êtes
bon, vous; je voudrais vous remercier, mais je n’ai
rien à vous donner que les bénédictions d’un
mourant. Ah! je voudrais au moins voir Delphine
pour lui dire de m’acquitter envers vous. Si l’autre
ne peut pas, amenez-moi celle-là. Dites-lui que vous
ne l’aimerez plus si elle ne veut pas venir. Elle vous
aime tant qu’elle viendra. À boire, les entrailles me
brûlent! Mettez-moi quelque chose sur la tête. La
main de mes filles, ça me sauverait, je le le sens...
Mon Dieu ! qui refera leurs fortunes si je m’en vais ?
Je veux aller à Odessa pour elles, à Odessa, y faire
des pâtes. – Buvez ceci, dit Eugène en soulevant le
moribond et le prenant dans son bras gauche tandis
que de l’autre il tenait une tasse pleine de tisane.
– Vous devez aimer votre père et votre mère, vous!
dit le vieillard en serrant de ses mains défaillantes la
main d’Eugène. Comprenez-vous que je vais mourir
sans les voir, mes filles? Avoir soif toujours, et ne
jamais boire, voilà comment j’ai vécu depuis dix
ans... Mes deux gendres ont tué mes filles. Oui, je
n’ai plus eu de filles après qu’elles ont été mariées.
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Pères, dites aux chambres de faire une loi sur le
mariage! Enfin, ne mariez pas vos filles si vous les
aimez. Le gendre est un scélérat qui gâte tout chez
une fille, il souille tout. Plus de mariages! C’est ce
qui nous enlève nos filles, et nous ne les avons plus
quand nous mourons. Faites une loi sur la mort des
pères. C’est épouvantable, ceci! Vengeance! Ce sont
mes gendres qui les empêchent de venir. Tuez-les! À
mort le Restaud, à mort l’Alsacien, ce sont mes
assassins ! La mort ou mes filles! Ah! c’est fini, je
meurs sans elles! Elles! Nasie, Fifine, allons, venez
donc! Votre papa sort... – Mon bon père Goriot,
calmez-vous, voyons, restez tranquille, ne vous
agitez pas, ne pensez pas. – Ne pas les voir, voilà
l’agonie! – Vous allez les voir. – Vrai ! cria le vieillard
égaré. Oh! les voir ! je vais les voir, entendre leur
voix. Je mourrai heureux. Eh bien! oui, je ne
demande plus à vivre, je n’y tenais plus, mes peines
allaient croissant. Mais les voir, toucher leurs robes,
ah! rien que leurs robes, c’est bien peu; mais que je
sente quelque chose d’elles ! Faites-moi prendre les
cheveux... veux... Il tomba la tête sur l’oreiller
comme s’il recevait un coup de massue. Ses mains
s’agitèrent sur la couverture comme pour prendre
les cheveux de ses filles. – Je les bénis, dit-il en
faisant un effort, bénis. 25
Letteratura Spagnola
La conversión de Don Juan
Trama 26
La obra se divide en dos partes bien delineadas por
su caracter distinto: la primera es una comedia de
capa y espada y la segunda es un drama religioso
con la moralidad sacramental.
Primera parte:
Don Luis Mejías a perdido la apuesta que hizo con
Don Juan Tenorio hacia un año antes. Cuando se
reunen para ver quien ha perdido la apuesta Don
Juan le apuesta a Don Luis que le quitará a su
prometida, doña Ana de Pantoja y además
conquistará a una novicia.El comendador Don
Gonzalo de Ulloa padre de Doña Inés, que era la que
debía casarse con Don Juan. Don Gonzalo deshace el
matrimonio porque se entera del desafío de Don
Juan.Don Juan le jura a Don Gonzalo que le quitará a
su hija que es victima de su pureza.Por la noche Don
Juan engaña a Doña Ana haciéndose pasar por su
prometido Don Luis, después Don Juan escala el