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Royal et elle s’assise toujours à la même place sous la cabine de projection. Elle
découvre qu’il y a quelque chose à ses pieds, c’est un sac pas très grand et pas très
lourd. Elle l’apporte à la dame qui vend les billets mais la dame lui dit qu’elle n’a pas
de temps et d’aller chez le projectionniste. Le projectionniste lui dit que le sac c’est un
cadeau pour elle, c’est le cadeau offert un fois par an à ce qui s’assise sous la cabine
de projection. Dans le sac elle trouve une caméra. Mélanie sort dans la rue et se met à
filmer les gens qui passent. Puis elle va devant le CinéPalace pour attendre sa mère.
Quand Mélanie lui parle du cadeau reçu, elle hausse ses épaules comme s’elle ne
voyait rien. Le soir Mélanie découvre un petit écran où elle peut voir ce qu’elle a filmé.
Mais Mélanie comprend que cette caméra ne filme pas ce qu’elle voit mais ce qu’elle
rêve (par exemple un homme avec une armure qui se bat contre un géant). Ainsi tous
les soirs, par un an, Mélanie regarde dans l’écran de sa caméra ce qu’elle a rêvé et
elle écrive aussi sur un cahier se rêves. Au bout d’un an, elle retourne au Royal, elle
dépose la caméra sous la cabine de projection et puis elle s’assise plus loin. Elle voit
un garçon qui va s’asseoir sous la cabine de projection et qui prend le sac avec la
caméra.
Ces gens-là > Mardochée vivait en Afrique du nord, dans la communauté juive d’Alger,
bien avant la conquête française. Il était un musicien et il jouait en particulier du
violon. Il le posait sur son genou à la verticale et il le jouait. Il avait une grande
réputation, il jouait à beaucoup de fêtes. Un soir qu’il est en train de diner avec sa
famille, on lui frappe à la porte. Un couple richement vêtu lui demande s’il veut les
accompagner. Il y a une fête dans l’autre côté de la ville où il doit jouer son violon.
Mardochée dans un premier moment hésite mais les deux lui donnent une bourse
pleine de pièces d’or. Le couple fait monter Mardochée dans un carrosse trainée par
deux chevaux blancs et met un bandeau sur les yeux de Mardochée. Terminé le
voyage Mardochée se retrouve dans une cour somptueuse. Il joue toute la nuit, il fait
chanter et danser tous les convives. Il joue des différents types de musique. Ses hôtes
lui demande s’il veut manger ou boire mais il se rappelle que quand il était enfant, sa
mère et sa grand-mère lui avait dit que si un jour il se trouvait dans celle situation-là, il
ne devrait pas manger ou boire car s’il le faisait, il oublierait toute sa famille. Au petit
matin, quand tous les invités somnolent sur les tapis et les divans, une femme
s’approche de Mardochée, lui pose un bandeau sur les yeux et le fait monter dans le
carrosse. Comme le chemin est longue, il s’endort et il se réveille devant sa maison
avec la bourse d’or qui démontre qu’il n’a pas rêvé. Sa femme lui ouvre la porte et ses
enfants lui se jettent dans le bras. Quand Mardochée raconte son histoire aux anciens,
ils lui disent qu’il l’a chapée belle ; il est allé chez ces gens-là et il est revenu !
Le casque de Jean-Baptiste > Jean-Baptiste s’est cassé la jambe e le bras en glissant
sur une rampe d’escalier avec son skate-board. Son ami Hugo venait de le faire avant
de lui et donc Jean-Baptiste voulait montrer d’être capable lui aussi. Maintenant il a un
plâtre qui lui prend le pied, la cheville, le genou et la cuisse et un autre qui lui prend
tout le bras du poignet à l’épaule. La jambe est suspendue en l’air au-dessus du lit et
le bras est suspendu au-dessus de sa tête. Ses parents et ses amis lui ont apporté des
bandes dessinées, des jeux vidéo et des livres mais Jean-Baptiste s’ennui beaucoup,
coincé dans son lit d’hôpital. Il attend avec impatiente la visite de son oncle Oscar.
Dans le lit d’à côté il y a un garçon qui n’a pas de plâtre mais qui ne bouge pas de son
lit. Jean-Baptiste sait qu’il s’appelle Bernard parce qu’il a entendu les infirmières
l’appeler comme ça. Elles doivent hurler avec lui, il les entend à peine. Il porte
toujours un walkman sur ses oreilles. Un jour Jean-Baptiste décide de lui parler mais
Bernard ne répond pas, alors Jean-Baptiste roule sa serviette en boule et la jette à
Bernard qui sursaute. Bernard dit à Jean-Baptiste qu’il est aveugle depuis six moi. Il a
voulu traverser la chaussée avec son skate mais il n’a pas vu un camion arriver.
Bernard dit aussi qu’il a décidé d’avoir ce casque parce que, comme il ne voit pas, il
ne veut pas entendre. Le soir Jean-Baptiste écrit une lettre pour son oncle Oscar qui se
trouve au Japon. Il lui envoie deux micro-casques, un pour J-B et un pour Bernard. Les
deux forment une véritable équipe ; J-B sur son fauteuil roulant guide Bernard qui
remplace sa jambe et son bras.
Un roi très gourmand > il était un fois dans un pays au bout du monde un roi très
gourmand. Il passait presque tout son temps à manger. Il était devenu gros, gras et
difforme. Il mangeait aussi la nuit pendant son sommeil. Il avait aussi ordonné qui
toute la nourriture meilleure lui soit réservée. Il avait une compagnie de soldats qui
parcourait tout le royaume pour lui chercher de la nourriture. Quand les soldats, qui
avait des longs nez, sentaient une bonne odeur, entraient dans la maison où il
provenait. Un matin le roi fait appeler son architecte et lui ordonne de construire un
grand palais de sucre. Mais avec l’arrivé de l’automne et de la pluie, le grand palais de
sucre se met à foudre. Alors le roi ordonne à son architecte de lui construire un
château de chocolat résistent à la pluie. Mais le printemps arrivait et avec elle le soleil.
Le château se met à couler. Le château ensevelit le roi et le roi dégoulinant de
chocolat, s’enfuit suivi par le rire des habitants de son royaume qui finalement
pourront manger et retrouver leur santé.
Pierre dans la cuisine > Pierre aimerait cuisinier avec sa mère. Elle travaille tard le soir
et quand elle rentre à la maison, Pierre a déjà dîné chez la mère d’un copain. Il voit
souvent sa mère manger debout un morceau de pain et un morceau de fromage.
Pierre n’aime pas que sa mère mange si peu, elle n’est pas bien grosse. La mère de
Pierre fait très bien la cuisine, surtout quand elle invite ses amis. Elle passe des heures
à cuisiner et Pierre aime la regarder. Pierre quelques fois se met un tablier et aide sa
mère, par exemple il doit gouter les sauces. Mais en ce moment la mère de Pierre est
triste sans qu’il sache pourquoi. Un jour, Pierre rentre à la maison et trouve sa mère
très triste alors il insiste un peu pour savoir la cause de son malaise. Elle dit qu’elle a
été licenciée. Pierre est un garçon très optimiste et il rassure sa mère en disant qu’ils
iront trouver une solution. Il se met aussi à faire le clown et à faire des grimaces. Puis
sa mère lui dit d’aller jouer avec ses amis Pierre-Jean et Pierre-Louis. Ils doivent avoir
un match de foot avec des autres garçons de l’école. Le ballon franchit une palissade
et Pierre qu’il l’a lancé, doit aller le récupérer. Il se trouve dans un jardin plein d’herbes
qui lui montent jusqu’au cou, c’est difficile de retrouver son ballon. Pierre décide de
monter sur la terrasse de la maison pour mieux voir. Dans la maison il voit une vieille
dame en train de cuisiner. Quand elle le voit, elle lui demande de l’aider avec la soupe
qu’elle est en train de cuisiner et de lui dire ce qu’il manque. Pierre dit de mettre du
sel et alors la vieille lui demande qui lui a enseigné ça. Il répond sa mère. Pierre
retourne avec ses amis mais ils ont perdu le match. Quand Pierre rentre chez lui, il
sent une odeur délicieuse. Sa mère est en train de cuisinier un fondant au chocolat.
Puis on sonne à la porte : c’est la vieille dame qui demande à la mère de Pierre d’aller
travailler dans le restaurant de son neveu.
Martin-Partout > Dans la chambre de Martin il y a une grosse boite en carton qui a dû
contenir un gros appareil. Sur les côtes la mère de Martin a découpé des fenêtres et
une porte pour en faire une maison. Martin passe souvent l’après-midi dans sa maison
de carton. Il apporte avec lui beaucoup de ses joux et aussi ses quatre souris qui
s’appellent tous Arthur. Sa mère se demande comment la boite puisse contenir tout ça
et Martin lui répond que nous pouvons toujours trouver une place, quand on aime.
Pendant les vacances Martin aime aussi jouer au super héros. Il se met une cape sur le
dos et il surgit dans le salon où sa famille regarde la télé en criant « je suis super
Martin ! je pars sauver le monde » et après ça il entre dans la chambre, il ferme la
porte et aucun bruit n’est entendu. Un de ses frères décide d’aller dans sa chambre
pour le voir. Martin sort de sa maison de carton avec le visage tout rouge comme s’il
était allé étendre l’incendie dont il avait parlé la télé. Il dit d’être allé au parc avec son
quatrième Arthur. Pendant une autre journée de vacances Martin se met sa cape,
surgit dans le salon, voit une inondation à la télé et disparait dans sa chambre. Son
frère le voit sortir de sa maison de carton tout mouillé et Martin dit d’être allé à la
piscine avec son quatrième Arthur. Le samedi il se met sa cape, surgit dans le salon, il
voit un tremblement de terre à la télé et il disparait dans sa chambre. Son frère le voit
encor sortir de sa maison de carton avec le quatrième Arthur. Martin est tout couvert
de poussière car il dit d’être allé aider un voisin à déménager. Le dimanche mati