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Le symbolisme est un mouvement artistique et
littéraire qui est né en France vers 1880 et s’est exprimé
jusqu’en 1900 en Europe et en Russie, jusqu’à tout le
continent américain.
Il est apparu en réaction aux Naturalisme, Réalisme et
Impressionnisme.
La peinture symboliste est influencée par le langage lyrique
des romantiques et par la charmante mélancolique des
préraphaélites, mais contrairement à ces derniers, les
symbolistes ne s’inspirent pas de la nature directement, leur
but est avant tout d’atteindre les vérités cachées, celles au-
delà des apparences. Toute réalité qui en évoque une autre
absente ou abstraite, à l’aide d’une correspondance
implicite.
Le symbolisme offre à l’art des moyens d’expression autres
que ceux de la simple représentation réaliste.
Il s’adresse à l’esprit, à l’imagination et non au regard.
Il vise un idéalisme à travers le symbole qui suggère une
idée profonde et personnelle par similitude. Il cherche à
donner la sensation, plutôt que la représentation des
choses.
Il évoque un monde idéal et privilège l’expression des états
d’âme, le rêve, le mystère, décrit le monde réel en utilisant
des représentations métaphoriques.
Les peintres s’inspirent des mythes antiques de la
mythologie grecque, de la mythologie allemande, celtique et
scandinave, des légendes, de contes de fées et de la Bible.
Ils s’interrogent sur la nature spirituelle de l’homme, sur
les sciences occultes et même sur le spiritisme auquel ils
s’adonnent.
Ils interprètent tout ce qui se cache derrière les
apparences : l’ésotérisme, l’étrange, la magie, l’au-delà, le
mysticisme, la solitude, la mort, le fantastique, l’imaginaire,
9
ou encore, la névrose, le sadisme et la luxure,
l’antagonisme du vice et de la vertu.
Les animaux se métamorphosent, les fleurs symbolisent le
bien et le mal.
La plupart en marge de la société, laissent souvent leur
imagination parler sous l’emprise de l’alcool et de la
drogue.
La femme pour les symbolistes est une grande source
d’inspiration.
Elle est représentée tantôt comme une ensorceleuse,
enjôleuse à la beauté fatale, entraînent l’homme à la mort
ou en belle captivante, angélique, pure, sacrée, vertueuse et
idéalisée.
Les plus grands exposants symbolistes en littérature sont :
Baudelaire et Verlaine.
Ce qui donne les vrais fondements du
Charles
symbolisme est
Baudelaire (Paris 1823-1866) avec
le sonnet « Correspondance », dans
lequel il dit que l’homme passe à travers
le monde de la nature comme dans une
" forêt de symbole ”, qui lui parle dans
une langage confus, où les parfums, les
couleurs et les sons lui répondent
(synesthésie); c’est au poète
l’interprétation
de ses voix pour nous donner une
connaissance intuitive des vérités de
l’univers.
Avec « Les Fleures du Mal » du 1857,
Baudelaire a ouvert une nouvelle saison dans l’histoire de la lyrique et poésie
occidentale.
Dans la dernière édition de 1861, « Les Fleures du Mal » comprennent 126
poésies partagées en six sections que montrent le parcours avec lequel l’homme
cherche de fuir du mal, mais en arrivant à une inévitable faillite.
Dans ce poème on peut trouver une série de quatre poésies intitulées
« Spleen », terme anglais pour indiquer mélancolie, dégoût, et lassitude .
Dan la dernière poésie, que je vous présente ici, la poésie exprime la
personnification des sentiments d’angoisse, qui créent une atmosphère
hallucinante et catastrophe. 10
Spleen -
-
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercles
Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l’horizon embrassant
tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus
triste que les nuits ;
Quand la terre est changée en
un cachot humide,
Où l’Espérance, comme une
chauve-souris,
S’en va battant les murs de son
aile timide
Et se cognant la tête à des
plafonds pourris ;
Quand la pluie étalant ses
immenses traînées
D’une vaste prison imite les
barreaux,
Et qu’un peuple muet d’infâmes
araignées
Vient tendre ses filets au fond de
nos cerveaux ,
Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.
Et de long corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l’Espoir,
Vaincu, pleure, et l’Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.
Le signifié de ça poésie et en particulier l’affreux hurlement lancé par
des cloches qui fait penser au geindre opiniâtrement des esprits errants
11
et sans patrie, nous anticipe l’expressionnisme artistique de Edvard
Munch. 12
Ce hurlement nous rappelle déjà l’œuvre, la plus célèbre de Munch :
L’urlo 13
Un autre poète célèbre dans la littérature
Paul Verlaine
symboliste est (1844-1896).
Il se transférera à Paris après la mort de son
père.
Il est le premier et vrai poète symboliste. On
peut voir ça de sa première œuvre : « Poèmes
Saturniennes (1866), qui comprennent déjà
représentations sur la décision
des
d’éloigner les sensations, le rêve et
l’évasion a part le referment au planète
de la mélancolie: Saturne.
Verlaine a expliqué mieux sa poétique
dans le poème contenu dans la récolte
« Jadis et Naquere » (1884) - Art
poétique, dans laquelle il affirme que la
poésie est musique. Pour ça motivation il a choisi le vers de
syllabe impair, la rime simple, l’assonance et un nouveau
rythme léger, qui donne espace au rêve.
Elle a été composée à partir du 1874,elle fut considérée
comme un manifeste symboliste.
14
Art Poétique –
-
De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’impair,
Plus vague et plus
soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse
ou qui pose.
Il faut aussi que tu
n’ailles point
Choisir des mots sans
quelques méprise:
Rien de plus cher que la
chanson grise
Où l’indécis au Précis se
joint.
C’est de beaux yeux
derrière des voiles,
c’est le grandi jour
tremblant de midi,
C’est, par un ciel
d’automne attiédi, le
bleu fouillis des claires
étoiles!
Car nous voulons la
Nuance encor,
Pas la couleur, rien que
la nuance!
Oh !la nuance seule fiance
Le rêve et la flûte au cor!
Fuis du plus loin la point assassine
L’Esprit cruel et le Rire impur,
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Qui font pleurer les yeux de l’Azur,
Et tout cet ail de basse cuisine!
Prends l’éloquence et tords-lui son cou!
Tu feras bien, en train d’énergie,
De rendre un peu la Rime assagie.
Si l’on n’y veille, elle ira jusqu’où?
O qui dira les torts de la Rime?
Quel enfant sourd ou quel nègre fou
Nous a forgé ce bijou d’un sou
Qui sonne creux et faux sous la lime?
De la musique encore et toujours!
Que ton verses soit la chose envolée
Qu’on sent qui fuit d’une âme en allée
Vers d’autres cieux à d’autres amours.
Que ton vers soit la bonne aventure
Eparse au vent crispé du matin
Qui va fleurant la menthe et le thym…
Et tout le reste est littérature.
Le symbolisme se manifesté aussi dans la littérature
allemande en particulière avec Rainer Maria Rilke.
Rainer Maria Rilke
Die Arbeit von (1875-
1926)
wird als das „extreme Schließen
des Impressionismen
eingeführt und des Symbolismen“
und seiner Pfosten spornte sie
sind gewesen tolstojana Russland
und Paris di Baudelaire und des
simbolisti an.
Dass das seine Arbeiten sehr
beeinflusste, war auch die vielen
weiblichen Freundschaften, die
der Dichter hatte, insbesondere
diese mit Lou Salomé, als zu ihm
16
nahe mit wird gebildet wechselnd für 22 Jahre bleibt
und deren Briefwechsel mit dem Dichter é notwendig,
um die Richtung von seiner Arbeit besser zu enthalten.
In den 1922 er schreibt „das sonetti zu Orfeo“, als
Widmung zu einem jungen Tänzer, Wera Ouckama
Knoop, von 19 Jahren, starb an der gleichen Krankheit,
die den Dichter 1926 schlägt, die Leukämie.
Das wiederfindet eins des Orfismo zeigt rückwärts eine
Weise in Richtung zu den Ursprung von einer alten
Klugheit an.
Aber in Rilke, nimmt der Mythus des Orfeo, dass er
verliert, Euridice eine Einzelheit eine der Wertigkeit
ganz an. Wie in Verlaine folglich in Rilke das freie Wort
total vom Gewicht vom zufriedenen, um selbst sende
ich zu werden zurück zu anderem, um in Energie eines
Spiels auch zu tanzen.
Die Logik folgen den Wörten mehr als sie beherrschen.
Euridice ist das Symbol in dem eines existentiellen
Zustandes der Dichter ist es wahrgenommenes extrem
zerbrechliches: Orfeo-Rilke ist zum Zentrum von, das
eine Zeit von der Maschine vorherrscht, das Geld, die
Fabrik, der mechanische Flug: eine Zeit, die das Maß
vom ewigen verlor, das göttliche.
„Aufgabe des Dichter é, den ruhigen und gleichmutigen
Kurs einer Energie zu feiern, die über zur ephemeren
Dauer von allem hinaus erneuert wird, das die die
Illusion im kurzzeitigen eines Bestehens wird besitzen
gemußt“ (das sonetti zu Orfeo-M.Rilke).
Der Atem von Euridice é die sofortige Intuition, die
Poetik Wort zwecks im „Mythus“ ein verlorenes
Universum neu erstellen läßt.
Sie ist „fast“ ein Kind: im Näherungswert von denen
„fast“ liegt die Intensität, das undeutliches und die tiefe
Richtung des Bildes, das vom Mythus erwähnt wird.
„Tote Frau des Kindes unendlich, Euridice ist der
ursprüngliche Horizont des Lieds von Orfeo, das von der
gleichen Poesie ist: ist das Gedächtnis des jungen
Tänzers der das engagierte Zyklus ist „:
17
Und fast ein Madchen war und
ging hervor
aus diesem einigen Gluck von
Sang du Leier
und glänzte Klar durchirre
Frühlingsschleier
und machte sich ein Bett in
meinem Ohr.
Und schlief in mir. Und alles war
ihr Schlaf.
Die Baume, die ich je bewundert,
diese
fühlbare Ferne, die gefühlte
Wiese
und jedes Staunen, das mich selbst betraf.
Sie schlief die Welt. Singender Gott, wie hast
du sie vollendet, dar sie nicht begehrte,
erst wach zu sein? Sieh, sie erstand und schlief.
Wo ist ihr Tod? Oh, wirst du dies Motiv
Erfinden noch, eh sich dein Lied verzehrte?
Wo sinkt sie hin aus mir? ...Ein Madchen fast..
La corrente simbolista indirizzò la letteratura
verso la poesia moderna.
I simbolisti, all’idea di ricerca e di progresso,
sostituirono quella di una continua aspirazione
alla trascendenza.
Uno dei maestri ideali della nuova generazione,
caratterizzata da una mutata sensibilità e dal
desiderio di staccarsi da un culto stretto della
natura è Gustave Moreau.
18
Gustave Moreau
(Parigi 1826-1898),
pittore francese che si dedicò presto alla pittura.
Dopo due anni di permanenza in
Italia per studiare
Carpaccio, Mantenga,
Michelangelo….
Eseguendo anche numerose
copie, tornò a Parigi,
dove continuò lo studio degli
antichi maestri e
alla Bibliothèque Imperiale,
quello delle miniature e
stampe persiane, indiane,
giapponesi.
Da questa esperienza trasse i
motivi per
creare un’archeologia
immaginaria e giungere ad una
iconografia tutta rinnovata degli
antichi miti.
Nel 1864 espose al Salon “Edipo
e la Sfinge” , che ebbe un
notevole successo.
Essa,infatti,era ricca di spunti
allegorici,diversa dalle precedenti opere neoclassiche,
realiste ed impressioniste.
Da questo momento Moreau divenne il maggior
precursore del simbolismo che dilagherà in Francia e in
tutta l’Europa nell’ultimo decennio del secolo.
Partecipò al Salon fino al 1869 con opere in cui
s’accentuava il gusto per soggetti vari , colori irreali,
immagini lussureggianti di broccati,ornamenti, oggetti e
simboli preziosi.
Sospesi gli invii al Salon, cominciò una vita ritirata, quasi
claustrale realizzando opere sempre più
complicate,decadenti e fantastiche culminate nel dipinto
della Salomè ( la stupenda e sensuale ragazza che,
danzando davanti ad Erode, ottenne , in cambio , la testa
del Battista) e che la descrizione di Huysmans rende
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chiara e quasi reale all’osservatore che contempla tale
opera.
Huysmans immagina che il protagonista di A
Rebours, Des Esseintes, abbia acquistato due
Salomè, che Huysmans descrive così:
“ Sorgeva un trono simile
all’altar maggiore di una
cattedrale, sotto
“Al centro del
innumerevoli volte
tabernacolo,
sprizzanti da colonne
tarchiate con pilastri
romanici, smaltate di
mattonelle policrome ,
incrostate di mosaici,
incastonate di lapislazzuli