Concetti Chiave
- Alphonse Van de Bredenbeck Châteaubriant était un écrivain français issu d'une famille aristocratique de peintres et a étudié à Nantes et à l'école militaire de Saint-Cyr.
- Il a remporté des prix littéraires prestigieux, notamment le Prix Goncourt en 1911 pour "Monsieur des Lourdines" et le Grand Prix du Roman de l'Académie Française en 1923 pour "La Brière".
- Châteaubriant a adhéré progressivement aux idéologies fascistes et pro-allemandes, publiant des œuvres comme "La Gerbe des forces" qui soutiennent la doctrine nationale-socialiste de Hitler.
- Durant l'occupation allemande, il a dirigé le groupe "Collaboration" et la revue "La Gerbe", promouvant une Europe aryenne débarrassée du bolchevisme.
- Après la Seconde Guerre mondiale, condamné à mort par contumace en France, il s'est réfugié en Autriche sous un pseudonyme et est mort en 1951, ses œuvres tombant dans l'oubli à cause de sa mauvaise réputation.
Alphonse Van de Bredenbeck Châteaubriant est un écrivain français.
Né dans une famille aristocratique de peintres, il a étudié à Nantes, puis entre à l'école militaire de Saint-Cyr (École Spéciale Militaire de Saint-Cyr), mais il est consacré à une carrière militaire. Il vit surtout parmi Piriac-sur-Mer, où vous trouverez ses terres, et la ville de Nantes. Le territoire de sa région est, par conséquent, la question de ses livres: Monsieur des Lourdines, Prix Goncourt 1911; La Brière, pour lequel il reçoit en 1923 le Grand Prix du Roman de l'Académie Française et qui a été l'une des pistes les plus fortes dans la période entre les deux guerres mondiales, avec 609 000 livres vendus; La Meute 1927, le déclenchement de la Première Guerre mondiale, Châteaubriant, s'est enrôlé dans le corps médical, écrit à sa femme et son ami Romain Rolland lettres décrivant son bouleversement. A la cessation des hostilités, l'écrivain est convaincu de la nécessité d'une réconciliation franco-allemande pour éviter une autre guerre. Il est également actif au sein du syndicat Breton groupes régionalistes et autonomistes en Bretagne. Proto-fasciste et pro-allemand, Alphonse de Châteaubriant adhère lentement et inconsciemment à la doctrine nationale-socialiste de Hitler, qui allie mysticisme religieux montré dans La Réponse du Seigneur. En mai 1937, il publie La Gerbe des forces, qui n'hésite pas à se prononcer en faveur de l'idéologie de Hitler voir une sorte de compatibilité entre le christianisme et le nazisme. À Berchtesgaden, le 13 Août 1938, il a rencontré Adolf Hitler vient de voir qu'un nouveau Messie.
Croire une possible alliance entre la Grande-Bretagne et l'Allemagne nazie, Chateaubriand était un collaborateur actif. Pendant l'occupation allemande préside le groupe "Collaboration" et directeur de la revue La Gerbe, qui voulait être un «hebdomadaire politique et littéraire»; il était le rédacteur en chef Marc Augier, que la guerre sera connu sous le pseudonyme de Saint-Loup. Le premier numéro a été publié le 11 Juillet 1940, avec les signatures de Jean Giono, Paul Morand, Jean Cocteau, Marcel Aymé, Sacha Guitry. Le magazine défend l'idée d'un aryanisé Europe, sbarazzatasi du bolchevisme, en conformité avec le rêve de Jacques Doriot et Déat Marcel. En 1944, lorsque les troupes alliées avançaient vers Paris, Châteaubriant se réfugie en Allemagne. Il y avait quand il est apparu le dernier numéro de La Gerbe 17 Août. Pendant ce temps, le Comité National des Ecrivains inclus son nom dans la liste des auteurs indésirables.
Après la défaite de l'Allemagne, Alphonse de Châteaubriant a fui l'Autriche, Kitzbühel, où il vivait sous le nom d'emprunt de Dr. Alfred Loup. Le 25 Octobre 1945, en France, a été condamné à mort par contumace et marque nationale d'indignité la sixième chambre de la Cour de justice de la Seine (Cour de justice de la Seine). Le mandat d'arrêt, avec ordre de lui apporter à Fort Charenton jamais atteint le monastère du Tyrol, où il s'était réfugié, et où il est mort en 1951, ses œuvres, comme celles d'Henri Béraud, semble maintenant être en baisse dans 'l'oubli en raison de la mauvaise réputation de leur auteur.
Domande da interrogazione
- Qui était Alphonse Van de Bredenbeck Châteaubriant et quelle était sa carrière initiale?
- Quels sont les ouvrages notables de Châteaubriant et quelles récompenses a-t-il reçues?
- Comment Châteaubriant a-t-il été impliqué dans la politique pendant la Seconde Guerre mondiale?
- Quelle a été la conséquence de ses actions pendant la guerre pour Châteaubriant après la défaite de l'Allemagne?
- Quel est l'état actuel de la reconnaissance des œuvres de Châteaubriant?
Alphonse Van de Bredenbeck Châteaubriant était un écrivain français né dans une famille aristocratique de peintres. Il a étudié à Nantes et à l'école militaire de Saint-Cyr, mais il s'est consacré à une carrière littéraire plutôt que militaire.
Parmi ses ouvrages notables, "Monsieur des Lourdines" a reçu le Prix Goncourt en 1911, et "La Brière" a obtenu le Grand Prix du Roman de l'Académie Française en 1923.
Châteaubriant était un collaborateur actif pendant l'occupation allemande, présidant le groupe "Collaboration" et dirigeant la revue "La Gerbe", qui soutenait l'idéologie nazie.
Après la défaite de l'Allemagne, Châteaubriant a fui en Autriche et a été condamné à mort par contumace en France pour collaboration avec les nazis.
Les œuvres de Châteaubriant, comme celles d'Henri Béraud, semblent être tombées dans l'oubli en raison de la mauvaise réputation de leur auteur.