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Ex. “M. le Pr. la prochaine fois, éviter le scooter” → présupposé: il y a déjà utilisé le scooter.
Les sondages: ils se basent fondamentalement sur l'implicite.
Désignation : c’est un phénomène lexical (pronom, axiologie, le statu) et syntaxique (ponctuation) le
paradigme designationnel de.. (Tous les désignations de quelqu’un o quelque chose)
Caractérisation : après le verbe, avant une apposition.
L’Implicite (s’oppose à l’explicite, ce quelque chose que ne s’est pas dit, une palissade, truisme)
Une partie de l’énonce, de mot que ne continue pas l’objet premier et véritable de dire (s’est ne pas l’objet de
communication). Ex j’ai arrêté de fumer implicitement avant je fumé. Pas le but du message
CONTENU DE L’Enoncé
Explicite implicite
↓ ↓
Présupposé sous-entendu
↓ ↓
Est une information, il ne se déduit pas l’énoncé lui-même Qui se déduit de un mot
Présent dans l’énoncé mais de la situation de communication.
(Quelque chose de linguistique) il dépend de la compétence encyclopédique/culturelle
Il dépend de la compétence lexicale
On présuppose quelque chose
Fait linguistique
implicite
– axiologie
– defigement
– autonyme
– metaphore
– registre
– deictiques
– modalité
–
1. Modalité autonyme : commentaire, le journaliste met a distance les mots << >> , il les employ mais il
n'est pas d'accord
2. Modalité axiologique : avec les axiologiques positif ou negatif
3. Modalité assertive : (assertion, verbe: asserter) déclarer quelque chose comme vrai
Ex. Il pleut
Il ne pleut pas
4. Modalité deontique (jussive) : tous ce qui est l'obligation et l'ordre. Le locuteur va nous pousser à faire
quelque chose. Ex. L'imperatif, forme impersonnel, “il faut” pour exprimer l'ordre, “il est necessaire”,
“vous devez”.
Les plus difficiles mais les plus utilisés sont:
5. Modalité épistemique : ce qui exprime le certain ou le doute.
Certitude: je pense que... , certainement, sans aucun doute (sicuramente).
Doute: peut-être, sans doute.
6. Modalité aléthique : c'est celle du pouvoir … possible ou impossible.
Il est possible que... = modalité épistemique → ça veut dire peut-être.
Introduction culturelle.
La lanque pour les français représente l'état. Il y a un fort aspect politique. En France l'article 2 de la
Constitution parle de la langue (qui est née en 842).
Modalité : comment le locuteur argumente, comment il nous va convaincre ou persuader. Quel tipe de jugement
il va exprimer. Un énoncé ou un discours peut comporter des unités linguistiques aussi bien objectives que
subjectives liées aux sentiments, aux idées, aux croyances et aux jugements de valeur du sujet parlant et/ou
écrivant. En tant qu’une des dimensions de la subjectivité, la modalité est une notion universelle relevant du
domaine du sens. Elle est l’aboutissement de l’intervention du locuteur de manière à marquer sa présence par
une attitude ou une prise de position envers son énoncé.
Ex. modalité dominante assertive, le locuteur va nous prouver la vérité de ce qu’il dit.
Ex Modalité dominante déontique (iussive, l’ordre, verbe a l’infini), le locuteur va exprimer une opinion, il va
nous pousser à faire quelque chose, jugement prescriptif, ou pragmatique.
Ex modalité axiologique (le bien le mal, le beaux, le juste l’injuste) il va argumenter son opinion avec la valeur.
Jugement de tip moral, de tip évaluative.
Modalités d’énonciation qui correspondent aussi aux types de phrase: assertifs (déclaratifs)
Le type assertif ou déclaratif « présente la structure de la phrase canonique groupe nominal- groupe verbal »
Il sert à dire et / ou affirmer un fait et contient de multiples moyens pour l’expression. L’assertion « pose un état
de choses comme vrai ou faux. D’un point de vue syntaxique, il s’agit d’énoncés qui comportent un sujet
exprimé et dont le verbe porte des marqueurs de personne et de temps »
Les modalités d’énoncé renvoient au contenu de l’énoncé, marqué par l’attitudedu locuteur vis-à-vis de ce qu’il
énonce. On distingue trois types de modalités d’énoncé dans le domaine logico-sémantique : l’aléthique,
l’épistémique et le déontique.
L’aléthique
Le terme vient du mot «aléthéia» du grec et signifie « la vérité ». C’est une proposition ou une modalité qui ne
concerne que le vrai, le faux et l’indéterminé. Il correspond aussi à l’expression de la capacité intellectuelle du
locuteur et de l’éventualité des évènements. L’aléthique permet d’exprimer le possible, l’impossible, le
nécessaire et le contingent par les unités linguistiques comme : pouvoir, devoir, falloir, paraître, sembler ; il est
nécessaire, il est possible, il est impossible ; sans doute, probablement, apparemment, vraisemblablement,
inévitablement, nécessairement, immanquablement, inéluctablement, infailliblement…
Le déontique
Le mot déontique qui vient du mot grec «ta deonta» signifie : ce qu’il faut. Les modalités déontiques font appel
essentiellement à la notion d’obligation, mais elles impliquent aussi les valeurs modales comme l’interdiction,
la permission, le facultatif. En fonction du contexte, l’énonciateur présente l’action comme obligatoire ou
permise en se servant des outils linguistiques comme : devoir, il faut que, nécessairement, forcément,
obligatoirement, (il est) obligatoire, nécessaire, interdit, permis… Dans les exemples ci-dessous, la modalité
déontique fonctionne avec ses valeurs d’obligation et d’interdiction
L’épistémique
La modalité épistémique renvoie à la connaissance du monde du locuteur qui se manifeste à travers divers
éléments linguistiques comme : il est certain que, nous savons que, il est inévitable que, bien entendu,
certainement, sûrement, sans aucun doute, indéniablement.
Modalité affective
La subjectivité affective s’inscrit dans la parole par l’emploi des termes concernant les sentiments, les affects,
les émotions, les passions
Modalité évaluative non-axiologique
Tous les adjectifs qui, sans énoncer de jugement de valeur, ni d’engagement affectif du locuteur (du moins au
regard de leur stricte désignation lexicale : en contexte, ils peuvent bien entendu se colorer affectivement ou
axiologiquement), impliquent une évaluation qualitative ou quantitative de l’objet dénoté par le substantif qu’ils
déterminent, et dont l’utilisation fond à ce titre sur une double norme. Nous pouvons compter dans cette classe
les adjectifs tels que : “petit”, “grand”, “long”, “court”, “loin”, “chaud”, “nombreux, des adverbes tels que :
“naturellement”, “bizarrement”, “gravement”, “éperdument”, “curieusement”… et tous les verbes qui ne
portent pas la trace de l’appréciation et du jugement de valeur du locuteur qui les utilise. Bien que ce soit des
marqueurs subjectifs, leur subjectivité est relative puisqu’ils ont un contenu dont la valeur peut changer d’une
personne à l’autre.
Modalité appréciative évaluative axiologique
La relation entre la langue et l’appréciation ou la dépréciation du locuteur n’est pas toujours facile à préciser et
à formuler. Car les appréciations et les dépréciations sont des phénomènes complexes liés aux états psychiques,
aux jugements de valeur, aux croyances, aux intuitions, aux intentions… surtout à la rhétorique des
interlocuteurs. En appréciant ou en dépréciant ce qu’il énonce, le locuteur émet un jugement de valeur qui garde
les traces de ses évaluations. Les éléments linguistiques qui marquent ce positionnement d’une manière
favorable ou défavorable peuvent appartenir aux catégories sémantiques et pragmatiques différentes selon le
contexte comme « aimer » , « détester », « préférer »,« bon », « bien », « mauvais », « mal », « normal »,
»anormal ».. . Autrement dit, ces termes peuvent porter une appréciation valorisante ou dévalorisante.
Comme le locuteur peut être subjective. Comme il peut être objectif/ moins subjective. Comment
dépersonnaliser un texte.
Reportage : - un genre de discours journalistique, - genre noble (fait divers) – un genre d’information (il va
montrer une situation, faire voire, décrire 1 situation qui est déjà connu par tout le monde. – un évènement
actuel.
Comme tous les autres articles, doit être précis, rigoureux, pédagogique, impartial. Il doit avoir écriture vive et
soignée (registre formel, soutenu), donner aux lecteurs l’impression d’y être, au minimum de mieux saisir les
caractéristiques d’un évènement, d’une situation, d’un conflit. Etre objectif mais aussi identique et littéraire.
Le reportage :
est un genre de discours journalistique
• est un genre « noble » [par rapport au fait divers par exemple]
• un genre d'information → le reportage va montrer/décrire (fa vedere) une situation et l'éditorial va
• démontrer/argumenter
parle d'un événement actuel, on sait déjà ce qui se passe
•
Reportage (Le Monde)
Le reportage, comme tou