Concetti Chiave
- Jacques Cazotte, écrivain français du XVIIIe siècle, est connu pour son œuvre "Le diable amoureux", une histoire d'amour mystique et surnaturelle.
- Il a étudié chez les jésuites à Dijon avant de servir dans la Royal Navy à la Martinique, où il a été témoin d'un scandale financier impliquant l'ordre jésuite.
- Cazotte a participé à des débats littéraires et musicaux, notamment en critiquant les idées de Rousseau dans ses "Observations".
- Son œuvre reflète une influence de la pensée spiritualiste et théosophique du XVIIIe siècle, anticipant certains thèmes du romantisme.
- Il a également écrit des parodies musicales et des romans de chevalerie inspirés de contes médiévaux orientaux.
Jacques Cazotte (Dijon 1719 - Paris 1792) est un écrivain français, guillotiné pendant la Terreur.
Il a suivi son plan d'études chez les jésuites de Dijon, avant de rejoindre, depuis 1747 et pour une dizaine d'années, la Royal Navy à la Martinique.
Cazotte témoin en 1756, de nouveau à la Martinique à l'explosion du scandale La Vallette, déclenchée par la faillite jésuite et accusé d'extorsion, qui a fini par ruiner tout l'ordre religieux.
Cette transposé son expérience dans les Mémoires du livre Sur Les Demandes formix Contre le général et la société des jésuites, à travers lequel il a participé à la controverse apparues après la suppression de l'ordre en France.
Comme une bonne partie de ses contemporains, a été inséré dans le débat autour de la musique est né grâce à l'intervention du français et italien Rousseau, proposant une opinion poivré et forte dans les Observations texte intitulé sur la lettre de JJ Rousseau publié en 1754.
Toujours lié au genre musical était une parodie Nouvelle Raméide, alors qu'il était sa production la plus prolifique de romans de chevalerie issus de contes médiévaux de l'Est.
Sa renommée, cependant, est surtout liée à l'histoire Le diable amoureux, publié en 1772, une mystérieuse histoire d'amour enveloppée dans une atmosphère magique, et le mal surnaturel. La renommée de la longue durée de vie de l'histoire est due à la capacité de l'écrivain à documenter la «contamination» de la pensée du XVIIIe siècle avec le spiritualiste et théosophique magma, qui a émergé avec une plus grande expansion dans le romantisme.