Concetti Chiave
- Le texte explore l'introspection personnelle face aux jugements et opinions, cherchant une trace de sentiment animal et non humain.
- L'évolution humaine est décrite comme un réseau complexe de progrès et chaos, où les améliorations sont souvent accompagnées de conflits.
- L'auteur réfléchit aux conséquences historiques des guerres et préjugés, suggérant que ces éléments persistent sous une façade moderne.
- Une réflexion hypothétique imagine un être humain élevé sans influence sociale, révélant une nature humaine pure et pacifique.
- L'idée d'un monde utopique et pacifique est évoquée, bien que jugée presque inaccessible dans notre réalité actuelle.
J'ai recherché, d'autour, des opinions et jugements. Par conséquent, j'ai observé, à l'intérieur de moi, mon âme et le temps passé, afin de trouver une trace abandonnée par un sentiment, qu'est animal, et non humain. Quel Don Diègue nous dit, pour le temps, il était moins familier, n'est pas inhabituel. Pourtant, il est vrai que même longtemps avant qu'ils devaient être, par exemple, les guerres de religion, qui me paraît comme un paradoxe. En fait, l'ensemble de la nature humaine a fondé les racines et a soulevé ses branches d'innombrables sur le terrain sans conséquence cruelle, acre et accidenté.
Et l'évolution, ne pas faire de progrès réguliers, ressemble à un réseau dense de lignes de l'ordre et du vers tragiquement confus.
Il y a eu des améliorations et c'est indéniable, mais pour les atteindre, l'humanité a été attaquée par l'homme, son fils. Les résultats sont visibles à l'heure actuelle, sans difficulté: nous sommes le produit d'une histoire de la guerre et la haine, de malentendus et de préjugés, d'injustice et de la vengeance. On semble, presque, qu'on n'a pas changé depuis alors, parce que les mêmes éléments, bien que cachés par de la philanthropie moderne de peinture n'est pas trop opaque, continuent d'être sauvagement, les gènes de chacun d'entre nous.
Il arrive souvent de me donner des pensées au sujet dont a vécu dans le monde, que nous avons maintenant le plaisir d'observer de nos propres yeux, et pensez à ce qui se passerait si un petit événement, il avait fait différemment. Nous serons ici de toute façon?
Et si nous pourrions théoriquement penser a tout ce qui rend la vie l'expérience de donner naissance à un enfant et laissez-le se développer à l'intérieur un endroit vierge, que nous plaçons il ait tout ce que fait en faveur de la vie, et laissez-le se développent, donc sans être contrarié par le «habituelle», l'homme et la «normale», de tout ce qui est droit, ou son contraire et, après avoir atteint l'âge adulte, saisissez-le dans le «monde réel», nous avons pu voir que cela aura une approche globale et de l'être humain pur, un animal vivant dans une planète prospère tout aussi rentable.
Ne sera pas les raisons pour déclencher une guerre, ou de tuer un homme pour se venger. Ce sentiment fait partie au moins de toutes les espèces animales. Seulement chez les humains a augmenté en intensité. Toutefois, il serait logique d'imaginer un monde pur et simple, habité par des gens pacifiques, incapables de faire du tort à leurs goûts, leur famille et habile au combat, ou du moins atténuer la force de l'ego, qui nous appartient et le fera beaucoup plus longtemps. Il serait essentiel d'imaginer un monde comme cela; utopique, presque inaccessible.
Néanmoins, en ce moment tous les nous pourrons imaginer, nous vivrons déjà.
Domande da interrogazione
- Quel est le thème principal du texte?
- Comment l'auteur perçoit-il l'évolution de l'humanité?
- Quelle est la vision de l'auteur sur un monde idéal?
- Quel paradoxe l'auteur mentionne-t-il concernant l'histoire humaine?
Le texte explore la nature humaine, les conflits historiques, et l'idée d'une évolution humaine marquée par la guerre et la haine, tout en imaginant un monde utopique de paix.
L'auteur voit l'évolution de l'humanité comme un processus irrégulier, semblable à un réseau confus, où les progrès sont réalisés malgré les conflits et les préjugés.
L'auteur imagine un monde pur et simple, habité par des gens pacifiques, incapables de faire du mal, et où l'ego humain serait atténué.
L'auteur mentionne le paradoxe des guerres de religion, soulignant que malgré les progrès, l'humanité continue d'être marquée par des conflits et des préjugés.