Concetti Chiave
- Rimbaud's poem "Aube" is a prose poem from his collection "Illuminations," published in 1886, aiming to renew poetry.
- The narrative, told in the first person, describes a walk through nature at dawn, personifying the dawn as a goddess-like woman.
- The poem uses rich imagery and personification, with elements of nature like flowers and waterfalls symbolizing feminine traits and allure.
- The text transitions from a static pre-dawn world to one of movement and awakening, as the poet's actions animate the surroundings.
- The poem concludes with the poet embracing dawn, signifying the end of the adventure as daylight overtakes and the dreamlike experience fades.
Il s’agit d’un poème en prose; effet, la première et la dernière phrase nous donnent la clé de lectgure et ce ne sont que deux vers d’un poème. Le texte fait partie des Illuminations, publiées en 1886, où Rimbaud cherche à renouveller la poésie.
J’ai embrassé l’aube d’été.
Indice
Descrizione dell'alba
Rien ne bougeait encore au front des palais. L’eau était morte. Les camps d’ombres ne quittaient pas la route
du bois. J’ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes
se levèrent sans bruit.
La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.
Je ris au wasserfall blond qui s’échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse.
Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq.
Caccia all'alba
A la grand’ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre,
je la chassais.
En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu
son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois.
Au réveil il était midi.
Personificazione dell'alba
Dans ce poème, Rimaud évoque les sensations éprouvées en présence de l’aube d’été, en nous racontant une promenade faite au milieu de la nature entre l’aube et l’été. Le texte se présente sous la forme d’un récit fait à la première personne, auf pour la dernière phrase.
L’aube est personifiée: c’est une femme, une sorte de déesse comme on avait l’habitude de la représenter dans l’Antiquité. Le verbe “embrasser” signifie “prendre dans ses bras”, ce qui est repris per le mot “ entourée”. L’aube est habillée de voiles, elle a un corps elle, à la fin du texte, elle se laisse séduire. Elle ; on y remarquea donc une nature féminine mais, en même temps elle est mère, car le poète, à la fin, est appelé “enfant”.
Struttura del verso
La première pèhrase “J’ai embrassé l’aube d’été” est un vers de huit syllabes, avec une coupe après la quatrième syllabe. On remarque l’allitération en “b” et l’assonance en “é”. L’aube est personnifiée parce qu’elle est prise dans les bras du poète.
Avant l’aube, le monde est mort: rien ne bouge – morte – ombres – ce ne sont de l’imparfait contribue à nous donner l’impression d’immobilité absolue.
Le poète commence à marcher et tout prend du mouvement par des actions succerssives: marcher, réveiller, regarder, se lever. Dans sa marche, le poète réveille les oiseaux (utilisation de la métonymie), mais aussi le mnonde minéral et végétal. La marche est confirmée par le mot sentier et l’action par le mot entreprise qui représente le projet du poète. Une fleur s’ouvre devant le poète, à la lumière du jour: c’est peut-être une métaphore amoureuse dans laquelle la fleur représente une femme qui donne son corps au poète. La promenade continue dans la forêt et jusqu’au sommet. La cascade est personnifiée en femme et les gouttes d’eau ressemblent à sa chevelure. A la fin l’aube (= la déesse) paraît couvertes de voiles, peut-être la brume caractérisant les matins chauds de l’été. Alors voilà que la chasse à l’aube commence.
Les phrases deviennent plus courtes et certaines commencent par un complément de lieu. Les noms des lieux se multiplient: dans l’allée, par la plaine, à la grande-ville, parmi òles clochers, sur les quais de marbre. Et puis on a toute une série de verbes qui évoquent le mouvement et la course. A la fin, il semble que le poète arrive à dénuder la déesse: en effet, l’aube se dissipe au fur et à mesure que le jour lèvè, moment indiqué par le chant du coq.
Conclusione dell'avventura
Enfin, le poète atteint son but: celui d’embrasser l’aube et quand il se réveille il est désormais midi et l’aube a disparu. L’aventure est donc terminée. La phrase finale compte huit pieds comme la première
Domande da interrogazione
- Quel est le thème principal du poème "Aube" de Rimbaud?
- Comment Rimbaud utilise-t-il la personnification dans son poème?
- Quelle est la structure du poème "Aube"?
- Comment le poète décrit-il le monde avant l'aube?
- Quel est le rôle du mouvement dans le poème?
Le poème "Aube" de Rimbaud explore les sensations éprouvées lors d'une promenade à l'aube d'été, en personnifiant l'aube comme une déesse féminine.
Rimbaud personnifie l'aube en la décrivant comme une femme ou une déesse, habillée de voiles, que le poète embrasse et poursuit tout au long de sa promenade.
Le poème est en prose, mais il commence et se termine par des phrases de huit syllabes, créant une structure poétique malgré l'absence de vers traditionnels.
Avant l'aube, le monde est décrit comme immobile et mort, avec des termes comme "rien ne bougeait", "l'eau était morte", et "ombres", soulignant une impression d'immobilité.
Le mouvement est central dans le poème, illustré par les actions du poète qui réveillent la nature, et par la chasse à l'aube qui se termine lorsque le jour se lève et que l'aube disparaît.