Concetti Chiave
- Antoine Rivaroli, known as Comte de Rivarol, was a French writer of Italian origin, celebrated for his linguistic expertise and satirical works during the Enlightenment era.
- Rivaroli was a prominent figure in Parisian cultural salons of the 18th century, renowned for his elegance and quick wit, and was seen as an aristocratic figure despite his modest origins.
- He was an outspoken critic of the French Revolution, siding with the monarchy and producing satirical works that critiqued revolutionary figures such as Robespierre and Marat.
- Rivaroli's fame grew with his satirical publications, notably the "Petit almanach de nos grands hommes" and his participation in the political journal "Les Actes des Apôtres."
- His later years were marked by exile and a shift towards religious reflection, culminating in his death in Berlin in 1801, having embraced a more spiritual outlook influenced by Newtonian physics.
Antoine Rivaroli dit le comte de Rivarol était un écrivain, journaliste et aphoriste français d'origine italienne.
Généralement considéré comme l'un des enfants de la littérature européenne, Antoine Rivaroli, mieux connu comme le comte de Rivarol ou Rivaroli, est né à Bagnols-sur-Cèze, dans le Languedoc, France, le 26 Juin 1753. D'origine italienne, il était un expert linguiste, écrivain et journaliste, essayiste, ainsi que probablement la période la plus fertile de brillant polémiste de l'histoire qui, du point de vue intellectuel, nous avons été à la dix-huitième siècle passé dans l'histoire comme le siècle des Lumières.
Le critique romantique Charles Augustin Sainte-Beuve définit son origine "inextricable", qui n'est pas clair en ce qui concerne l'origine noble de revendication.
Pendant la période de la Révolution française contre le soulèvement populaire, prenant ouvertement avec la famille royale française et en faveur de la restauration de l'ordre monarchie. Il aimait à se signer avec divers pseudonymes ronflants, tels que: Auteur du Petit Dictionnaire, comte de Barruel, Kermol de Chevalier, RVRL, Salomon. Ses origines, en vérité, sont modestes. La famille de la jeune Antoine est venu d'Italie, du Piémont pour être précis. Son père était le propriétaire de la traite, et il était l'aîné de seize enfants, qui n'a certainement pas lui laisser la vie facile que son esprit philosophique accro à la paresse aurait voulu. Passer années d'études au séminaire, comme beaucoup à cette époque, l'évolution des endroits différents et à partir de la fin de sa formation, même pour effectuer des travaux d'un tuteur. Très probablement, il est dans le Sud de la France qu'il a commencé ses études dans la ville d'Avignon.
Dans le même temps, se fait dans beaucoup d'autres professions, bien conscients de leurs maigres finances et a décidé de mettre quelque chose de côté pour une sortie possible à Paris, grâce à sa richesse intellectuelle, ainsi que les grandes et en constante ébullition. Certes, depuis un certain temps le port du col romain, et ensuite effectuer d'abord un soldat, et longue et tuteur.
En 1777, Antoine s'installe définitivement à Paris, où il a commencé à fréquenter la haute société, qui prétend compter, un titre qui, souvent, et non sans ironie, ses détracteurs ont dû contestargli. Le tabloïds Paris, où il n'hésite pas à mettre en lumière, il apparaît comme un vrai elegantiae arbitre est fine, très fine, poignant, brillant.
Rivaroli n'est pas une fatuité intellectuelle et superficielle. Ses intérêts sont d'épaisseur maximum. Il traite avec un grand déploiement des énergies de la langue française, une connaissance plus approfondie de la Divine Comédie, et se consacre à la recherche contexte historique de l'Empire romain. Le champ de celle-ci de la connaissance comme Tacite, la plupart du temps. Tant et si bien que l'admirateur à travers la Manche, le contre-révolutionnaire penseur Edmund Burke devra l'appeler "le Tacite de la Révolution», à la fois pour sa capacité et chroniques narratives liées aux événements révolutionnaires, à la fois pour jamais caché sa passion la pour grand historien du latin. Pourtant, son premier travail achevé, il sera une sorte de parodie, qui sort dans toute sa verve satirique. Le livre en question est Le navet et le chou, qui publie en 1782, qui se moque de la Jacques Delille Jardins. Ce travail est suivi par le Discours sur l'universalité de la langue française, daté de 1784, qui en 1785 a participé à un concours organisé par l'Académie de Berlin avait proposé que la réponse aux questions suivantes: Ce qui a fait l'universel langue française? Pourquoi mériter ce privilège? Il est à supposer qu'il gardera? Rivaroli répond par l'identification de la langue - qu'il serait plus tard, Joseph de Maistre, et comme il l'a fait Giambattista Vico - l'un des principaux facteurs de la civilisation de la société.
"Ce qui n'est pas clair n'est pas français" sera également rivetage.
Hostile à Rousseau, il sera plus proche de goûter et entendre l'autre patriarche des Lumières, Voltaire, qu'il connaissait, et qui ne dédaigne pas d'emprunter de la devise. Ce même Voltaire qui condamnent la Divine Comédie, la considérant comme une des balivernes, mais que Rivaroli en 1785 traduit en français le poème Inferno.
La renommée, cependant, vient en 1788 avec le travail almanach scandaleux Petit de nos Grands Hommes, "Petit almanach de nos grands hommes", a écrit de Champcenetz avec son collègue, le travail se présente comme une véritable galerie de certains satirique personnalités de l'époque, et est symboliquement dédié "aux dieux inconnus." Dans le même temps travaille pour la revue littéraire Mercure de France, et en 1790 il a pris part, en tant que polémiste publications ironiques de journaux et nationale revue Politique des Actes Apôtres, de l'emploi, en alternance avec celui de pamphlétaire.
Comme une démonstration de son opposition au nouvel ordre révolutionnaire, en 1790, il a publié un ouvrage de presque le même nom avant, et le titre tout aussi important: Petit dictionnaire des Grandes hommes de la Révolution, ou Le Petit Dictionnaire des grands hommes de la Révolution, où ils sont mis à Maximilien de Robespierre caractères berline comme Jean-Paul Marat et Danton Georges Jacques. Il s'agit d'un script qui, contrairement aux précédentes, n'est pas anonyme et, en fait, lui donne quelques problèmes; persiste néanmoins à vouloir rester à Paris.
Mais, après avoir résisté jusqu'en 1792, le roi Louis XVI l'inviter à fuir la capitale. Juste à temps. Quelques jours plus tard, la foule a pris d'assaut il ya les banlieues des Tuileries, forçant le roi à porter le bonnet phrygien républicain. Quand les hommes de Robespierre frapper à la porte de Rivaroli, demandant «Où est le grand homme? Nous voulons raccourcir un peu, «le grand homme lui-même a depuis longtemps atteint la première étape de son exil, Bruxelles.
Juste à Bruxelles, Antoine se réunira notre légitimiste et romantique François Auguste René de Chateaubriand, qui parlera de cette rencontre dans ses Mémoires d'outre-tombe. Selon les rapports de Chateaubriand, cependant, ce n'était pas une réunion heureuse. Chateaubriand, en effet, considéré Rivaroli un "stupide" encore imprégnée de rationalisme lockeiano. En outre Rivaroli dans le domaine religieux ne cache pas, au premier abord, ce que Sainte-Beuve appelle «une grande épicurisme", qui identifie essentiellement à l'esprit libertin qui régnait tout le XVIIIe siècle, se moquant de toute superstition, et, malheureusement, souvent, pour chaque valeur.
Mais dès les premiers signes de la Révolution, ici Rivaroli, vous vous rendez compte que le terme «fanatisme», qui jusque-là avaient cru ne fonctionne que pour les croyances religieuses, s'adapte parfaitement à la nouvelle engouement démocratique qui imprègne désormais toute la France . "Dans l'histoire, le narrateur est la raison, les passions sont actrices 'avoir engagés à l'égard des abominations causées par la Révolution.
C'est le début de la dernière phase de sa vie, caractérisée par une sorte d'inactivité forcée en raison de la «paresse» - attribué par Sainte-Beuve - de ceux qui se sentent qu'il avait perdu toute raison de vivre, qui anime l'écrivain à errer de ville en ville, à la recherche d'un emploi stable éditoriale. De Bruxelles à Londres po Ensuite, à Hambourg, dans la petite ville de Hamm. Enfin, à Berlin, où la fin d'une fièvre soudaine, le 5 Avril 1801, une vie qui ravit et un'indefessa activité intellectuelle avait porté. Dans les dernières années de sa vie, Rivaroli s'ouvre de plus en plus à Dieu comme il le reconnut, imprégnée de l'esprit de la physique newtonienne du dix-huitième siècle, en tant que garant de l'ordre établi, un officier admirable de l'univers dont l'existence est confirmée par des preuves diffusée à la fois dans 'infiniment petits, "les substances et l'affinité des corps," est infiniment grand, "les étoiles et les lois de l'attraction." Mais la preuve la plus convaincante est celle qui se pose à l'intérieur, de la misère, que Rivaroli se sent très fort, d'être libéré "du chaos et de l'anarchie des idées."
Domande da interrogazione
- Qui était Antoine Rivaroli et quelle était son origine?
- Quel était le rôle de Rivaroli pendant la Révolution française?
- Quels étaient les principaux intérêts intellectuels de Rivaroli?
- Comment Rivaroli a-t-il contribué à la littérature française?
- Comment s'est déroulée la fin de la vie de Rivaroli?
Antoine Rivaroli, connu comme le comte de Rivarol, était un écrivain, journaliste et aphoriste français d'origine italienne, né à Bagnols-sur-Cèze, France, en 1753.
Rivaroli était un opposant au soulèvement populaire de la Révolution française, soutenant ouvertement la famille royale française et la restauration de la monarchie.
Rivaroli s'intéressait profondément à la langue française, à la Divine Comédie, et à l'histoire de l'Empire romain, ce qui lui a valu le surnom de "le Tacite de la Révolution" par Edmund Burke.
Rivaroli a écrit plusieurs œuvres, dont "Le navet et le chou" et "Discours sur l'universalité de la langue française", et a traduit "Inferno" de la Divine Comédie en français.
Rivaroli a vécu une période d'inactivité forcée, errant de ville en ville à la recherche d'un emploi stable, avant de mourir à Berlin en 1801, s'étant ouvert de plus en plus à la spiritualité dans ses dernières années.