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La France d'Outre-Mer
Polynésie française, la Nouvelle-Calédonie, Wallis-et-Futuna et Vanuatu. La France d'Outre-Mer. Déjà à partir du XVIème siècle la France entreprend son histoire coloniale sous le gouvernement royal pour ensuite bâtir un véritable empire colonial républicain à partir du XIXème siècle jusqu'aux années 50 détruit par le phénomène de la décolonisation à partir de 1947. Les départements et régions d'outre-mer ont le même statut que les départements de France métropolitaine, alors que les collectivités territoriales disposent d'une indépendance relative. Environ 2.500.000 millions de personnes habitent dans les départements et collectivités d'outre-mer (DROM et COM qui en passé présentaient la définition de DOM et TOM). Si les DROM relèvent du
ministère d'outre-mer depuis 1946, les collectivités dépendent en revanche du ministère de l'intérieur, qui distribue beaucoup d'investissements afin d'encourager l'occupation. Du moment que chaque territoire d'outre-mer entraîne un contrôle sur la mer, cela comporte pour la France l'avantage d'avoir une exclusivité économique sur certaines portions de mer.
Les DROM et les COM
Les DROM naissent à la suite de l'institution de la soi-disante "union française" en 1946. Il s'agit de 5 départements: la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, La Réunion (DOM depuis 1946) et Mayotte (DOM depuis 2011); à partir de 2003 tous ses territoires sont à la fois départements et régions d'outre-mer.
Les COM disposent d'une autonomie plus forte de la France avec un attachement moindre par rapport aux départements.
Ce sont les territoires peu répandus de Saint Pierre et Miquelon, Saint Barthélemy et Saint Martin aux Antilles, Wallis et Futuna en Polynésie (territoire protagoniste d'une grosse polémique liée aux essais nucléaires menés par la France entre 1966 et 1974) de la Nouvelle Calédonie, des îles inhabitées des Terres Australes et Antarctiques et de Clipperton. La Francophonie européenne La Belgique et la Suisse font partie de la francophonie européenne. La Belgique représente, par son histoire et par sa situation actuelle, le point de transition entre les civilisations latine et germanique. Elle est en effet, au nord-est, la pointe extrême de la Romania continue, ce vaste territoire où sont parlées les langues issues du latin. La frontière linguistique, qui ne coïncide presque jamais avec les frontières politiques, traverse horizontalement le pays, déterminantdeux communautés linguistiques majeures : la communauté francophone wallonne au sud, où réside le 33% de la population belge, et la communauté néerlandophone flamande au nord avec la présence du 57% de la population, auxquelles il faut ajouter la petite communauté germanophone de l'est, qui se trouve presque entièrement en Wallonie. Même si Bruxelles est situé en zone flamande, dans la capitale le 80% de la population parle français: selon la définition de Maurice Piron, la ville constitue le "point sur le i de la Romania". Si d'un côté la France a intensivement lutté contre les patuas pour créer une langue nationale, en Belgique et au Canada, en revanche, on n'a pas conduit la même lutte contre les particularités dialectales. Depuis 1830, année pendant laquelle la Belgique devient indépendante, le français.reçoit le statut de langue officielle. La division interne au Pays a souvent été source de tension entre les deux communautés, et notamment au cours des années 1960-1965, ce qui a abouti au statut fédéral (1989) et à la modification constitutionnelle de l'état qui, depuis 1993, est devenu un état fédéral, où la représentativité parlementaire est fondée sur trois communautés linguistiques (flamande, française de Belgique, germanophone) et sur trois régions (flamande, wallonne et Bruxelles-capitale).
La Belgique a une population d'environ 10,5 millions d'habitants ; le français a le statut de langue officielle depuis 1830 (alors que le néerlandais n'acquiert ce statut qu'en 1898), mais il est minoritaire à l'intérieur du pays (33% environ de la population est exclusivement francophone, et 10% bilingue).
à séparer les langues germaniques (parlées au nord) des langues romanes (parlées au sud). Au fil des siècles, cette frontière linguistique a été renforcée par des facteurs politiques, culturels et économiques. Au Moyen Âge, la Belgique était divisée en plusieurs principautés et seigneuries, chacune ayant sa propre langue et sa propre identité. La Flandre, située au nord, était une région prospère grâce à son commerce et à son industrie textile. Au sud, la Wallonie était une région plus rurale, axée sur l'agriculture et l'exploitation minière. Au cours des siècles suivants, la Belgique a été le théâtre de nombreux conflits et invasions, notamment par les Français, les Espagnols et les Autrichiens. Ces influences étrangères ont laissé leur empreinte sur la culture et la langue du pays. En 1830, la Belgique a obtenu son indépendance vis-à-vis des Pays-Bas. Cependant, la question linguistique a rapidement émergé comme un sujet de tension entre les Flamands et les Wallons. Les Flamands, qui représentaient la majorité de la population, revendiquaient une plus grande reconnaissance de leur langue et de leur culture. Au fil des décennies, la Belgique a évolué vers un État fédéral, avec des régions autonomes dotées de compétences étendues. Aujourd'hui, la Belgique est composée de trois régions linguistiques : la Flandre (néerlandophone), la Wallonie (francophone) et Bruxelles (bilingue). La Belgique est également le siège de nombreuses institutions européennes, telles que la Commission européenne et le Parlement européen. Elle joue un rôle important dans la politique et l'économie de l'Union européenne. En conclusion, la Belgique est un pays complexe, marqué par sa diversité linguistique et culturelle. Les différences entre les Flamands et les Wallons sont profondes, mais le pays a réussi à trouver un équilibre entre les différentes communautés linguistiques.La frontière linguistique en Belgique a une histoire complexe et fascinante. Elle remonte à l'époque romaine et a pratiquement été inchangée jusqu'à l'indépendance de 1830. Deux siècles de domination espagnole et près d'un siècle de domination autrichienne n'ont pas entamé le prestige du français, que les élites flamandes n'ont jamais cessé d'utiliser, tandis que dans le sud du pays, le français a toujours dû faire face au dialecte wallon. Les raisons de la formation de cette frontière sont obscures. Certains ont imaginé que des obstacles naturels tels que la forêt Charbonnière ont arrêté la pénétration franque, tandis que d'autres ont évoqué l'existence d'une ligne de fortification, le limes belgicus, qui aurait protégé contre les attaques des envahisseurs. Une explication démographique a également été avancée : au sud, la population était majoritairement francophone, tandis qu'au nord, elle était majoritairement flamande.population était plus abondante, ce qui aurait favorisé l'assimilation des nouveaux vainqueurs, tandis qu'au nord c'était l'inverse et ce sont donc les populations autochtones qui ont été assimilées. D'autres chercheurs, enfin, postulent une vaste zone mixte, où coexistaient GalloRomains et Germains, et que ce n'est qu'à la suite d'une re-romanisation plus tardive (suivant une ligne sud-nord) que la frontière linguistique a été constituée.
En 1581 la frontière est rendue stable à la suite de la réforme protestante: selon le principe latin de "cuius regio eius religio", les populations doivent pratiquer la religion de leurs chefs; les catholiques se déplacent au Sud, tandis que les protestants laissent l'Europe, victimes des persécutions.
Le pays est divisé en Provinces-Unies (protestantes et
Les Pays-Bas, actuellement divisés en Belgique du Nord (flamande et néerlandophone) et Belgique du Sud (catholique et francophone), étaient sous domination espagnole. Cette division politique et d'influence a également entraîné un recul durable du français en Belgique du Nord, où il était auparavant largement pratiqué par la grande bourgeoisie flamande. À long terme, l'effet le plus durable de cette division a été la constitution de deux identités culturelles autonomes, tournées vers les Pays-Bas pour la partie nord et vers la France pour la partie sud du pays. Cela explique peut-être le sentiment chez les Belges du manque d'une culture "wallonne" : les grands auteurs du siècle dernier, tels que Huysmans et Simenon, pour ne citer que les plus connus, sont considérés comme des auteurs français (pas "francophones") et c'est en tant que tels qu'ils sont reconnus.
La plupart des manuels de littérature française, qui réduisent leur belgitude à une simple donnée biographique.
Phonétique en Belgique
Les différences du français de Belgique par rapport au français métropolitain ne sont pas très nombreuses et ne caractérisent pas uniquement cette variété de français, étant donné qu'il est possible de les retrouver dans beaucoup de variétés régionales, notamment du nord-est (Nord-Pas-de-Calais, Picardie, Champagne-Ardennes).
Belgique - lexique
- archaïsmes comme par exemple "septante" matoufet witloof
- régionalismes liés aux repas traditionnels comme ou à peyela place d'endive; termes et expressions du langage quotidien comme avoir la pétette qui indique un vieil homme ou pour indiquer la peur.
- préfet d'athénée
- termes administratifs
comme le qui indique lel’échevinproviseur et qui est un membre du conseil communal.
● des mots belges
exemples:
- aller à la cour = aller aux toilettes
- septante = soixante-dix
- académique = universitaire
- pain français = baguette
- faire des affaires = compliquer les choses
- drache = pluie battante
- torchon = serpillière
- être en affaires = être agité
- loque à reloqueter = serpillière
- aimer autant = être d’accord (tu prononcer “peut-etre” ou “une fois” enveux sortir avec moi ? J’aime autant)
- conclusion d’une phrase est une expression typiquement belge
- aujourd’hui matin / soir = ce matin– ce soir
Belgique - syntaxe
les verbes
- transitifs avec emploi absolu: ex. Tu accompagnes où Marc fréquente(=il est fiancé)
- en construction pronominale: ex. Paul et Marion se sont accouchés/ sesont divorcés.
- valences verbales