giannyetonia
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Concetti Chiave

  • Henri Vangeon était un médecin, écrivain, poète et critique littéraire qui a étudié la médecine à Paris tout en poursuivant une carrière littéraire active.
  • Il a écrit des poèmes influencés par Francis Jammes et Stéphane Mallarmé, et a contribué à des revues d'avant-garde comme 'Ermitage' et 'Mercure de France'.
  • Vangeon a noué une amitié étroite avec André Gide, avec qui il a cofondé la Nouvelle Revue Française en 1909, influençant la littérature française.
  • Son implication au Théâtre du Vieux-Colombier reflétait son opposition au théâtre boulevardier, promouvant un style plus lyrique et dramatique.
  • La Première Guerre mondiale a marqué un tournant dans sa vie, ravivant sa foi catholique, et après la guerre, il est devenu supérieur de l'Ordre dominicain.

Henri Vangeon (1875 - 1944), était un médecin, écrivain, poète et critique littéraire français.
Après avoir terminé ses études secondaires à Sens, il a déménagé à Paris pour y poursuivre des études de médecine. Dans le même temps, il a commencé une carrière littéraire qui l'a conduit à écrire des poèmes de Francis Jammes et Stéphane Mallarmé, les commentaires des revues d'avant-garde, tels que 'Ermitage et le Mercure de France, ainsi que la publication de deux pièces de théâtre: La douleur et l'eau- de-vie.
En 1897, il rencontre André Gide, qui est devenu son ami proche et un guide littéraire, ainsi que compagnon escapades amoureuses.

Gide a appris l'importance de la rationalité et de sens critique. En 1909, les deux seront parmi les fondateurs de la Nouvelle Revue Française.
Il a été très actif au Théâtre du Vieux-Colombier, à opposer au théâtre Boulevardier et diffuser, par activité scénique plutôt mince, le sens de la lyrique plus dramatique.
L'avènement de la Première Guerre mondiale a changé sa vie et aussi sa carrière: recruté en tant que médecin sur le front belge, Ghéon redécouvrir la foi catholique, à laquelle il deviendra un fervent défenseur. Après la guerre, il est devenu un supérieur de l'Ordre dominicain.
Il est mort Juin 13, 1944, une semaine après l'atterrissage en Normandie, dans l'indifférence générale.

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