Concetti Chiave
- Gian Paolo Borghetti was a French writer, poet, and politician, born in Talasani, Corsica, in 1816, from a distinguished family linked to Louis Giafferi.
- He studied medicine in Pisa and later served as a surgeon in the French navy until 1848, traveling across the Mediterranean and Atlantic.
- Inspired by the French Revolution of 1848, he resigned from the navy and was elected as a general councilor, but soon became disillusioned with political intrigue.
- Borghetti faced administrative persecution due to his opposition to the Second Empire but was never exiled; he later served as chief of staff in Ajaccio in 1870.
- He contributed to several Corsican publications and founded his own Italian-language newspaper, which criticized Napoleon III's foreign policy and was shut down after five issues.
Gian Paolo Borghetti, était un écrivain, poète et homme politique français. Il a été présenté comme «l'un des plus grands poètes italiens cours d'expression" [1] et «l'un des intellectuels les plus brillants cours du XIXe siècle.
Gian Paolo Borghetti est né à Talasani, la Corse, le 23 Juin 1816 [3] dans l'un des plus illustres familles de la région de Tavagna où les membres, liée à Louis Giafferi, se sont distingués dans le royaume du roi Théodore dans les jours de Pâques Paoli.
A les nouvelles de la Révolution française de 1848, il a démissionné et réglé à Bastia. Borghetti est un grand admirateur de Lamartine et sera grandement influencé par le livre Histoire des Girondins. Au moment des premières élections au suffrage universel (masculin) le 13 et 14 mai 1848, il a été élu conseiller général dans son canton natal de Pero-Casevecchie.
Ne voulant pas compromettre ses idéaux, il est vite déçu de voir l'intrigue politique et le copinage l'emportent sur l'intérêt général. Il vous permet de remplacer l'avocat général comme l'un de ses amis, le magistrat Octavien Renucci qui va garder son poste jusqu'à la fin du Second Empire. Après le coup d'Etat du 2 Décembre 1851, il a abandonné la vie publique. De 1849 à 1870, Borghetti reste dans l'opposition. Contrairement à beaucoup d'autres dans son poste n'a jamais été envoyé en exil, mais était souvent l'objet de persécution administrative. Alors que le Second Empire effondré en 1870, Borghetti trouvé «grâce» aux autorités, puis a été nommé chef de cabinet du nouveau préfet Domenicu Francescu Ceccaldi à Ajaccio.
Après avoir contribué à la revue progressiste de la Corse (Bastia) en 1848, l'année suivante, il fonde son propre journal Corse, écrite en italien pour être mieux comprise par la population. Le journal critique ouvertement la politique étrangère de Napoléon III et cela conduit à la fermeture du journal après seulement cinq numéros.
Devient plus tard rédacteur en chef du Golo (Le) (1869), Bulletin officiel de la Corse (1870 à 1871), la République (1871-1872), La Solidarité (de 1879 à 1885) et Colombo, et a fondé le magazine Le Républicain de la Corse (1871), Le Démocrate de la Corse (1871) et La Concorde (1880).
Domande da interrogazione
- Qui était Gian Paolo Borghetti et quelles étaient ses contributions principales?
- Quel a été le parcours éducatif et professionnel de Borghetti avant son engagement politique?
- Comment Borghetti a-t-il réagi à la Révolution française de 1848 et quelles ont été les conséquences pour sa carrière politique?
- Quels journaux et magazines Borghetti a-t-il fondés ou dirigés, et quel était leur impact?
Gian Paolo Borghetti était un écrivain, poète et homme politique français, reconnu comme l'un des plus grands poètes italiens d'expression et un intellectuel brillant du XIXe siècle. Il a contribué à la littérature et à la politique en Corse, notamment en fondant plusieurs journaux et en participant activement à la vie politique.
Borghetti a étudié la médecine à Pise de 1835 à 1839. Après ses études, il est retourné en Corse et s'est enrôlé dans la marine française comme chirurgien, voyageant à travers la Méditerranée et l'Atlantique jusqu'en 1848.
À la nouvelle de la Révolution française de 1848, Borghetti a démissionné de la marine et s'est installé à Bastia. Il a été élu conseiller général lors des premières élections au suffrage universel masculin, mais a rapidement été déçu par l'intrigue politique et le copinage, ce qui l'a conduit à abandonner la vie publique après le coup d'État de 1851.
Borghetti a fondé et dirigé plusieurs journaux et magazines, dont Corse, Le Golo, Bulletin officiel de la Corse, La République, La Solidarité, et a fondé Le Républicain de la Corse, Le Démocrate de la Corse, et La Concorde. Ces publications critiquaient ouvertement la politique étrangère de Napoléon III et ont eu un impact significatif sur la presse et la politique en Corse.