Solitudine - Tesina

In queste pagine ho deciso di trattare il tema della solitudine perché ritengo sia un aspetto che accomuna

tutta l’umanità. La solitudine è un’ esperienza, assai comune che prima o poi vivono tutti. Nonostante sia

molto diffusa non sempre è semplice definirla, può infatti avere differenti interpretazioni a seconda del

momento, della situazione, a seconda di chi la prova, da cultura a cultura, dall’età.

Questo termine propone una certa complessità, infatti la solitudine può essere amata ma anche odiata, in

modo particolare ricercata o subita.

Non esiste una definizione comune per tutti, ogni persona ha la propria.

Essere soli può costituire un peso a livello psicologico qualora non derivi da una scelta personale; sul piano

sociale sono numerosi gli esempi di questa solitudine "subita" che sempre più frequentemente si verifica

anche all’interno della famiglia. Nella società attuale i bambini trascorrono spesso molto del loro tempo

libero soli. Allo stesso modo gli anziani possono avvertire l’isolamento che deriva dal mancato

riconoscimento della loro funzione sociale.

Sia i bambini che gli anziani sono i soggetti più deboli sul piano sociale ad avvertire in maniera più incisiva il

problema dell’emarginazione.

La solitudine, quindi, non sempre è piacevole, ma, come affermava Schopenhauer, “chi non ama la

solitudine non ama la libertà, perché non si è liberi che essendo soli”.

Nelle letterature straniere viene molto affrontato il tema della solitudine. Nella letteratura

ispanoamericana Gabriel García Marquez consacra un’intera opera a questo tema intitolata “Cent’anni di

solitudine” nella quale indaga le cause della solitudine degli uomini che popolano un paese immaginario,

Macondo. Nella letteratura francese è Antoine de Saint-Exupéry nella sua opera “Il piccolo principe” ad

affrontare un diverso tipo di solitudine, una solitudine voluta. Infine, per quanto concerne la letteratura

inglese, è F.S. Fitzgerald a presentare la figura per eccellenza dell’uomo solo nel “Il grande Gatsby”.

[ Aracataca, 6 marzo 1927 –

Ciudad de México, 14 abril 2014 ]

“Cien años de soledad” (1967) es la obra cumbre de Gabriel Gacìa Marquez que representa el mejor

ejemplo de realismo magico.

El libro està dividido en 20 capìtulos no titulados y es una saga familiar que narra la historia de una familia

a través de distintas generaciones (7) y que dura exactamente un siglo.

La historia empieza cuando Josè Arcadio Buendìa y su mujer, Ursula Iguaràn, se ven obligado a marcharse

de Rionhancha por causa de un delito de honor, empezando asì un viaje que terminarà con la fundaciòn de

un nuevo pueblo, Macondo, donde viviràn a lo largo de muchos años. Del capìtulo 1 a 3 se narra el

establecimiento del grupo de familias en este pueblo; la vida polìtica, social y economica de Macondo se

encuentra desde el capìtulo 4 hasta el 16; los ùltimos tres capìtulos narran la decadencìa de la familia

Buendìa.

Ademàs de la continua fusiòn entre elementos reales y sobrenaturales, con personajes que vuelven de la

muerte, pociones màgicas y visiones, encontramos tambièn muchas referrencias simbòlicas a la real

historia de Colombia, como la Guerra Civil y la consigiente dictatura que se instala en Macondo.

Esta ciudad tiene, ademàs, un valor simbòlico ya que puede representar cualquier ciudad de

Hispanoamerica de la epoca.

La soledad, presente desde e tìtulo, es uno de los temas principales de la novela: todos los personajes

estàn predestinados a sufrir la soledad, una soledad interior producida por la incapacidad de amar o por los

prejuicios de la sociedad. Otros temas presentes en la obra, de menor alivio, son la busqueda del amor, la

traiciòn, la libertad y el rencor.

En cuanto a los personajes, José Arcadio Buendìa y Ursula Iguaràn, no son màs que la trasposiciòn literaria

de los abuelos maternos del escritor. De hecho, Ursula se muriò ciega y loca como Traquillina, mentras que

Josè Arcadio tuvo que dejar su pueblo original por haber matado a un hombre en la juventud y fundò otro,

al igual que Nicolàs Màrquez.

Por Garcìa Marquez, en otro, existen cuatros acepciones acerca de la palabra soledad, pero dos son las que

conciernen a la novela: Carencia voluntaria o involuntaria de compañia y lugar desierto.

El primer significado se centra principalmente en la familia Buendìa y de forma secundaria en el resto de los

personajes. En el segundo sentido puede aplicarse al pueblo de Macondo. Los personajes se encuentran en

un lugar desierto. Este alejamiento no les permite tener comunicaciòn con el resto del mundo y por lo

tanto deriva a una soledad colectiva que afecta a toda la colectividad.

El mensajes que Garcìa Maquez quiere dar es, de hecho, que el hombre vive y muere solo.

In alcuni casi la solitudine può esser voluta e non imposta dall’ambiente che ci circonda e viene intesa come

analisi interiori di se stessi. [Lion, 29 Juin 1900 – Mer Tyrrhénienne, 31

Juillet 1944]

C’est le cas de « Le Petit Prince » d’Antoine de Saint-Exupéry, dans lequel l’auteur indique au lecteur le

moyen pour se livrer de la solitude afin de chercher ce qu’il y a de plus important pour donner un sens à la

vie. En effet comme dit le Petit Prince :

« Les hommes cultivent cinq milles roses dans le même jardin...et ils ne trouvent pas ce qu’ils cherchent... Et

toutefois ce qu’ils cherchent pourrait être trouvé dans une rose or dans l’eau.... Mais l’essentiel est

invisible pour les yeux. On ne voit bien qu’avec le cœur ».

L’homme s’engage dans une recherche pour rejoindre le vrai sens de la vie à l’extérieur de lui-même ; il ne

s’aperçoit pas qu’il s’éloigne de l’essence de sa recherche. Grâce à la solitude on peut mieux comprendre

les sentiments ou analyser les pensées les plus intimes.

L’histoire du Petit Prince est narrée en première personne par l’auteur, un aviateur qui, à la suite d’une

panne de moteur, se trouve dans le désert du Sahara et doit essayer seul de réparer son avion. Le

lendemain de son atterrissage forcé, il est réveillé par une petite voix qui lui demande « s’il vous

plaît...dessine-moi un mouton ! ».

Très surpris, l’aviateur fait la connaissance de ce garçon qui lui raconte son histoire. Il vit sur une autre

planète, l ‘astéroïde B612, « à peine plus grande qu’une maison » dont il est le Petit Prince. Ayant assisté à

la naissance d’une rose superbe, orgueilleuse et exigeante, le Petit Prince découvre que l’amour peut être

compliqué. Il décide alors de quitter sa planète et aller explorer les étoiles en quête d’amis.

Le Petit Prince visite sept planètes habitées chacune par une seule personne murée à l’intérieur de sa

propre solitude. La première planète est habitée par un roi qui règne un pays sans personne ; la deuxième

appartient à un vaniteux qui veut seulement être acclamé mais étant seul, personne ne peut l’acclamer ; la

troisième est habitée par un buveur qui boit « pour oublier qu’il a honte de boire » ; la quatrième est l’étoile

d’un businessman qui compte jours et nuit ses étoiles ; la sixième est l’étoile où habite un géographe qui

raconte au Petit Prince l’existence de la Terre.

Le prince très curieux, va sur la Terre où il rencontre de divers êtres vivants, comme le serpent qui parle par

énigmes, une fleur et l’écho des montagnes, mais il rencontre surtout encore une fois la solitude.

Arrivant dans un jardin de roses, il se rend compte que la fleur qu’il avait sur sa planète n’était pas unique

et devient malheureux.

C’est alors qu’il rencontre le renard qui peut parler et qui lui demande d’être apprivoisé. Le dialogue entre

eux constitue la partie la plus importante du roman parce que le petit renard affirme qu’ « on connait

seulement les choses qu’on peut apprivoiser. Les hommes n’ont plus de temps pour rien connaître. Ils

achètent chez les marchands des produits déjà prêts. Mais les marchands qui vendent les amis n’existent

pas, donc les hommes n’ont plus d’amis ». (Pag. 93).

Pour avoir un ami on doit être patient et attentif aux besoins de l’autre et aussi aux mots qui peuvent être

mal compris ; mais enfin si on trouve un ami on acquiert une grande richesse intérieure.

Le Petit Prince grâce au voyage sur la Terre comprend qu’il est essentiel d’"apprivoiser " quelqu’un, donc de

s’en faire des amis et que le monde s’ordonne autour de l’être devenu unique par l’amour qu’on lui

apporte.

C’est grâce à cette réflexion qu’il décide de retourner sur sa planète pour s’occuper encore de sa superbe

mais unique rose.

In altri casi, la solitudine è data dall’incomunicabilità tra le persone, le quali, nonostante siano circondate

da ricchezze d’ogni genere non sono in grado di istaurare rapporti, vivendo così in una perenne stato di

solitudine. th

[Saint Paul, Minnesota, 24 September 1896 –

st

Hollywood, California, 21 December 1940]

This is the case of “The great Gatsby”, the Fitzgerald’s masterpiece written in 1925.

The protagonist of the novel, James Gatz, comes from a humble Mid-western family. He makes every effort

to rise above poverty, he even changes his name into Jay Gatsby. While in the army, Jay falls in love with

Daisy, a beautiful but superficial young woman who, though returning Jay’s love, eventually marries Tom

Buchanan, a wealthy, brutal man. Gatsby later makes a fortune as a bootlegger and through other illegal

activities. He then rents a magnificent mansion on the fashionable shore of Long Island, on the opposite

side of the bay to Daisy’s house; he gives fabulous, wild parties, open to everybody, in the hope that he will

see Daisy turn up one day. Nick Carraway, a young, stockbroker from the Midwest, is Gatsby’s neighbor and

Daisy’s cousin. Thanks to him, Daisy and Jay meet again and have an affair. But one day Daisy has a fight

with her husband and, while driving back to Gatsby’s house, she runs over Tom’s mistress, Myrtle Wilson.

She does not stop, and Gatsby hides the car. Myrtle’s husband finds out that the car which kills his wife is

Gatsby’s. Gatsby does not protest his innocence because he wants to defend Daisy, but she desert him in

and reconciles with her husband. Gatsby is finally shot in his garden by Myrtle’s husband. Only Nick tries to

defend his name and arranges his funeral but, as opposite to the parties, nobody comes.

Gatsby is the prototype of lonely man, since we see him for the first time in the hour of dusk standing on

the lawn of his luxurious villa while he’s watching with his eyes fixed on the green light that is reflected on

the deck of the house from Daisy 'other part of the bank, at the time of his funeral.

A passage that could show the loneliness present in the book is that in which is described one of the

Gatsby’s party:

“There was music from my neighbor’s house through the summer nights.

In his blue gardens men and girls came and went like moths among

the whisperings and the champagne and the stars. At high tide in the

afternoon I watched his guests diving from the tower of his raft, or taking

the sun on the hot sand of his beach while his two motor-boats slit the

waters of the Sound, drawing aquaplanes over cataracts of foam. On

weekends his Rolls-Royce became an omnibus, bearing parties to and

from the city between nine in the morning and long past midnight, while

his station wagon scampered like a brisk yellow bug to meet all trains. And

on Mondays eight servants, including an extra gardener, toiled all day with

mops and scrubbing-brushes and hammers and garden-shears, repairing

the ravages of the night before.

Every Friday five crates of oranges and lemons arrived from a fruiterer

in New York – every Monday these same oranges and lemons left his back

door in a pyramid of pulpless halves. There was a machine in the kitchen

which could extract the juice of two hundred oranges in half an hour if a