La lotta per l'indipendenza algerina e il ruolo della Francia

Coesistenza e tensioni in Algeria

Après la colonisation de l’Algérie, deux peuples coexistent sur le territoire depuis 1830 : les indigènes ou la population locale, et les citoyens français.
Lors de la guerre froide, parallèlement à la division de Berlin, les mouvements de décolonisation commencèrent dans le sillage du mouvement pacifique d’indépendance en Inde avec Gandhi. Les colonies françaises poursuivirent cette ligne, en particulier en Algérie le désir d’indépendance se transforma en un mouvement de décolonisation violente. L’Algérie était, et est encore aujourd’hui, une terre riche de gisements miniers et pétroliers et la France, en période de crise économique due aux dépenses considérables de guerre, exploitait la richesse de leur territoire.

Guerra d'Algeria e indipendenza

Le 8 mai 1945, à Sétif, des manifestations dégénèrent en révoltes et une centaine d’Européens sont massacrés. Se forme ainsi le front de libération nationale (FNL) qui décide de lutter activement pour l’indépendance de l’Algérie en commettant des attentats dans tout le pays contre les citoyens qui venaient de France. C’est le début de la guerre d’Algérie, qui durera plus de huit ans. Le nouveau président Charles de Gaulle annonce et propose, pour la première fois, de négocier avec le FNL : il est décidé que, en échange d’une aide militaire contre la résistance antinazie, l’Algérie serait reconnue comme indépendante. Malgré cela, une partie des Français ne voulaient pas accorder cette indépendance et décidèrent de poursuivre dans la clandestinité en créant l’organisation armée secrète (OAS) et en organisant un coup d’État contre De Gaulle, qui échoua. Après huit ans de guerre, les accords d’Évian marquent la fin de la guerre entre la France et l’Algérie, mettant fin à la présence française sur le territoire, faisant fuir les "pieds noirs".