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Sintesi
Francese: Victor Hugo (I miserabili)

Inglese: Charles Dickens (Oliver Twist)

Spagnolo: Benito Pérez Galdós (Marianela)

Italiano: Giovanni Verga (Rosso Malpelo)

Filosofia: Karl Marx (il manifesto del partito comunista)
Estratto del documento

6. IL MANIFESTO DEL PARTITO COMUNISTA: RIVOLUZIONE E DITTATURA

DEL PROLETARIATO

10

7. BIBLIOGRAFIA

12 INTRODUZIONE

Nel percorso tematico affrontato ho scelto di trattare la questione sociale che si è

venuta a determinare intorno alla metà dell’Ottocento, in diversi paesi dell’Europa,

relativa alle condizione materiali di vita di masse crescenti di operai salariati.

In particolare le conseguenze morali e sociali di questa situazione: crisi della famiglia,

delinquenza, prostituzione considerate una minaccia per la collettività.

Nel mio lavoro partirò dai romanzi che tracciano un affresco della società: “I

Miserabili” di Victor Hugo, “Oliver Twist” di Charles Dickens, “Marianela” Di Benito

Pérez Gald , “Rosso Malpelo” Di Giovanni Verga, e, più in generale, della storia

ós

dell’umanità impegnata nell’universale lotta per vivere. Inoltre le condizioni degli

uomini sono determinate dall’attività economica, secondo la concezione materialistica

di Marx. 1

L M

ES ISÉRABLES

Les Misérables de Victor Hugo est l’un des roman charnière du XIX siècle. Dans ce

livre, Hugo dresse un portrait dénonciateur de la société de cette époque . Il y décrit

avec pessimisme la condition des personnes infortunées, souvent injuste vis-à-vis des

ouvriers. Il raconte l’histoire de différent personnages dans le Paris post-restauration,

dans une période de vingt ans. Ses personnages appartiennent à des couches

inferieures de la société, les soi-disant “misérables”: des gens qui sont tombés dans la

pauvreté, anciens forçats, prostituées, étudiants pauvres. C’est une histoire de chutes

et de levage, du péché et de la rédemption. L'action se déroule en France au début du

XIX siècle encadrée par les deux grands combats que sont la Bataille de Waterloo

(1815) et les émeutes de juin 1832. Le récit s'organise au tour de Jean Valjean, ancien

forçat, depuis sa sortie de prison en 1815 jusqu'à sa mort, en 1833, dans les bras de

Cosette et de Marius. Mais autour de lui, apparaissent aussi les destinées d'autres

misérables ; Fantine, ouvrière obligée de confier Cosette, sa fille, à des inconnus, les

Thénardier qui la traiteront comme un esclave. Marius, qui tombe amoureux de

Cosette, et qui s'engagera sur les barricades lors de l'insurrection de 1832. Gavroche,

gamin de Paris, qui vit dans la rue comme beaucoup d'autres enfants à cette époque,

«seul, sans amour, sans gîte, sans pain, mais joyeux car libre», et qui sera tué, en

chantant une célèbre chanson qu'il n'a pas le temps d'achever, sur une barricade

pendant l'Insurrection républicaine à Paris en juin 1832, en tentant de récupérer des

cartouches non brûlées pour ses camarades insurgés. Mais il y a aussi d’autres

personnages. Nombre d'entre eux font une courte apparition et retournent dans

l'oubli. C'est une volonté délibérée de Victor Hugo : il cherche à démontrer que la

misère est anonyme.

Hugo veut analyser la société du XIX siècle : dans « Les Misérables » il se fait le

porte-parole de la classe populaire, considérée alors comme une sous-classe sociale,

pour en dénoncer les conditions de vie difficiles. Sa critique des bas salaires, de la

misère, du chômage poussant au crime participe, de ce fait, à un courant humanitaire

désireux de réformer la société. Les Misérables manifestent aussi la profondeur du

sentiment tragique de la vie. Enfin, la puissance émotionnelle du roman vient de la

compassion de Hugo pour ses personnages, notamment Gavroche dont il écrit, peu

avant qu’une balle ne l’atteigne: «Ce n’était pas un enfant, ce n’était pas un homme;

c’était un étrange gamin fée.»

Mais la motivation principale de Victor Hugo est le plaidoyer social. « Si les infortunés

et les infâmes se mêlent (...) De qui est-ce la faute ? » Selon Victor Hugo, c'est la

faute de la misère, de l'indifférence et d'un système répressif sans pitié. Idéaliste,

Victor Hugo est convaincu que l'instruction, l'accompagnement et le respect de

l'individu sont les seules armes de la société qui peuvent empêcher l'infortuné de

devenir infâme. Le roman engage une réflexion sur le problème du mal... Il se trouve

que toute sa vie Hugo a été confronté à la peine de mort, il a vu des exécutions à la

guillotine. Un des thèmes du roman est donc « le crime de la loi ». Si l'œuvre montre

comment les coercitions sociales et morales peuvent entraîner les hommes à leur

déchéance si aucune solution de réédification n'est trouvée, c'est surtout un immense

espoir en la générosité humaine dont Jean Valjean est l'archétype. Presque tous les

autres personnages incarnent l’exploitation de l’homme par l’homme. En outre on a

souvent souligné, et Hugo le premier, que le terme “misérable” a un doble sens: il

désigne à la fois celui qui fait du mal et celui qui le subit, il englobe dans le titre du

roman “les infortunés et les infâmes”. Mais Hugo n'a pas fait un traité socialiste : il a

mis la réforme sociale dans le roman; il lui a donné la vie qu'elle n'avait pas dans les

fastidieux traités, où s'étale obscurément sa doctrine, et avec la vie, le mouvement, la

couleur, la passion, le prestige, la publicité sans

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limites, la population à haute dose, l'expansion à tous les degrés et à tous les étages.

Non seulement, il a mis le plus vigoureux talent au service de ses idées, mais il les a

couvertes cette fois, pour tenter le respect des hommes, d'un manteau religieux. La

Tant

mission moral et politique de l’auteur est soulignée dans la préface au roman : «

qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant

artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité

humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la

dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim,

l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines

régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue

plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la

nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. (Victor Hugo, Hauteville-House,

1862.) ». 3

OLIVER TWIST

Oliver Twist is an early example of social novel calling the public’s attention to various

contemporary evils. It was first published in 1837 in monthly instalments as a serial in

Bentley’s Miscellany, a new magazine. The novel deals with many issues which were

current: poverty, villains, unmarried mothers, the class system, justice. In Oliver Twist

Dickens mixes realism and satire as a way to describe the effect of industrialism on

XIX century England. The country in the 1830s was rapidly undergoing a

transformation from an agricultural, rural economy to an urban, industrial nation.

The growing middle class had achieved an economic and political influence. In the

eyes of the middle class English society, those who could not support themselves

were considered immoral and evil. The middle class system of values transformed

earned wealth into a sign of moral virtue.

Victorian society interpreted economic success as a sign that God favoured the

honest, moral virtue of individual effort, thus interpreting the condition of poverty as

a sign of the weakness of the poor individual. The cruelty of institutions and

bureaucracies toward the unfortunates is the prominent theme of Oliver Twist, and

essentially what makes it a social novel.

Much of the first part of the novel challenges the organization of charity run by the

church and the government in Dickens’s time. The system Dickens described was put

into place by the Poor Law of 1834, which stipulated that the poor could only receive

government assistance if they moved into government workhouses. Labour was

required, families were almost always separated, and rations of food and clothing

were meager. The workhouses operated on the

principle that poverty was the consequences of

laziness and the dreadful conditions in the

workhouses would inspire the poor to better

their own circumstances. Yet the workhouses

did not provide any means for social or

economic improvement. Furthermore, as

Dickens points out, the officials who ran the

workhouses violated the values they preached

to the poor. Dickens describes with great

sarcasm the greed, laziness, and arrogance of

charitable workers like Mr Bumble and Mrs

Mann.

In the tradition of the Restoration Comedy,

Dickens fits his characters with appropriate names. Oliver’s surname, given by

Bumble, suggests his likely fate: one slang senses of “twisted” was “hanged”. Mrs

Mann who is in charge of the infant Oliver is not the most motherly of women. Dickens

mocks the hypocrisies of his time using sarcasm and dark humour also when he talks

about serious problems. Scena tratta dal Film Oliver Twist di

The writer makes considerable use of symbolism. Polanski

Obesity calls the attention to hunger and

poverty. A large numbers of characters are overweight. For example the parish board

is made up of “eight or ten fat gentleman”; the workhouses master is a “fat, healthy

man”. In many ways obesity was a sign of social status.

Dickens employs polarised sets of characters to explore various dual themes

throughout the novel; good versus evil, with evil continually trying to corrupt and

exploit good, but good winning at the end. Mr Brownlow and Fagin, for example,

personify “Good versus Evil”. “Crime and Punishment” is another important pair of

themes: Dickens describes criminal acts ranging from picking pockets to murder

4

(suggesting that this sort of things went on continually in 1830’s London). In the story

the world of the workhouses and the world of crime were linked: the one was a cause

for the other. The Poor Law did not decrease pauperism; it increased crime. Dickens

wanted these two worlds to be linked in the reader’s mind. The novel presents a

society in which the justice system is unreliable. Oliver is almost sentenced to hard

labour for a crime he did not commit. Dickens show the lack of credibility the court

gave to those without friends in high places or funds in the bank. Dickens views

everything and everyone in society as connected;

rich and poor, educated and ignorant are artificial social boundaries. The evils that

afflict one group have

an impact upon the entire community. 5

MARIANELA

“Marianela” es una novela publicada en 1878 en la que Galdós se concentra en

reflejar la sociedad y la condición humana. La acción se sitúa en un pueblo minero del

norte de España, en torno a 1860. Marianela, Nela, es una muchacha huérfana, hija de

una alcohólica que se había suicidado, pobre y poco agraciada físicamente, que se

convierte en lazarillo de Pablo, un joven ciego de familia adinerada. La infeliz se

enamora del muchacho y juntos conciben planes de futuro, en especial Nela, que

sueña las mayores fantasías para su vida juntos. Pero, un día, llega al pueblo el doctor

Teodoro Golfín, un prestigioso oftalmólogo que se propone operar a Pablo para que

recupere la vista. Cuando este hecho se produce y el joven puede ver a Nela, la

rechaza por su fealdad y, de acuerdo con su familia, se promete en matrimonio con su

prima Florentina, joven mucho más hermosa. La infeliz Nela no logra reponerse de

este rechazo, al verse despreciada por Pablo, que era su única razón para vivir.

Junto a esta triste pero preciosa historia de fidelidad y amor, Galdós nos presenta la

vida en la población de Aldearoba, un pueblo minero y critica las duras condiciones de

vida del proletariado, del que Nela forma parte, en la línea reformista y de mejora

social que conforma el pensamiento del autor.

Pero, sobre todo, “Marianela” es una obra sobre la grandeza del espíritu humano. Esa

muchacha cuya vida ha sido miserable y que, no obstante, conserva intacta su

limpieza de alma se nos aparece como un ser extraordinario, cuya nobleza la lleva

incluso a perdonar el rechazo de su amado.

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