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5. Analyse : Épître au roi pour avoir été dérobé, C. Marot
Ce poème se présente comme un texte très long, en vers (10
syllabes, vers décasyllabes), qui s’inspire à la forme de l’épigramme.
Les rimes ont un schéma précis : AABBCC, etc… ce sont des rimes
plates. Vue la longueur et les séquences, le texte peut être divisé en
trois parties :
v.1 – v.7 : Marot s’adresse au roi, François I, en utilisant une
maxime sur le malheur, une vérité proverbiale ;
v.8 – v.48 : c’est un récit, où Marot expose les actions
accomplies par le vilain, le voleur, qui a dérobé l’auteur ;
v.49 – v.130 : c’est le deuxième et dernier récit, où Marot parle
de sa propre maladie, la mauvaise fortune, en cherchant de
séduire le Sire, afin d’obtenir de l’argent.
Cette œuvre se propose comme un texte déclaratif : texte qui
cherche à influencer/convaincre/séduire quelqu’un.
je poétique)
Marot constitue soit la personne (présence du soit la
non-personne, car il parle de lui-même en utilisant la troisième
personne du singulier.
Le Roi est la personne, car l’écrivain utiliser les expressions « vous »,
« Sire », etc…
Le valet (le voleur) est la non-personne, car il est présent pendant le
déroulement de l’action, mais il ne participe pas à l’énonciation ; en
effet, on parle de lui, en utilisant la troisième personne du singulier.
Au début de l’œuvre, il y a une maxime, qui constitue un éloge au
roi, repris à la fin du poème ; cette partie est vue comme
l’introduction au poème ; après il y aura la description du vol et du
valet.
Le voleur est bien décrit, en effet l’écrivain nous donne une
description précise et détaillée, en parlant de l’aspect physique du
donjuan,
valet, mais aussi de ses propres attitudes : il était un qui
bouderaux
aimait les (bordelles), donc, la passion sexuelle et qui
jouait aux quilles (sorte de bowling). Après la description du valet,
Marot nous pose la description du vol, donc de son malheur. Le
voleur lui avait volé ses vêtements et son argent ; il les a utilisés
pour se déguiser, et, donc, pour s’enfuir, en effet Marot souligne le
fait qu’il semblait son maître.
Après cette description, Marot commence à parler de lui-même, en
utilisant la troisième personne, mais aussi, il souligne l’égoïsme des
gens qui profitent du roi, donc, il souligne le fait que le roi est/a été
très naïf. Cette partie présente une forte ironie, liée à la satire.
Il commence à se moquer du langage des médecins, en effet il cite
beaucoup de noms appartenant à plusieurs médecins et savants.
Cette partie se centre sur la peste méchante qui frappe Marot, mais
l’auteur se moque, aussi, de la maladie-même (ironie envers lui-